mercredi 17 mars 2021

Alexandra Henrion-Caude présente les "vaccins" modificateurs de notre patrimoine génétique



Alexandra Henrion-Caude, Docteur en génétique

On a présenté à la population un produit en l'appelant vaccin, en disant "vaccin ARN" et donc, le corps médical a pensé que c'était un vaccin "basique".

Or, comment fonctionne un vaccin ?

Son origine est microbienne, et donc lorsque vous êtes injecté, votre organisme reconnaît qu'il y a un corps étranger et se met en ordre de bataille. (Réaction du système immunitaire).

Ça, c'est un vaccin.

Mais l'injection du code d'un virus, par injection ARN, du soi-disant "vaccin ARN", ce n'est pas du tout ça, car en fait quand on vous l'injecte, il est dans des petites capsules de lipides qui passent inaperçues dans votre organisme, et qui vont du coup aller s'intégrer dans toutes vos cellules, car toutes les cellules sont faites de lipide. Donc cette injection, non reconnue comme étrangère, va rentrer son code nétique chez vous, donc va vous modifier génétiquement. Car sinon, quelle raison de rentrer un code nétique, si ce n'est pas pour vous modifier et vous faire produire un truc que vous ne produisiez pas ?

Et, à partir du moment où vous êtes injecté, vous vous mettez à produire une protéine du virus.

Donc pour résumer :

Votre organisme n'a pas reçu d'information comme quoi il était en guerre, car le code du virus est encapsulé dans des capsules de lipides qui le rendent furtif dans l'organisme, votre organisme donc va commencer à produire une protéine du virus,

Quelle vont en être les conséquences ?

Et bien justement, nous ne sommes pas en mesure d'anticiper ces conséquences, mais ce que l'on comprend, c'est qu'avant que votre système immunitaire ne réagisse, en reconnaissant la protéine étrangère, et en l'identifiant comme une protéine de virus et se mette en ordre de bataille in fine, pendant ce temps, la protéine va déclencher des signalisations typiques du virus de la covid- 19, sans pour autant que vous ayez le virus. Et tant que l'on n’a pas pris le temps nécessaire pour observer tous ces aspects-là, on dit n'importe quoi.

Voipourquoi c'est très différent d'un vaccin, car tous les vaccins fonctionnent de la même façon.

A savoir, qu'on injecte des protéines, ou des virus atténués, qui sont reconnus directement comme étrangers, afin que le système immunitaire se mette directement en marche,

Donc cette injection ne fonctionne pas comme un vaccin, car c'est injection de code génétique.

C'est pour cette raison que « Moderna » sur son site internet que vous pouvez consulter, définit son produit en tant que « software of life » (logiciel de vie),

Un software, ça veut dire reprogrammation, donc qu'on vous transforme. Quelle utilité de créer un "software" pour ne pas lui adjoindre des fonctions ?

Donc si vous lui créez des fonctions, c'est que vous l'augmentez, et donc vous changez l'humain pour le faire passer à quelque chose de différent…

Aucun traitement pour modifier génétiquement l'être humain n'a été à ce jour approuvé, et ce pseudo-vaccin, lui non plus n'a pas été approuvé. Ni par une régulation américaine, ni par une régulation européenne, Il s'agit donc d'un passage en force !

Les essais cliniques ne seront pas terminés avant fin 2022 et même janvier 2023 pour Pfizer,

Ça veut donc dire que toute personne qui se fait injecter d'ici là doit être informée qu'elle accepte de faire partie d'un protocole de recherche de biologie médicale ; elle doit être informée que l'essai clinique se terminera fin 2022.

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