M : Je pense, et ça n'engage que moi, que la marche arrière, d'un point de vue économico-légale, est strictement impossible !
Le
fait est que les centaines, peut-être même les milliers d'accords et de
contrats qui ont été passés entre les gouvernements et les très grosses
entreprises, y compris les banques, ne seront jamais renégociés par ces
dernières car bien trop en leurs faveurs ou sinon en ruinant le pays en
question à coup de procès dans des tribunaux privés et opaques !!!
Bref,
c'est la gangrène d'un état, les faiblesses de nos élus au fur et à
mesure du temps qui, appâtés par quelques avantages pécuniaires, ont
baissés leur frocs et vendus leurs âmes et NOS vies par voie légale bien
sûr... (Tout est légale pour eux évidemment, ils font les lois alors on
s'arrangent...)
Donc, pour finir et d'un point de vue médicale cette fois. Je vous poserais une question (à qui veux bien la lire)...
Comment traitent-on une gangrène avancée ?
J : Tout
à fait d'accord. Reste maintenant à savoir comment on coupe la partie
gangrénée. Dans la culture anglosaxonne, il y a eu le départ vers le
Nouveau monde. Dans la culture française, il y a eu le régicide avec la
machine de monsieur Guillotin. Mais de nos jours, il n'y a plus de
nouveau monde. Tout est déjà habité. Et les nouveaux "rois" sont
anonymes, cachés dans les sociétés anonymes. De plus (en ce qui me
concerne), je ne suis pas un buveur de sang. Alors que faire ? Peut-être
repartir de la base. Se remettre à parler avec ses voisins. Décider de
faire des choses ensemble. De partager des "biens communs" , matériels
ou immatériels. De décider des règles d'utilisation de ces biens
communs. Multiplier ces initatives et prendre exemple sur ceux qui nous
ont devancés ("villes en transition", "confédéralisme municipal" ...). Le régime (dit) représentatif réagira, soit par la
manipulation (en simulant une coopération), soit par la violence (en
augmentant la surveillance, en étant physiquement répressif). Mais si le
nombre est de notre côté ...
M : C'est une excellente solution, j'adhère !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire