jeudi 16 mai 2019

Un initiative intéressante : PROJET CANDIDATURE ALTERNATIVE PRÉSIDENTIELLE 2022

CONSTAT 

Les systèmes démocratique et économique actuels sont en crise. La faute en est aux politiciens qui n'ont pour seule préoccupation que le maintien de leur poste et de leurs privilèges. S'en suit une suite de mensonges, promesses non tenues, inepties économiques à des fins électorales, et ce dans un système économique à bout de souffle qui a besoin de dépasser les limites de ce que peut nous donner la nature pour à peine survivre. 

Ce système a la particularité de bloquer des projets essentiels à notre bien être ou notre sécurité, alors que nous disposons des matières premières, des compétences et de la main d’œuvre nécessaires, uniquement pour des questions de financement. Comment accepter que nous manquions de personnels médicaux, d'enseignants, de forces de sécurité, que des bâtiments publiques tombent en ruine, que des gens dorment dans la rue parce que nous ne sommes pas capables de construire des logements, que nous ne soyons pas capables d'accomplir toutes ces tâches alors que nous avons des millions de chômeurs ? Le projet que vous allez voir a entre autres pour objectif de rendre la réalisation de tout projet dont 'utilité est reconnue possible grâce à un changement de l'organisation économique. 

Après une campagne présidentielle 2017 riche en casseroles et mensonges économiques, le plus notoire étant qu'il faille redresser la France (pays qui n'a jamais été aussi riche, n'a jamais compté autant de millionnaires, qui est toujours, depuis des siècles, la 5° puissance économique mondiale, pays qui est champion de la redistribution de dividendes aux actionnaires de ses grandes entreprises, pays où les 10 plus grosses fortunes parviennent à augmenter leur patrimoine de 30 % en un an), ce programme a pour but de rétablir la vérité du possible et démontrer qu'une autre organisation de la société est à portée de main.

PHILOSOPHIE/OBJECTIFS 

Ce projet se veut avant tout démocratique. Pourtant, nul ne peut se prétendre démocrate et présenter un projet où tout est ficelé d'avance. En règle générale, la proposition d'organisation démocratique que vous trouverez dans ce projet, nous interdit de toute façon d'imposer quelque idée que ce soit. C'est au final le citoyen qui décide. C'est pourquoi, dans chaque secteur de propositions, ce projet pourra regrouper 5 propositions qui répondront aux objectifs prédéfinis et qui auront au préalable été sélectionnées par 80 % des personnes travaillant sur cette candidature. Une proposition déjà retenue pourra être évincée par une nouvelle si nous estimons qu'une plus value est apportée. 

Seuls le Niveau de Vie de Base et le Temps de Travail Evolutif Pondéré, qui sont le cœur de ce projet, ne sont pas négociables et ne pourront pas être supprimés de ce projet. Ces deux mesures seront inscrites dans la constitution.

Sachez qu'à l'heure où nous rédigeons ce programme, nous avons déjà sous le coude un système monétaire qui préserve les ressources environnementales, éradique le chômage, les inégalités et la précarité, et fonctionne sans impôt ni taxe ni cotisation. Nous n'intégrons pas ce système à notre programme car nous voulons laisser la voie libre à d'autres idées susceptibles d'atteindre ces objectifs. Sachez toutefois que grâce à ce système monétaire inédit, que nous dévoilerons si aucune autre piste sérieuse ne se présente à nous, le financement de la totalité de ce que vous allez voir à partir de maintenant est dores et déjà acquis.


DEMOCRATIE : 
Objectif : redonner le pouvoir de proposition et de décision au citoyen. 

Proposition N°1 : la double proportionnelle et la systématisation du référendum Dans un vrai système démocratique, on ne peut pas désirer la richesse des débats et la multiplicité des projets (candidats) et attendre qu'un projet soit retenu dès le premier tour avec plus de 50 % des suffrages. 

La leçon qu'il faut tirer de la présidentielle de 2017, avec 4 candidats au coude à coude à l'issue du premier tour, proposant des idées totalement opposées sur des sujets d'importance tels que le droit du travail, l'Europe, la fiscalité, le nucléaire, l'écologie, l'immigration, la sécurité... est qu'il y a une rupture du débat démocratique à la fin du second tour. Aucun de ces sujets n'a été tranché, car chaque électeur n'avait d'autre choix que de voter pour un projet fourre-tout sans pouvoir préciser son opinion sur aucun des grands sujets débattus. Le résultat est un élu unique qui appliquera la politique qui lui convient sans connaître précisément les souhaits des électeurs qui l'ont amené au pouvoir.
Notre proposition est de modifier totalement l'exercice du pouvoir. Les 3 ou 4 candidats qui auront réunis ensembles 75 % des suffrages seront chargés d'étudier ensembles les solutions aux divers problèmes rencontrés. Ainsi, 75 % des électeurs seront représentés dans l'exercice du pouvoir. Les candidats élus seront assistés dans leur tâche par des assemblées citoyennes, réunies par domaine de compétences (économie, éducation, sécurité,...) dont la proportion correspondra à celle des différentes catégories socio-professionnelles. Des experts de toute sensibilité seront également invités à ces commissions afin de valider la cohérence des argumentations. 

Toute solution retenue par ce processus sera soumise à référendum. Il sera d'ailleurs possible que le vote porte sur plusieurs propositions au lieu d'une seule. 

Une fois retenue et mise en application, une proposition ne sera validée qu'après une période probatoire de 5 ans. Si ça ne fonctionne pas, il n'y a pas de raison de continuer. 

Au niveau des candidatures, le système de parrainages sera conservé. Il sera par contre intégré une part de parrainages citoyens. Deux seuils seront appliqués : le seuil habituel à partir du quel la candidature est effective, et un seuil à 50 % des parrainages permettra aux candidats potentiels d'accéder aux médias afin de faire connaître plus facilement leur projet à d'éventuels nouveaux parrains. 

Afin d'éviter d'influencer les votes, les sondages seront interdits. 

ENVIRONNEMENT : 

Objectif : réformer nos modes de production et de consommation afin de vivre en adéquation avec notre environnement/ Proposition N° 1 : le protectionnisme environnemental et la limitation de l'activité économique aux volumes de ressources naturelles et énergies acceptables.
Les banques ayant beau faire de la création monétaire à tout va, le seul budget dont nous disposions réellement est celui des ressources naturelles acceptables fournies par notre environnement chaque année, sans piocher dans les réserves de l'année suivante. Tout projet promettant la création d'emplois néglige le fait que tout emploi, même de service, a une empreinte écologique. A une époque où notre consommation dépasse de 50 % notre budget annuel en terme de richesses naturelles, ce positionnement est irresponsable. 

Il faudra que nous définissions ensemble la notion de ressource naturelle ACCEPTABLE : tout ce que nous consommons vient de la nature, mais est ce pour autant que le pétrole est une ressource acceptable dans toutes les utilisations que nous en faisons ? Le nucléaire est elle une énergie acceptable ? 

La première évidence, plus que proposition, de ce programme, est que nous devons limiter notre activité économique au volume de ressources naturelles. De là découle naturellement l'organisation du travail et de la répartition des richesses que vous allez découvrir par la suite. 

Le protectionnisme environnemental. Des cochons élevés et consommés en Bretagne mais abattus en Allemagne à grand coup de bilan carbone, des fruits ou légumes non exotiques qui arrivent de l'autre bout du monde par voie maritime, le moyen de transport le plus polluant qui soit, délocalisation de la production industrielle de marchandises consommées en France, les exemples de l'absurdité de notre mode de production ne manquent pas. Les quelques propositions allant à l'encontre de ces absurdités, motivées par des préoccupations plus économiques que environnementales, utilisaient toutes le levier de la taxation incitative, avec au bout deux constantes : c'est le consommateur qui paye, et les entreprises ne manquent jamais d'imagination pour compenser les dépenses supplémentaires par des économies sur la main d’œuvre ou des atteintes à la sécurité. 

Notre proposition est d'aller directement au cœur du problème en interdisant les pratiques irresponsables : tout territoire (la taille d'un territoire restant à définir, et variera certainement en fonction du type de production envisagée) n'aura pas le droit d'importer des marchandises que ses richesses naturelles l'autorisent à produire par lui même. Par exemple, un territoire qui a besoin de 100 tonnes de légumes et qui est capable d'en produire 90 n'aura pas le droit d'en importer plus de 10. Cette mesure, à préoccupation environnementale, aura pour conséquence d'imposer les circuits courts, diminuer la pollution due aux transports et favoriser l'emploi local, participant ainsi au calcul du temps de travail que nous verrons plus loin. 

Cela permettra également à des pays émergents de consacrer leurs ressources naturelles à leur développement et à leur consommation plutôt que de produire pour les pays développés et vivre dans la misère. Cette mesure diminuera l'immigration économique. 

Afin de réduire davantage les transports de marchandises alimentaires, les bâtiments vétustes et destinés à la destruction en zone urbaine et péri urbaine seront remplacés par des zones agricoles. Le mode de culture, en zone de forte concentration démographique, sera bien évidemment exempt de produits phytosanitaires polluants. Le travail mécanique sera effectué sans faire appel aux énergies fossiles ou nucléaires. Tout nouveau projet immobilier sera autosuffisant en terme de production végétale et énergétique. 

ENERGIE 

Les études sur le réchauffement climatique tiennent le CO2 pour seul responsable de ce dérèglement. C'est oublier que les énergies fossiles ne sont autres que de la bio masse qui a capté et emprisonné de l'énergie solaire il y a des millions d'années. Utiliser ces énergies revient à vivre avec un deuxième soleil au dessus de nos têtes, d'où l'augmentation de température. La déduction de ce constat est que le nucléaire, énergie soit disant propre en terme de CO2, montre le même impact sur le dégagement de chaleur que les énergies fossiles. Lorsque vous utilisez un radiateur ou un moteur électrique, il y a un dégagement de chaleur qui ne disparaîtra pas par enchantement mais qui se diffuse dans l'atmosphère. Si nous voulons lutter efficacement contre le réchauffement climatique, nous ne devons accepter que les dégagements de chaleur d'origine climatique. 

Il est donc inconcevable de ne pas envisager la fin de l'utilisation des énergies fossiles et nucléaires dès que possible. Nous ne rentrerons pas dans la démarche électoraliste qui consiste à fixer un horizon, suffisamment proche pour appâter les partisans de la sortie du nucléaire, et suffisamment lointain pour ne pas inquiéter ceux qui en vivent. La limite que nous fixons est DES QUE POSSIBLE ET AU RYTHME NECESSAIRE. 

Dans la liste des énergies renouvelables, nous rajouterons celle de l'activité humaine. Nous réalisons au quotidien des tâches qui génèrent de l'énergie et qu'il est possible de récupérer dans bien des cas (imaginez qu'un portillon de métro génère de l'énergie lorsque nous le poussons plutôt qu'il n'en consomme pour s'ouvrir automatiquement). Imaginez des plaques vibrantes sur les périphériques urbains. 

Notre action ne se portera pas uniquement sur les modes de production mais également sur la consommation. L'énergie la moins néfaste est bien évidemment celle que nous ne consommons pas et nous nous appliquerons à diminuer le plus possible la consommation d'énergie. Les pistes retenues sont : -diminution des gaspillages : bureaux et éclairages publics allumés la nuit, portes automatiques et escalators en mouvement permanent,... -restructuration de l'emploi de façon à limiter les trajets : travail à domicile, échange de postes entre deux personnes ayant la même fonction mais qui se croisent sur la route. -produire moins mais de meilleure qualité pour diminuer l'énergie nécessaire à la destruction et au renouvellement. -Limitation des campagnes de marketing à un rôle de conseil et d'information, limitant ainsi le budget énergétique et environnemental du poste publicitaire des entreprises. -Arrêt de la production de tout ce qui n'est pas directement lié à la couverture de nos besoins. 

LA CONSOMMATION 

Nous avons dores et déjà atteint un niveau de consommation inégalé. La survie du système économique actuel implique que nous consommions toujours plus, au mépris de l'équilibre environnemental. En mutualisant l'utilisation des équipements, nous pouvons avoir un meilleur niveau de consommation tout en piochant moins dans les ressources naturelles. Nous reprenons l'exemple de la perceuse électrique qui équipe une grande partie des foyers français alors qu'elles ne servent que très rarement et souvent à des tâches où elles seront sur ou sous dimensionnées. Disposer d'un certain nombre d'outils pour 1000 habitants permettra de faciliter l'accès à un matériel adapté et de qualité en diminuant l'utilisation de richesses naturelles et d'espaces de stockages individuels.

POUVOIR D'ACHAT : 

Objectif : Procurer à chaque individu un niveau de vie digne et exempt de précarité.
Proposition n° 1 : le niveau de vie de base et le plafonnement des salaires. Dans la lignée des salaires à vie, revenu de base et revenu universel, nous proposons le Niveau de Vie de Base. En effet, si la philosophie qui consiste à penser qu'une personne qui participe, participera, ou a participé à la création de richesses, mérite automatiquement l'accès à une part de ces richesses, les systèmes évoqués ci dessus présentent certaines carences, notamment la non prise en compte des disparités de niveau de vie entre les régions, et négligent la finalité d'un revenu, c'est à dire d'accéder à un niveau de vie. Le Niveau de Vie de Base s'affranchit de ces carences en allant à l'essentiel. Il n'accorde plus un revenu assuré mais l’accès direct aux richesses nécessaires à une existence digne. Ce Niveau de Vie de Base est composé : -de l'accès au logement, à l'énergie et aux principaux équipements domestiques quelle que soit la région de résidence. -de l'accès à la nourriture, aux vêtements et aux produits de première nécessité. -de l'accès à tous les soins, y compris dentaires, auditifs et oculaires. Ce point est particulièrement intéressant car il existe déjà partiellement et prouve que le reste peut être mis en place sur le même principe. -l'accès à l'éducation et à la culture -l'accès aux transports -l'accès aux communications. 

L'universalité :
 
Le NVB bénéficiera sans distinction de revenu aux : -travailleurs salariés -travailleurs indépendants -chefs d'entreprise -étudiants -retraités -artistes -personnes en situation de handicap -femmes ou hommes au foyer -personnes sans emploi, bien que le nouveau contrat social que nous aborderons par la suite éradiquera le chômage structurel. Le NVB bénéficiera de toute façon aux personnes en situation de chômage frictionnel.

Une réforme de la rémunération

Le NVB procure un niveau de sécurité sans précédent en terme de qualité de vie. En effet, actuellement, des gens qui travaillent ne sont pas assurés pour autant de bénéficier, sans allocation supplémentaire, de tous ces avantages, et que dire si ils perdent leur emploi. Les autres dispositifs déjà présentés ont l'inconvénient de rajouter une allocation à la rémunération, souvent en supprimant les aides des plus démunis. En universalisant le droit à ce revenu, on creuse l'écart entre ceux qui arrivent à vivre sans aide et percevront leur RU, RDB ou autre en intégralité, et ceux qui le percevront quelque fois à moins de 50 % après déduction de certaines aides ou minimas sociaux.
Le NVB s'accompagne d'une réforme de la rémunération qui remet tous les acteurs économiques cités précédemment sur un pied d'égalité. 

Le NVB est acquis pour tous avant même la première heure de travail mais est pris en compte dans le calcul de la rémunération. 

Nous allons aborder pour plus de clarté cette question à travers un exemple chiffré. Le revenu médian à l'heure actuelle est d'environ 1500 € net. Certains sont au dessus, mais beaucoup sont en dessous et atteignent souvent le niveau de vie correspondant grâce à des allocations, ce qui nous donne : Niveau de vie= rémunération nette=1500€ ou plus, +pouvoir d'achat différé (retraites, sécurité sociale, formations,...) financées par les cotisations relatives à notre travail. ou Niveau de vie= rémunération nette+allocations et aides diverses=1500€ + pouvoir d'achat différé (retraites, sécurité sociale, formations,...) financées par les cotisations relatives à notre travail. 

Le NVB modifie cette équation en Rémunération=NVB+revenus du travail, soit si on estime le NVB à 1200€, variable suivant les régions, un revenu du travail à 300€ ou plus. Certains pourront y voir ici une casse des salaires, mais ce calcul renvoie au système de rémunération actuel ou la rémunération comprend un pouvoir d'achat direct par le versement de notre salaire net et un pouvoir d'achat différé grâce aux droits acquis à travers nos cotisations. Il y a uniquement une modification de la proportion revenu net/pouvoir d'achat indirect avec ce dernier poste qui s'étend à tous les secteurs de consommation évoqués précédemment. 

Le NVB augmente mécaniquement la rémunération des moins aisés en étendant le pouvoir d'achat indirect à tous les secteurs essentiels de notre existence. Il s'agit donc d'un transfert de notre rémunération vers un droit à l'existence. 

Soyons conscient que le NVB existe déjà partiellement à travers la sécurité sociale, qui assure une partie de l'accès aux soins, et les retraites qui assurent, pour hélas une partie seulement des retraités, ce niveau de vie digne après l'arrêt de leur activité professionnelle. 

Il est évident que si les petits retraités seront assurés entre autre de pouvoir se nourrir et se chauffer, ce qui n'est pas forcément le cas actuellement, les retraités qui ont déjà un niveau de vie supérieur au NVB ne se verront pas pénalisés. 

Un revenu plafond
 
Il n'est pas concevable de parler de revenu minimum sans parler de revenu maximum. En effet, le volume de richesses créées par le travail et dont le partage est régulé par la rémunération n'est pas illimité. On ne peut donc pas introduire dans le système de partage une notion de rémunération illimitée. Nous proposons donc l'instauration d'un revenu plafond égal à 5 fois le revenu minimum (Niveau de Vie de Base+ rémunération d'activité). Cette fourchette peut paraître étroite, mais gagner 5 fois plus que son voisin dans une société où la diminution du volant des rémunérations aura pour conséquence la diminution du volant des prix est déjà énorme.

EMPLOI : 

Objectif : éradication du chômage structurel et un taux de chômage frictionnel inférieur à 1 % le temps de se former et retrouver un emploi 

Proposition N°1 le Temps de Travail Evolutif Pondéré
 
Le temps de travail idéal, c'est à dire celui auquel, mécaniquement, la totalité de la production est assurée en faisant appel à la totalité de la main d’œuvre disponible est soumis à 5 variables : -le volume de ressources naturelles disponibles -nos besoins en terme de consommation de produits finis -l'efficacité de nos moyens de production -la réglementation -le nombre d'actifs
Ce temps de travail par actif idéal ne peut donc pas être fixé à 39, 35 ou 32 heures comme on essaie de nous le faire croire mais doit s'adapter en permanence à l'évolution de ces variables, les 4 premières déterminant le temps de travail global et la dernière permettant de diviser ce temps de travail par le nombre d'actifs et ainsi de déterminer le temps de travail moyen. 

La lenteur des débats sur le temps de travail, plus symboliques que rationnels fait que les politiques sont de toute façon systématiquement en retard sur l'évolution de notre société. C'est pourquoi nous proposons le temps de travail évolutif, qui sera calculé régulièrement, c'est à dire plusieurs fois par an, en tenant compte du volume de richesses à produire en fonction de la disponibilité des ressources naturelles, des l'efficacité des techniques de production, de la réglementation, et évidemment de l'évolution du nombre d'actifs. 

Un petit exemple sur les retraites (variable réglementation) : Alors que les politiques actuelles s'entêtent à repousser l'age de la retraite malgré que 50 % des seniors soient aux chômage et que 25 % des jeunes attendent que la place se libère, il ne sera plus incohérent de repousser l'age de la retraite si en parallèle on intègre ce nouveau paramètre dans le calcul du temps de travail idéal et que ça permet à chaque actif de travailler moins chaque semaine. Inversement, si nous décidons de partir à la retraite plus tôt, cela diminuera le nombre d'actifs qui devront de ce fait travailler quelques heures de plus par semaine. L'age de départ à la retraite sera évidemment décidé suite à un référendum.
Ce calcul devra s'effectuer aussi souvent que les variables évolueront. 

Pourquoi pondéré ? Parce que personne n'a le droit d'imposer à quelqu'un qui n'a pas envie de travailler beaucoup de le faire, et inversement. Dans le calcul du temps de travail seront pris en compte trois types de choix de vie : -Les personnes qui préfèrent travailler le moins possible et profiter de la vie et de leur NVB. Celles là ne travailleront peut être que une ou deux journées par semaine. -Les personnes qui veulent plus de confort et désirent donc travailler plus pour l'obtenir. -Les personnes qui trouvent que la moyenne, qui sera proposée systématiquement, leur convient parfaitement. Il n'est pas possible sans connaître la proportion de ces choix d'avancer un chiffre sur ce que sera le temps de travail. Si tous le monde se porte sur le choix soit du plus, soit du moins, le résultat sera en fait la moyenne. 

Notons que l'application du TTEP entraînera mécaniquement l’éradication du chômage.
Notons également, puisque c'était un argument de Benoit Hamon sur le RU, que le calcul ne prendra pas en compte les étudiants dans le nombre des actifs puisque ceux ci, bénéficiant du Niveau de Vie de Base, n'auront plus à travailler durant leurs études et pourront s'y consacrer entièrement, améliorant ainsi la qualité des compétences globales de notre pays. 

LICENCIEMENTS/INDEMNITES PRUD'HOMALES FLEXIBILITE/SECURITE 
« Si nous parlons de sécurité de revenu ou de garantie de salaire, nous supprimons tout obstacle à la flexibilité de l'emploi ainsi que tout intérêt à la sécurité de l'emploi » 

Constat : Il n'est pas cohérent que des entreprises soient obligées de conserver des effectifs qui ne correspondent pas à leur carnet de commande. Tout licenciement, quelle qu'en soit la cause, est un acte humiliant pour le salarié et les licenciements mal à propos sont à sanctionner. Le chef d'entreprise n'est pas un juriste et peut commettre des erreurs de procédure. Il ne doit pas pour ça risquer de voir remis en cause des années de travail et un droit à l'erreur doit être pris en compte. Par contre, la notion de récidive doit être introduite dans l'évaluation des sanctions. 

Proposition : Permettre à une entreprise de se séparer d'un ou plusieurs salariés en cas de baisse d'activité. Le salarié reste prioritaire sur le poste initialement occupé avec le salaire et l'ancienneté initiaux, que ce soit dans l'entreprise même où au sein d'entreprises du même groupe. 

Le salarié conserve son salaire pendant 3 ans et est prioritaire sur les formations par rapport à des bénéficiaires en activité. Le maintient de salaire est bien évidemment assuré par cotisations. En cas de licenciement non justifié, les indemnités seront progressives en cas de récidive. Cela permettra d'autoriser le droit à l'erreur et de sanctionner les abus. Afin d'assurer une égalité d'indemnité entre le premier et le xième salarié licencié injustement par la même entreprise, les indemnités seront versées à une caisse qui lissera la répartition entre les bénéficiaires. Les indemnités seront indexées sur l'effectif de l'entreprise et son chiffre d'affaire.

LA RESTRUCTION DE L'EMPLOI 

Objectif : diminuer les pertes de temps et pollution liées à l'emploi. 

Proposition N°1 Nous revenons ici sur notre préoccupation de préserver l'environnement. Nous avons d'ailleurs déjà abordé ce point précédemment. Chaque emploi a une empreinte écologique, par les matières premières et l'énergie qu'il consomme pour produire, et surtout du fait des transports travail/domicile. Aujourd'hui, beaucoup de français travaillent loin de chez eux, et il n'est pas rare que des personnes ayant le même métier se croisent dans les bouchons le matin comme le soir. Il suffirait qu'elles échangent leur poste pour réduire leur trajet domicile/travail et ainsi économiser du temps pour leurs activités familiales, limiter les bouchons et limiter la pollution. 

Actuellement, la peur de la perte du sacro saint CDI fait que les employés préfèrent continuer à réaliser des trajets chronophages et polluants que risquer de changer d'emploi et se retrouver remercié à la fin de la période d'essai. 

