lundi 4 janvier 2021

Lettre à Jean Castex, 1er Ministre

JEAN CASTEX, 1ERMINISTRE. 

LES PANDEMIESA VIESONT A NOS PORTES! 

 LES RESULTATSDE L’AGROCHIMIE ET DU «PROGRES»

(Gilles-Eric Séralini–Professeur de biologie moléculaireà Caen).

 Camarade Jean-Castex, j’ai vraisemblablement connu ton père au Lycée d’Aire sur Adour autour des années 1954, je dois te confier que tu sembles être un jeune berger non averti de la mauvaise manière dont tu conduis notretroupeau.Tu ne pourras jamais neutraliser une quelconque pandémie si tu ne tiens pas compte de rudiments de bon sens et de biologie. Nos défenses immunitaires se forgent dans le respect des règles naturelles. Toute intrusion chimique, OGM, nanoparticules, pesticides,Roundup,ondes électromagnétiques, médicaments de synthèse,vaccins ou autres affaiblissent considérablement notre santé et laissent la porte ouverte aux maladies dégénératives et aux développements d’épidémiespar ces éléments étrangers que tu ne pourras jamais circonscrire par le masque et le confinement. Quel que soit le virus, simple déchet métaboliqueinoffensif, ce n’est pas lui qui contamine, d’individu à individu, mais bien tous les produits que je viens de citer par absorption ou inhalation.Faisons placeaudocument écrit parEric Séralini professeur de biologie moléculaire et son équipe à l’Université de Caen.Je te fais grâce des travaux de précurseurs comme le Pr Jules Tissot, et Pr Louis-Claude Vincent.

En refusant de se confronter au problème de la pollution chimique, notre société se condamne à une sorte de schizophrénie: ( La schizophrénie est une maladie psychiatrique caractérisée par un ensemble de symptômes très variables : les plus impressionnants sont les délires et les hallucinations, mais les plus invalidants sont le retrait social et les difficultés cognitives.)cette société, construit un mode de vie qui produit des malades, mais aussi des malnutris et des pauvres ; de l'autre, elle se plaint de manquer d'argent pour les soigner. Peut-on demander aux consommateurs de subir dans leur chair le préjudice causé par des produits mal évalués et de mettre toujours davantage la main à la poche pour payer ces terribles dégâts ? La part de nos impôts dans les subventions à l'agriculture intensive se double du coût pour épurer l'eau du robinet de ses nitrates et de ses pesticides ! Quand on sait que les huit plus grandes compagnies pharmaceutiques du monde sont liées aux fabricants de pesticides, de produits chimiques et d'OGM ou bien en fabriquent elles-mêmes, il y a de quoi se demander si elles ne font pas coup double, ajoutant aux profits générés par les produits agro-alimentaires et ménagers ceux des médicaments dont l'usage des premiers crée le besoin. Le marché des produits pharmaceutiques croît et rapporte à proportion des conséquences sanitaires de la commercialisation des produits toxiques. On comprend alors pourquoi les entreprises ont intérêt à ce que l'évaluation demeure approximative. 

Les offres de formations proposées aux médecins au cours de leur carrière proviennent aujourd'hui essentiellement des représentants des grandes compagnies pharmaceutiques.Si l'on ajoute que, dans les études médicales, la biologie fondamentale, l'écologie, les sciences de l'environnement, la toxicologie chronique sont peu abordées, et que l'effort maximal de mémorisation porte sur les pathologies non chimiques, sur leurs symptômes, leurs traitements, leurs effets secondaires, on prend conscience que les gardiens de notre santé ne sont en rien préparés à prévenir, à diagnostiquer et à traiter un type de maladies aujourd'hui très répandu. En d'autres termes, nos futurs médecins, pharmaciens, diététiciens, nutritionnistes, ne reçoivent aucune formation sur les pesticides, les toxicités chroniques ou hormonales des produits chimiques, les détoxifications possibles, les OGM agricoles, les nanotechnologies, les effets des rayonnements électromagnétiques. Par conséquent notre médecine demeure palliative, elle se condamne à n'être qu'une médecine de soin et non de santé. Et nous n'avons pas fini de nous confronter au problème de l'augmentation massive des dépenses liées aux pathologies chroniques, voire de multiples pandémies que personne ne pourra juguler.

Sourcehttps://www.etresouverain.com/wp-content/uploads/2021/01/4-Jean-Castex-Version-02-01-2021.pdf

Aucun commentaire: