Dans l'article "Fin d'un monde, début d'un autre" j'ai mis en avant le rôle criminel des banquiers dans le coup d'état de 1871 ayant servi à modifier la Constitution américaine de We the People de 1776 pour transformer les États-Unis en une entité commerciale appelée United States Corporation. Et c'est cette Corporation qui est la propriété d'un groupe de banquiers, qui est à l'origine de toutes les guerres que l'Amérique a menées pour asseoir leur puissance sur l'humanité. N'oublions pas qu'ils ont aussi fait de la France leur propriété privée.
Vous comprenez
pourquoi il faut maintenir les peuples dans l'ignorance. Nous maintenir
dans l'ignorance de l'Histoire, l'Histoire réelle, pas celle qui nous
est enseignée pour nous tromper.
Un exemple. Si les Français savaient que la première loi votée à la Convention le 2 octobre 1789 par les nouveaux "révolutionnaires" a été la légalisation de l'usure, usure à laquelle s'est opposée la monarchie française des siècles durant, nous aurions compris que cette fameuse "révolution" n'a été qu'une tromperie. Et au lieu d'être fiers de cette révolution "colorée", nous serions probablement honteux de nous être laissés berner.
Mais
il faut reconnaître à ces gens une forme d'intelligence supérieure car
bien qu'elle leur serve à faire le mal, leur habilité à toujours
envelopper leurs crimes dans un verbiage humaniste et généreux, a permis
d'endormir et anesthésier la raison et la réflexion des peuples.
Le concept maçonnique de Liberté, Égalité, Fraternité
par exemple... Concept parfaitement artificiel puisque les lois de la
nature démontrent qu'il est inapplicable dans une société basée sur le
libéralisme économique qui rejette jusqu'à l'existence de Dieu. Ou bien
l'autre concept fumeux des Droits de l'Homme et du citoyen, droits factices dont seule une minorité est bénéficiaire, car ces droits ne concernent en aucun cas la "populace" que nous représentons à leurs yeux...
Mais la faiblesse du mensonge c'est que tôt ou tard la vérité le détruit. Et des mensonges, nos livres d'Histoire en sont pleins parce qu'il faut que le peuple ignore à qui profitent les grands événements qui jalonnent l'histoire du monde.
Mais aujourd'hui, grâce à Internet,
l'information et le Savoir circulent à la vitesse de la lumière et
beaucoup de choses cachées, enfouies, sont dévoilées. Malgré la
législation scélérate qui sert à dissimuler le secret, il faudra bien
qu'un jour la vérité soit révélée sur ce qui s'est réellement produit en
Europe durant la Seconde guerre mondiale car là encore, nous mesurerons
à quel point nous avons été manipulés.
Et le temps des grandes révélations est proche,
très proche. C'est la raison pour laquelle ceux qui redoutent ces
révélations ont déclenché cette fausse pandémie planétaire qui pour
l'instant sert de couvercle sur une marmite qui bout de colère.
Et ne soyons pas naïfs, il va y en avoir une autre pandémie, une vraie, et celle-là sera vraiment mortelle. La vaccination qui n'est juste qu'une phase de la machination, sert à nous transformer en légumes sans volonté et sans conscience... car des individus éveillés et informés constituent une trop grande menace. Cela fait partie du plan car cet accès au savoir et à la connaissance met en danger les intérêts de ceux qui nous dominent et qui sentent le feu s'approcher...
Il est donc temps d'identifier cette Cabale dont les pouvoirs immenses menacent toute l'humanité. Ces gens qui se cachent derrière l'anonymat et la discrétion ont un nom et un visage. Les Maîtres du monde ont une adresse ou même plusieurs, mais le temps est venu de connaître nos véritables ennemis. Nous ne pouvons pas les laisser nous génocider pour qu'eux puissent continuer à prospérer et à dominer le monde à notre détriment, ou si ?
Et cette
guerre secrète qui se déroule actuellement aux États-Unis n'est que le
prélude à ce qui va se produire bientôt dans le reste du monde. Depuis
des années je dis que quand le feu démarrera aux États-Unis, il se
propagera aux autres pays comme un énorme incendie. Le feu est
purificateur quand il est déclenché par la flamme de la Vérité.
Donc
si le Savoir est source de lumière, ne vous en privez pas car nous
vivons une époque aux dimensions bibliques où tout ce qui nous a été
caché est révélé. Lisez...
Eric Montana
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Le Cartel de la Réserve fédérale : les huit familles qui dirigent le monde.
Article
de Dean Henderson, journaliste d’investigation. J’avais archivé cet
article qui visiblement n’a pas plu en haut lieu outre-Atlantique
puisque le site de l’auteur a été supprimé par les fournisseurs d’accès
au Web. J’ai donc décidé de prendre le risque de le traduire pour mes
lecteurs afin de les éclairer sur les grands desseins du monde financier
apatride. Ce texte un peu décousu mérite une lecture détaillée. J’ai
mis en exergue quelques passages en caractères gras. Les propos de ce
texte n’engagent que son auteur.
Qui sont donc les
actionnaires des banques créatrices de monnaie américaines et mondiales ?
Cette information est très soigneusement gardée secrète. Mes requêtes
auprès des agences de réglementation bancaire concernant la propriété
d’actions dans les 25 principales sociétés de portefeuille bancaires
américaines ont obtenu le statut du Freedom of Information Act, avant
d’être refusées pour des raisons de "sécurité nationale".
C’est
assez ironique, car de nombreux actionnaires de la banque résident en
Europe. US Trust Corporation – fondée en 1853 et maintenant détenue par
Bank of America – est un dépositaire important de la richesse de
l’oligarchie mondiale qui possède ces sociétés de portefeuille
bancaires.
Walter Rothschild était récemment administrateur de sociétés et fiduciaire honoraire de US Trust.
Les
autres administrateurs étaient Daniel Davison de JP Morgan Chase,
Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall
Schwartz de Morgan Stanley. JW McCallister, un initié de l’industrie
pétrolière avec des liens avec The House of Saud (La Maison des Saoud), a
écrit dans The Grim Reaper que les informations qu’il avait
acquises auprès de banquiers saoudiens faisaient état de la propriété à
80% de la New York Federal Reserve Bank – de loin la succursale de la
Fed la plus puissante – par seulement huit familles dont quatre résident
aux États-Unis.
Ce sont les Goldman Sachs, Rockefeller, Lehman et Kuhn Loeb de New York, les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourg, les Lazard de Paris, et les Israel Moses Seif de Rome.
Le
CPA (Certified Public Accountant) Thomas D. Schauf corrobore les
affirmations de McCallister, ajoutant que dix banques contrôlent les
douze succursales de la Federal Reserve Bank. Il nomme NM Rothschild de
Londres, Rothschild Bank de Berlin, Warburg Bank de Hamburg, Warburg
Bank d’Amsterdam, Lehman Brothers de New York, Lazard Frères de Paris,
Kuhn Loeb Bank de New- York, Israel Moses Seif Bank d’Italy, Goldman
Sachs de New York et JP Morgan Chase Bank de New York.
Schauf
répertorie William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James
Stillman parmi les individus qui détiennent des parts importantes de la
Fed. Les Schiff sont liés à Kuhn Loeb. Les Stillman sont liés à
Citigroup, qui se sont associé au clan Rockefeller au tournant du
siècle. Eustace Mullins est arrivé aux mêmes conclusions dans son livre
The Secrets of the Federal Reserve, dans lequel il affiche des
organigrammes reliant la Fed et ses banques membres aux familles de
Rothschild, Warburg, Rockefeller et les autres.
Le contrôle que
ces familles bancaires exercent sur l’économie mondiale ne peut être
sous-estimé et est tout à fait intentionnellement entouré de secret.
Leur branche des médias d’entreprise est prompte à discréditer toute
information exposant ce cartel de banque centrale privée comme une "théorie du complot". Pourtant, les faits demeurent.
La
Maison Morgan, en d’autres termes La Federal Reserve Bank, est née en
1913, la même année que le décès du banquier américain J. Pierpont
Morgan et la Fondation Rockefeller a été également créée cette même
année.
La House of Morgan dirigeait la finance américaine au
carrefour de Wall Street et Broad à New-York, agissant en tant que
quasi-banque centrale américaine depuis 1838, lorsque George Peabody l’a
fondée à Londres. Peabody était un associé commercial des Rothschild.
En 1952, le chercheur s’intéressant à l’histoire de la Fed, Eustace Mullins, a émis l’hypothèse que les Morgan n’étaient rien de plus que des agents des Rothschild. Mullins a écrit que les Rothschild "préféraient opérer de manière anonyme aux États-Unis derrière la façade de J.P. Morgan & Company".
L’auteur Gabriel Kolko a déclaré : "Les
activités de Morgan en 1895-1896 dans la vente d’obligations d’or
américaines en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison
Rothschild".
La pieuvre financière Morgan a
rapidement déroulé ses tentacules dans le monde entier. Morgan Grenfell
opérait à Londres. Morgan et Cie régnait sur Paris. Les cousins Lambert
de la famille Rothschild ont créé Drexel & Company à Philadelphie.
La
maison Morgan s’adressait aux Astor, DuPont, Guggenheim, Vanderbilt et
Rockefeller. Elle a financé le lancement d’AT&T, de General Motors,
de General Electric et de DuPont. Tout comme les banques Rothschild et
Barings basées à Londres, Morgan est devenue partie intégrante de la
structure du pouvoir dans de nombreux pays.
En 1890, la Maison
Morgan a prêté à la banque centrale égyptienne, financé des chemins de
fer russes, des obligations flottantes du gouvernement provincial
brésilien et financé des projets de travaux publics argentins. Une
récession en 1893 a renforcé le pouvoir de Morgan. Cette année-là,
Morgan a sauvé le gouvernement américain d’une panique bancaire, formant
un syndicat pour soutenir les réserves du gouvernement avec un envoi de
62 millions de dollars or des Rothschild.
Morgan a été le moteur
de l’expansion de l’Ouest aux États-Unis, finançant et contrôlant les
chemins de fer à destination de l’Ouest par le biais de droits de vote
de fiducies. En 1879, le New York Central Railroad financé par la
branche Morgan de Cornelius Vanderbilt accorda des tarifs d’expédition
préférentiels au monopole naissant de la Standard Oil de John D.
Rockefeller, consolidant ainsi la relation Rockefeller / Morgan. La
Maison de Morgan tomba désormais sous le contrôle des familles
Rothschild et Rockefeller.
Un titre du New York Herald disait: "Railroad Kings Form Gigantic Trust". J. Pierpont Morgan, qui déclara un jour : "La concurrence est un péché", déclara joyeusement par la suite : "Pensez-y. Tout le trafic ferroviaire concurrent à l’ouest de Saint-Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes".
La
banque Morgan et Edward Harriman de la banque Kuhn Loeb, détenaient le
monopole des chemins de fer, tandis que les dynasties bancaires Lehman,
Goldman Sachs et Lazard se joignaient aux Rockefeller pour contrôler la
base industrielle américaine.
En 1903, le Banker’s Trust a été
créé par les huit familles. Benjamin Strong du Banker’s Trust a été le
premier gouverneur de la Banque de réserve fédérale de New York. La
création de la Fed en 1913 a fusionné le pouvoir des huit familles avec
la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si
leurs prêts à l’étranger n’étaient pas payés, les oligarques pourraient
désormais déployer des Marines américains pour recouvrer les dettes.
Morgan,
Chase et Citibank ont formé un syndicat de prêt international. La
maison de Morgan était bienvenue à la maison britannique des Windsor et
la maison italienne de Savoie. Les Kuhn Loeb, Warburg, Lehman, Lazard,
Israel Moses Seif et Goldman Sachs avaient également des liens étroits
avec les familles royales européennes.
En 1895, Morgan contrôlait
le flux d’or entrant et sortant des États-Unis. La première vague
américaine de fusions en était à ses balbutiements et était promue par
les banquiers. En 1897, il y a eu soixante-neuf fusions industrielles.
En 1899, il y en avait mille-deux-cent. En 1904, John Moody – fondateur
de Moody’s Investor Services – déclara qu’il était impossible de parler
des intérêts de Rockefeller et de Morgan séparément. La méfiance du
public à l’égard de ces deux entités bancaires s’amplifia. Beaucoup les
considéraient comme des traîtres travaillant pour le vieil argent
européen.
Standard Oil de Rockefeller, US Steel d’Andrew Carnegie
et les chemins de fer d’Edward Harriman ont tous été financés par le
banquier Jacob Schiff de Kuhn Loeb, qui a travaillé en étroite
collaboration avec les Rothschild européens. Plusieurs États occidentaux
ont interdit les activités de ces banquiers.
Le prédicateur
populiste William Jennings Bryan a été trois fois candidat démocrate à
la présidence US de 1896 à 1908. Le thème central de sa campagne
anti-impérialiste était que l’Amérique tombait dans le piège de la "servitude financière envers la capitale britannique".
Teddy Roosevelt a vaincu Bryan en 1908, mais a été contraint par cette
traînée de poudre populiste de promulguer la loi anti-trust Sherman. Il a
ensuite poursuivi le Standard Oil Trust. En 1912, les audiences Pujo
ont eu lieu, portant sur la concentration du pouvoir à Wall Street.
La
même année, Mme Edward Harriman a vendu ses parts substantielles dans
la Guaranty Trust Bank de New York à J.P.Morgan qui créa alors le Morgan
Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis a convaincu le président Woodrow
Wilson de demander la fin des directions imbriquées les unes dans les
autres des conseils d’administration.
En 1914, le Clayton
Anti-Trust Act a été adopté. Jack Morgan – le fils et successeur de J.
Pierpont Morgan – a répondu en appelant ses clients Remington et
Winchester à augmenter la production d’armes. Il a soutenu que les
États-Unis devaient entrer dans la Première Guerre mondiale. Aiguillonné
par la Fondation Carnegie et d’autres grands noms de l’oligarchie, le
Président Wilson a fini par céder.
Comme l’a écrit Charles Tansill dans America Goes to War : "Avant
même le choc des armes, la firme française Rothschild Frères a câblé à
Morgan & Company à New York pour suggérer la proposition d’un prêt
de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle devait être
levée aux États-Unis pour payer les achats français de produits
américains".
La Maison de Morgan a financé la
moitié de l’effort de guerre américain, tout en recevant des commissions
pour aligner des entrepreneurs tels que GE, Du Pont, US Steel,
Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan.
Morgan a également financé la guerre des Boers britanniques en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne.
La
Conférence de paix de Paris de 1919 était présidée par Morgan, qui
dirigeait les efforts de reconstruction des allemands et des alliés.
Dans
les années 1930, le populisme a refait surface en Amérique après que
Goldman Sachs, Lehman Bank et d’autres ont profité du krach de 1929. Le
président du comité bancaire de la Chambre des représentants, Louis
McFadden (D-NY), a déclaré à propos de la Grande Dépression : "Ce
n’était pas un accident. C’était un événement soigneusement conçu… Les
banquiers internationaux ont cherché à provoquer une condition de
désespoir ici afin qu’ils puissent émerger en tant que dirigeants de
nous tous".
Le sénateur Gerald Nye (D-ND) a présidé
une enquête sur les munitions en 1936. Nye a conclu que la maison
Morgan avait plongé les États-Unis dans la Première Guerre mondiale pour
protéger ses activités de prêts et créer une industrie des armes en
plein essor. Nye a produit plus tard un document intitulé The Next War,
qui faisait référence cyniquement à "la vieille déesse de la démocratie", à travers laquelle le Japon pourrait être utilisé pour attirer les États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale.
En 1937, le secrétaire à l’Intérieur Harold Ickes a mis en garde contre l’influence des "60 familles américaines". L’historien Ferdinand Lundberg a par la suite écrit un livre ayant le même titre.
Le juge de la Cour suprême William O. Douglas a critiqué "l’influence de Morgan… la plus pernicieuse de l’industrie et de la finance aujourd’hui". Jack Morgan a répondu en poussant les États-Unis vers la Seconde Guerre mondiale.
Morgan
avait des relations étroites avec les familles Iwasaki et Dan – les
deux clans les plus riches du Japon – qui possédaient respectivement
Mitsubishi et Mitsui, depuis que les sociétés sont sorties des shogunats
du XVIIe siècle.
Lorsque le Japon a envahi la Mandchourie,
massacrant des paysans chinois à Nankin, Morgan a minimisé l’incident.
Morgan avait également des relations étroites avec le fasciste italien
Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Hjalmer Schacht était un
agent de liaison de la Morgan Bank pendant la Seconde Guerre mondiale.
Après
la guerre, des représentants de Morgan ont rencontré Schacht à la
Banque des règlements internationaux (BRI, en anglais BIS) à Bâle, en
Suisse. La BRI, créée en 1930, est la banque la plus puissante du monde,
une banque centrale mondiale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales privées de presque tous les pays occidentaux et en développement.
Le
premier président de la BRI était le banquier de Rockefeller Gates
McGarrah, un responsable de la Chase Manhattan et de la Réserve
fédérale. McGarrah était le grand-père de l’ancien directeur de la CIA
Richard Helms. Les Rockefeller – comme les Morgan – avaient des liens
étroits avec Londres.
David Icke écrit dans "Children of the Matrix", que les Rockefeller et Morgan n’étaient que des hommes de main pour les Rothschild européens.
La
BRI appartient à la Réserve fédérale, à la Banque d’Angleterre, à la
Banque d’Italie, à la Banque du Canada, à la Banque nationale suisse, à
la Nederlandsche Bank, à la Bundesbank et à la Banque de France.
L’historien Carroll Quigley a écrit dans son livre épique Tragedy and Hope que la BRI faisait partie d’un plan, "pour
créer un système mondial de contrôle financier entre des mains privées
capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du
monde dans son ensemble… être contrôlé de manière féodale par les
banques centrales du monde agissant de concert par des accords secrets".
Le
gouvernement américain avait une méfiance historique envers la BRI,
faisant du lobbying sans succès pour sa disparition lors de la
conférence de Bretton Woods de 1944 après la Seconde Guerre mondiale. Au
lieu de cela, le pouvoir des huit familles a été amplifié avec les
accords de Bretton Woods et la création du FMI et de la Banque mondiale.
La
Réserve fédérale américaine n’a pris des parts de la BRI qu’en
septembre 1994. La BRI détient au moins 10% des réserves monétaires d’au
moins 80 des banques centrales mondiales, du FMI et d’autres
institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les
accords internationaux, recueille des informations sur l’économie
mondiale et sert de prêteur en dernier recours pour éviter
l’effondrement financier mondial. La BRI promeut un programme de fascisme capitaliste monopoliste.
Elle
a accordé un crédit-relais à la Hongrie dans les années 1990 pour
assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle a servi de canal
pour le refinancement des huit familles ayant soutenu financièrement
Adolf Hitler, opération dirigée par J. Henry Schroeder de Warburg et la
Mendelsohn Bank d’Amsterdam.
De nombreux chercheurs affirment que
la BRI est au centre du blanchiment d’argent mondial de la drogue. Ce
n’est pas un hasard si la BRI a son siège en Suisse, cachette préférée
de la richesse de l’aristocratie mondiale, pays où se trouve le siège de
la loge Alpina de la franc-maçonnerie italienne P-2 et du mouvement
cryptique Nazi International.
Les autres institutions contrôlées par les huit familles comprennent le Forum économique mondial plus connu sous le nom de Forum de Davos dont le dirigeant n'est autre que l'eugéniste Klaus Schwab, la Conférence monétaire internationale et l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la Banque mondiale étaient au cœur de ce "Nouvel Ordre Mondial".
En 1944, les premières obligations de la Banque mondiale ont été émises par Morgan Stanley et First Boston.
La
famille française Lazard s’impliqua davantage dans les intérêts de la
maison Morgan. Lazard Frères – la plus grande banque d’investissement de
France – appartient aux familles Lazard et David-Weill – d’anciens
seniors bancaires génevois représentés par Michelle Davive. Un récent
président-directeur général de Citigroup était Sanford Weill.
En
1968, Morgan Guaranty a lancé Euro-Clear, un système de compensation
bancaire basé à Bruxelles pour les titres Eurodollar. Il s’agissait de
la première tentative automatisée de ce type. Certains ont décidé
d’appeler Euro-Clear "la Bête".
Bruxelles servit de siège à la nouvelle Banque centrale européenne (BCE) et à l’OTAN. La BCE a immédiatement été déplacée à Francfort à la demande de l’Allemagne.
En
1973, les fonctionnaires de Morgan se sont réunis secrètement aux
Bermudes pour ressusciter illégalement l’ancienne maison de Morgan,
vingt ans avant l’abrogation du Glass-Steagal Act.
Morgan et les
Rockefeller ont fourni le soutien financier à Merrill Lynch, le
propulsant dans le Big 5 de la banque d’investissement américaine.
Merrill fait maintenant partie de Bank of America. John D. Rockefeller a
utilisé sa richesse pétrolière pour acquérir Equitable Trust, qui avait
englouti plusieurs grandes banques et sociétés dans les années 1920.
La
Grande Dépression a contribué à consolider le pouvoir des Rockefeller.
Sa Chase Bank a fusionné avec la Manhattan Bank de Kuhn Loeb pour former
Chase Manhattan, cimentant ainsi une relation familiale de longue date.
Les Kuhn-Loeb avaient financé – avec Rothschild – un prêt à Rockefeller
pour devenir le roi du pétrole. La National City Bank de Cleveland a
fourni à John D. Rockefeller l’argent nécessaire pour se lancer dans sa
monopolisation de l’industrie pétrolière américaine.
La banque a été identifiée lors des audiences du Congrès comme étant l’une des trois banques appartenant à Rothschild aux États-Unis dans les années 1870, lorsque l’empire Rockefeller s’est constitué en tant que Standard Oil of Ohio.
Edward
Harkness, un partenaire de la Rockefeller Standard Oil, prit le
contrôle de la Chemical Bank. Un autre était James Stillman, dont la
famille contrôlait le Manufacturers Hanover Trust. Les deux banques ont
fusionné sous l’égide de JP Morgan Chase.
Deux des filles de
James Stillman ont épousé deux des fils de William Rockefeller. Les deux
familles contrôlent également un gros morceau de Citigroup.
Dans
le secteur des assurances, les Rockefeller contrôlent Metropolitan
Life, Equitable Life, Prudential et New York Life. Les banques
Rockefeller contrôlent 25% de tous les actifs des 50 plus grandes
banques commerciales américaines et 30% de tous les actifs des 50 plus
grandes compagnies d’assurance américaines.
Les compagnies
d’assurance – la première aux États-Unis a été lancée par les
francs-maçons par le biais de leur organisation Woodman’s of America –
jouent un rôle clé dans le recyclage de l’argent de la drogue aux
Bermudes.
Les sociétés sous contrôle Rockefeller comprennent
Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran,
Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International
Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer (!!), Motorola, Monsanto, Union Carbide et General Foods. La Fondation Rockefeller a des liens financiers étroits avec les fondations Ford et Carnegie.
Parmi les autres initiatives philanthropiques familiales, mentionnons le Rockefeller Brothers Fund, le Rockefeller Institute for Medical Research,
le General Education Board, la Rockefeller University et l’Université
de Chicago qui produisent un flux constant d’économistes d’extrême
droite en tant qu’apologistes des capitaux internationaux, dont Milton Friedman.
La
famille possède le 30 Rockefeller Plaza, où le sapin de Noël national
est allumé chaque année ainsi que le Rockefeller Center. David
Rockefeller a joué un rôle déterminant dans la construction des tours du
World Trade Center. La maison principale de la famille Rockefeller est
un complexe imposant dans le nord de l’État de New York connu sous le
nom de Pocantico Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces
sur la 5e Avenue à Manhattan, un manoir à Washington, DC, le Monte Sacro
Ranch au Venezuela, des plantations de café en Équateur, plusieurs
fermes au Brésil, un domaine à Seal Harbor dans le Maine et des
complexes hôteliers dans les Caraïbes, à Hawaï et Puerto Rico.
Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles a créé la CIA, aidé les nazis, étouffé l'enquête sur l'assassinat de Kennedy de par son influence sur la Warren Commission et conclu un accord avec les Frères musulmans pour créer des assassins à l’esprit entièrement contrôlé.
Le
frère John Foster Dulles a présidé les fausses fiducies Goldman Sachs
avant le krach boursier de 1929 et a aidé son frère à renverser les
gouvernements d’Iran et du Guatemala.
Tous deux étaient des initiés de Skull & Bones, du Council on Foreign Relations (CFR) et des maçons de la 33e loge.
Les
Rockefeller ont joué un rôle déterminant dans la formation du Club de
Rome axé sur la dépopulation dans leur domaine familial à Bellagio, en
Italie.
Leur domaine de Pocantico Hills a donné naissance à la Commission Trilatérale.
La
famille est un bailleur de fonds majeur du mouvement eugénique qui a
engendré Hitler, le clonage humain et l’obsession actuelle de l’ADN dans
les cercles scientifiques américains. John Rockefeller Jr. a dirigé le
Population Council jusqu’à sa mort. Son fils éponyme est un sénateur de
Virginie-Occidentale. Le frère Winthrop Rockefeller était
lieutenant-gouverneur de l’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant
de cet État.
Dans une interview d’octobre 1975 avec le magazine
Playboy, le vice-président Nelson Rockefeller – qui était également
gouverneur de New York – a expliqué la vision familiale d’un monde sous
tutelle : "Je suis un grand partisan de la planification – économique, sociale, politique, militaire, de la planification mondiale totale".
Mais
de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la Trilateral
Commission (TC) et président de Chase Manhattan, David, qui a dirigé le
programme fasciste de la famille à l’échelle mondiale. Il a défendu le
Shah d’Iran, le régime d’apartheid sud-africain et la junte chilienne de
Pinochet. Il était le plus grand financier du CFR, de la TC et pendant
la guerre du Vietnam, du Comité pour une paix efficace et durable en
Asie – une aubaine pour ceux qui gagnaient leur vie avec ce conflit.
Nixon
lui a demandé d’être secrétaire au Trésor, mais Rockefeller a refusé le
poste, sachant que son pouvoir était beaucoup plus important à la tête
de la Chase.
L’auteur Gary Allen écrit dans The Rockefeller File qu’en 1973, "David Rockefeller a rencontré vingt-sept chefs d’État, y compris les dirigeants de la Russie et de la Chine rouge".
Après
le coup d’État de 1975 de la Nugan Hand Bank avec la CIA contre le
Premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la
Couronne britannique, Malcolm Fraser, s’est rendu aux États-Unis, où il a
rencontré le président Gerald Ford après s’être entretenu avec David
Rockefeller.
Après avoir lu ça, imaginer que nous vivons dans des
démocraties est une pure illusion. Et penser que les politiciens que
nous élisons ont un quelconque pouvoir pour améliorer nos destinées est
une sinistre plaisanterie. Le monde réel est dirigé par ces banquiers.
Ils possèdent tout, les gouvernements, les médias, toutes les
industries, toutes les monnaies. Ce sont eux les Maîtres du monde et ce
sont eux qui sont les concepteurs de la Matrice dans laquelle nous
survivons à grand peine.
Et ce sont eux qui ont planifié cette fausse pandémie mondiale
pour agir sur nos esprits, nous maintenir dans la peur et l'obéissance
et si jamais nous nous y opposons, ils nous génocideront sans aucun
scrupule en provoquant des guerres civiles, en nous dressant les uns
contre les autres avec de faux attentats "islamistes" ou en disséminant un virus qui sera mortel pour l'humanité car ils ne sont pas à un crime près...
Servez-vous un bon scotch, vous allez en avoir besoin...
Jacques Henry + Ajouts de la rédaction
Source : Le Cartel de la Réserve fédérale
Source : https://mediazone.zonefr.com/news/qui-sont-les-vrais-ma%C3%AEtres-du-monde-230
3 commentaires:
Par ordre alphabétique :
- Goldman Sachs (New York)
- Israel Moses Seif (Rome)
- Kuhn Loeb (New York) lié aux Schiff (New York)
- Lazard (Paris)
- Lehman (New York)
- Rockefeller (New York)
- Rothschild (Paris et Londres) qui opèrent aux États-Unis derrière la façade Morgan (New York)
- Warburg (Hambourg et Amsterdam)
Et,dire que des hommes et des femmes sont morts pour défendre leurs patries pensant que celle-ci les protégés. Quel gâchis,et surtout quelle trahison de la part de ceux que l'on nomme l'élite gouvernementale. Merci.
Tout à fait "Le dormeur doit se réveiller".
D'ailleurs, il y a un adage qui dit : "Ils pensaient combattre pour la patrie et ils sont morts pour des industriels."
Je ne suis pas sûr mais il me semble que l'auteur de cette phrase est un ancien militaire haut gradé, un Marine copieusement décoré, qui est devenu un militant anti-guerre après plus de 30 années de service.
Sur les industriels et les banquiers qui spéculent sur la guerre, la première vidéo de la série "Débranchez-vous !" est édifiante.
Voir ici : http://justemonopinion-jeronimo.blogspot.com/2021/05/restez-debranches.html
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