Le retour au plein emploi par l'application du TTEP facilitera une restructuration volontaire de l'emploi. Si jamais les comportements ne s'orientaient pas automatiquement vers une attitude responsable des salariés, une agence chargée de conseiller les salariés en leur proposant des postes adaptés à leurs compétences proches de leur domicile sera créée. Si le volontariat ne suffisait pas à une réorganisation spontanée, la répartition des postes deviendra obligatoire. Pour les anciens, cela reprend l'idée du remembrement agricole réalisé il y a quelques décennies par la SAFER pour diminuer les trajets entre le cœur d'exploitation et des parcelles petites et disséminées.
Le télé travail sera encouragé.

LA SANTE 
Objectif : assurer un niveau de soins de qualité pour tous tout en évitant les gaspillages. 

Proposition N°1 nous l'avons vu, le niveau de Vie de Base couvre tous les frais de santé, Il va falloir par contre trouver des sources d'économie pour que cela ne nous coûte pas trop cher. Dans un premier temps, le tarif des fournitures sera régulé en fonction des coûts réels de production de façon à ce qu'une paire de lunettes, une prothèse dentaire, les médicaments,... ne coûtent pas plus cher en France qu'à l'étranger sous prétexte que ce sont la sécurité sociale et les mutuelles (qui auront disparu) qui paient. 

La justification des lobbies médicamenteux par rapport au prix des médicaments est l'imputation des frais de recherche sur le prix de vente. Pour pallier à ce problème, la recherche sera confiée aux universités de médecine et seule la production sera confiée aux entreprises. 

Pour éviter les gaspillages de médicaments et le volume énorme d'emballages, les médicaments seront vendus au détail. Afin d'inciter les patients à suivre leur traitement, les médecins seront mis en réseau avec les pharmacies afin que, dès que l'ordonnance ait été rédigée, elle soit envoyée à la pharmacie. Le patient n'aura plus qu'à récupérer ses médicaments dans un semainier consigné préparé par les pharmaciens le temps qu'il fasse le trajet cabinet médical/pharmacie. Ce système permettra de diminuer le volume d'emballages sans pour autant perdre la traçabilité. Lorsqu'un patient passe chez le pharmacien et récupère ses médicaments, il utilise sa carte vitale. On sait donc pertinemment quel jour, à quelle heure et dans quelle officine ont été retirés ces produits. Charge au pharmacien de savoir dans quelle boite de 1000 ou 10 000 comprimés, portant son numéro de lot, le médicament a été prélevé. Au pire, si ce jour là il entame une nouvelle boite et oublie de noter l'heure, les recherches devront porter sur deux numéros de lot.

La traçabilité est assurée par la carte vitale. Le patient est incité à suivre son traitement pour récupérer la consigne de son semainier, ce qui va optimiser les chances de guérison et limiter les risques de rechute. 

ERADIQUER LES DESERTS MEDICAUX 

Concernant les déserts médicaux, la médecine ne sera pas fonctionnarisée, mais l'état adaptera le nombre de places de formations ; accessibles sur concours, aux besoins et attribuera les postes de médecins là où c'est nécessaire. Les meilleurs étudiants choisiront en premier, les moins bons occuperont les places laissées vacantes, ce qui stimulera, par besoin de compétition, une meilleure implication des étudiants dans leurs apprentissages. Cette mesure peut faire craindre qu'il y ait des « mauvais » médecins dans les déserts médicaux. Rappelons que le concours à l'entrée aura sélectionné les meilleurs, et que l'application du NVB permettra aux étudiants de se consacrer pleinement à leurs apprentissages. Il y a aura forcément des médecins meilleurs que d'autres, mais pas de mauvais. 

EDUCATION : 

Objectif : préparer l'enfant à s'intégrer dans la globalité de la société, et non plus seulement dans le monde du travail. 

Proposition N°1 Apprenons avant tout à devenir de bons adultes. La finalité du système éducatif actuel est de former de bons employés. La fonction de chef de famille est totalement négligée dans le circuit éducatif et les jeunes adultes en sont quittes à apprendre sur le tas. Comment éduquer ses enfants, comment gérer un budget familial, effectuer une réparation de première nécessité (changer un joint de robinet,...) … ? Autant d'apprentissage que nous faisons par tâtonnement, à coups d'échecs successifs, avec des conséquences parfois lourdes quant à l'équilibre budgétaire de notre foyer et l'avenir de nos enfants. Ce n'est évidemment pas à l'école d'éduquer les enfants, mais c'est bel et bien l'institution qui doit nous apprendre à devenir de vrais adultes. Les jeunes adultes devront donc quitter l'école en sachant : -gérer un budget familial -maîtriser les compétences techniques nécessaire à la bonne tenue d'un foyer (bricolage de base, ménage, hygiène, préparation d'une alimentation équilibrée,...) -connaître les tenants et les aboutissants de l'éducation d'un enfant, afin de ne pas se trouver dépourvus devant le mal être d'un enfant et d'éviter les comportements inappropriés. -maîtriser la lecture et les calculs de base. -savoir remplir un formulaire administratif
Les classes de niveau : Dans le sport, cela ne souffre aucune contestation : il y a des groupes de niveau et ça ne choque personne. Dans le milieu scolaire, c'est une autre paire de manche. Au nom du sacro saint « liberté EGALITE fraternité », on maintient un système adapté aux élèves moyens où les plus faibles sont incapables de suivre et où les bons s'ennuient et décrochent. L'équité, plutôt que l'égalité, est de permettre à chacun d'apprendre à son rythme. Cela ne peut passer que par des groupes de niveaux, ou de compétences, où chacun pourra progresser à son rythme. Les groupes pourront se retrouver à certains moments de leur évolution, ou pas, mais chacun atteindra la réussite correspondant à ses capacités. La mise en place de ces classes de niveaux sera gourmande en effectifs d'enseignants, mais une fois de plus le principe du TTEP nous autorise cette mesure.

Proposition N° 2 : L’Éveil à l’Intelligence du cœur : une boussole pour la vie La situation actuelle du monde appelle un changement total et radical d’état de conscience et de mentalité. L’erreur fondamentale, cause du chaos que nous observons actuellement, est dans le fait que la grande majorité des êtres humains s’identifient à leur seule dimension terrestre-extérieure et ignorent totalement leur identité spirituelle-originelle, commune à tous. L’être humain a perdu le lien conscient avec la réalité, avec sa dimension intérieure…avec lui-même. Il est plongé dans le subjectivisme et vit uniquement sous l’emprise de ses désirs et intérêts personnels qui n’engendrent que des rivalités et des luttes de pouvoir sans fin. Pour que puisse naître un monde où règnent la liberté, la paix et la justice, tout être humain doit être traité dignement dès le plus jeune âge, comme un enfant de la Vie ayant un sens d’être et une fonction à remplir dans le contexte universel. Il est essentiel que soit instaurée une nouvelle éducation pour tous, qui prenne en compte l’être dans sa globalité et qui respecte sa liberté de conscience et son unicité. Tout homme naît libre, doté de cœur et de raison, d’une intelligence sensible qui par la voix de sa conscience le relie à la Vie, et d’une intelligence spéculative qui lui permet d’agir dans le monde. Pour se développer harmonieusement, l’enfant a besoin d’une éducation qui veille à son développement affectif, social et intellectuel, et qui l’éveille à l’Intelligence du cœur – à la voix de la Conscience et à l’intuition –, indispensable pour devenir autonome et responsable en pensée et en acte. Dès son premier souffle, l’enfant baigne dans un état de conscience unitaire et universel. Vers 3-4 ans, il s’éveille peu à peu à sa personnalité, à son désir et à sa volonté propre. Alors qu’il est encore dans la pureté et l’innocence, et pas encore sous l’emprise de ses désirs et formaté par des croyances et des idéologies, nous devons lui faire découvrir la voix de son cœur, son autorité intérieure – celle du plan unitaire et universel de la Conscience – qui lui dicte du dedans ce qui est à faire ou à ne pas faire pour agir de façon juste. Éveillé à sa référence intérieure, l’enfant devient capable de distinguer « ce que veut sa tête », qui exprime son désir personnel égotique, de « ce que lui dicte son cœur », qui le fait penser et agir en harmonie avec la Vie. Il découvre la satisfaction profonde de se comporter comme « un grand » sans recevoir d’ordres venant de l’extérieur. Faire découvrir ceci aux jeunes enfants est l’unique façon de former des êtres libres, épanouis, autonomes et responsables ; de permettre à toutes leurs potentialités de se développer librement pour qu’ils puissent offrir aux autres et au monde le meilleur d’eux-mêmes. Au-delà des croyances, des théories et des idéologies, l’ouverture du cœur fait vivre dans l’Amour inconditionnel, libère de l’égocentrisme et de l’égoïsme, et permet d’évoluer dans la liberté, la complémentarité et l’enrichissement mutuel. La voix de la Conscience, éveillée dès le plus jeune âge, devient l’autorité en soi, l’axe de l’équilibre individuel pour toute l’existence…

Texte écrit par l'Association VIVRE LIBRE - PENSER AUTREMENT POUR VIVRE AUTREMENT.
http://www.vivrelibre.net/presentation/

URBANISME

Objectif : rendre les agglomérations agréables à vivre et moins polluantes.

Proposition N°1 : faire rentrer la campagne dans la ville Les centres urbains deviennent de plus en plus grands et repoussent les campagnes, et avec elles nos sources d'approvisionnement en nourriture. Cela entraîne des contraintes de transports, et surtout la pollution et les encombrements qui vont avec, de plus en plus préjudiciables à notre qualité de vie. Dorénavant, tout projet immobilier devra : -Fournir plus d'énergie qu'il n'en consomme (habitat positif). -Etre autonome ou plus en terme d'approvisionnement en fruits et légumes. Cela permettra le retour de la campagne dans les villes, un développement d'écosystèmes urbains, une meilleure assimilation du CO2 produit par l'activité urbaine grâce au métabolisme des plantes, et bien évidemment une diminution des transports. Chaque projet immobilier s'accompagnera donc d'une création d'emploi agricole. A partir d'un certain nombre de logements, ou en tenant compte des logements déjà existants dans le proche environnement, le projet immobilier devra prévoir des commerces et services de proximité (alimentation, crèches, cabinets médicaux, lieux culturels,...). Le but est de faciliter l'approvisionnement des habitants et de localiser des emplois à proximité du lieu de vie. Ce principe s'oppose aux barres d'immeubles actuelles qui hébergent les records en terme de taux de chômage.

Le béton sera autant que possible remplacé par le bois. En effet, un mètre cube de béton produit, c'est deux tonnes de CO2 produites, un mètre cube de bois, c'est une tonne de CO2 stockée. Cette mesure risque de freiner le développement de notre urbanisation en la limitant au renouvellement des forêts, mais c'est bien la base de ce projet que de mettre en adéquation notre mode de vie et de production avec le volume des ressources naturelles.

« L'énergie qui pollue le moins est celle qu'on ne consomme pas. »
 
L'éclairage public de chaque rue sera soumis à un détecteur de présence afin d'éviter que des lampadaires soient allumés toute la nuit pour un ou deux passants occasionnels.

Les systèmes incitatifs à la consommation seront interdits dans les commerces. Cela concerne les portes tournant 24H/24 et toute source de publicité utilisant de l'énergie (enseignes lumineuses, panneaux publicitaires numériques ou déroulants,...). Les systèmes d'aides au déplacement (ascenseurs, escalators,...) dans les lieux publics seront réservés aux personnes à mobilités réduites et leur fonctionnement sera conditionné à la présence d'utilisateurs.

Les éclairages des locaux professionnels et particuliers seront équipés de détecteurs de présence ou d'horloges.

Tout système qui utilise l'activité humaine pour produire de l'énergie sera le bienvenu à condition qu'il ne coûte pas plus d'énergie à produire que ce qu'il génère.

SECURITE

Objectif : lutter contre la délinquance et le terrorisme

Proposition N°1 La sécurité, c'est du temps et rien d'autre : le temps qu'on va passer à éduquer des gens pour qu'ils ne dérivent pas vers la délinquance, le temps qu'on va passer à les réintégrer dans la société, le temps qu'on va donner aux forces de l'ordre pour surveiller et contrôler. Le principe du Temps de Travail Evolutif nous donne le temps de réaliser tout ce dont nous avons besoin dans la limite des ressources naturelles. Cela vaut pour une infinité de projets que nous sommes incapables de réaliser à l'heure actuelle (rénovation de bâtiments publiques, de monuments, sécurisation de digues,...), mais aussi pour tous les services d'état qui sont mis à mal actuellement (hôpitaux, forces de l'ordre,...) De manière curative, nous mettrons en œuvre tous les moyens humains nécessaires à notre protection. Cela augmentera le temps de travail global, chaque actif devra travailler un peu plus, mais la sécurité est à ce prix. De manière préventive, nous nous attaquerons à tout ce qui génère la délinquance et le terrorisme. Le NVB et le TTEP supprimeront le sentiment d'exclusion, de frustration et de haine envers la société qui sont le terreau du terrorisme. Tout citoyen aura désormais un projet de vie, autant sur le plan professionnel que dans la facilitation d'activités personnelles dans sa vie de tous les jours. Les lieux de culte et le contenu des prêches seront contrôlés par l'état, ainsi que la formation de tout intervenant dans l'éducation religieuse. Les ventes d'armes à l'étranger seront interdites si il n'y a pas le moyen de contrôler qui en fera usage.

UNE CAMPAGNE COLLABORATIVE

« N'attendons pas que quelqu'un d'autre le fasse à notre place »
 
Cela n'a pas dû vous échapper, ce projet relève d'une économie collaborative. La campagne que nous allons mener devra l'être aussi. Si le système électoral nous imposera à un moment donné de désigner nominativement un candidat, nous retarderons ce moment au maximum ainsi que la création d'un parti ou un appel de fonds quel qu'il soit.

Il tient donc à chacun d'entre nous, dans la limite de ses compétences, de communiquer sur ce projet, en améliorer la rédaction, créer des documents, un site internet, des graphismes, organiser des meetings, apporter des chiffres utiles à l'argumentation que nos aurons à mener, recueillir les parrainages,... Il nous appartiendra peut être également, en fonction des moyens que nous aurons obtenus, d'imprimer les bulletins de vote et de les dispatcher dans les bureaux de vote.
Mais ne perdons pas de vue que l'objectif de ce programme est de faire parler de lui, que la dissidence ne soit plus méprisée par les médias mais que le fait d'obtenir les 500 parrainages lui offre la visibilité médiatique offerte par le code électoral actuel.

Sourcehttps://www.facebook.com/notes/candidature-alternative-presidentielle-2022-la-page/projet-candidature-alternative-pr%C3%A9sidentielle-2022/180941939123996/?hc_location=ufi

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