La politique n’est finalement rien d’autre que la gestion de la violence. Rémy Daillet-Wiedemann nous l’a tous dit : la politique française « exclut d’emblée les intelligents, les pacifiques et les doux ». Il l’a lui-même payé cher lors de son très bref passage en tant qu’élu local de Haute-Garonne.
La politique, c’est un mal nécessaire, pour beaucoup le choix du moins pire, dont on peut s’échapper en tant qu’individu, mais pas en tant que peuple. Et c’est bien d’une guerre contre le peuple français dont il s’agit ici : notre adversaire nous attaque en nous opposant les uns aux autres, en nous isolant les uns des autres. Un individu seul ne peut pas gagner face à ce système, lui-même composé de nombreux petits collectifs aux intérêts partagés. C’est en tant que peuple uni que nous devons combattre, face à l’Empire destructeur des Nations qui nous écrase depuis des décennies.
C’est une toute nouvelle forme de guerre qui nous est faite, et nous devons collectivement apprendre à la mener. Nous ne sommes plus en guerre comme avant, avec des armées interposées, ni même en guerre froide avec des guérillas et des révolutions soutenues depuis l’étranger. Nous sommes entrés dans l’ère de la guerre vraiment très froide, celle du contrôle mental massif des populations. Nous allons voir comment la mener ensemble, nous, peuple de France.
Pour commencer, nous devons sortir de la logique du nombre. Les anciennes guerres se sont gagnées avec des armées nombreuses, celles d’aujourd’hui se gagnent avec des groupes coordonnés et peu nombreux, voire avec des individus seuls judicieusement utilisés. La France de 2020 est aux mains de l’Empire à travers moins d’un millier de marionnettes, réparties dans des formations très politiques et pourtant inaccessibles aux élections : ce sont les très bien nommées Organisations Non Gouvernementales, qui, comme leur nom l’indique, n’obéissent aux lois d’aucun gouvernement. Ce sont les experts médiatiques comme Laurent Alexandre, les éditorialistes comme Christophe Barbier, les groupements communautaires comme le CRIF, ou les personnalités comme Jacques Attali, qui a passé 40 ans au creux de l’oreille de l’Elysée.
Ces marionnettes forment un ensemble qui porte le nom d’Etat Profond, qui permet à l’Empire de conserver le contrôle du pays, quel que soit le vote ou l’action politique “classique” du peuple (manifestation, pétition, grève…). L’Etat Profond ne se voit que lorsqu’on sait qu’il existe, et surtout, ne se combat pas avec les moyens traditionnels. Aux Etats-Unis, c’est ce que nos camarades du mouvement Qanon appellent la guerre invisible. Il va donc falloir que nous aussi, peuple de France, apprenions à mener cette guerre, ou bien nous en mourrons. Fort heureusement, la providence a mis un stratège de notre côté: Rémy Daillet-Wiedemann.
La stratégie politique gagnante de Rémy, c’est de nous rassembler et de nous coordonner, nous, le Peuple, afin de constituer ensemble un État-encore-plus-profond. A l’heure où ces lignes sont écrites, nous sommes plus de 10.000 enrôlés, c'est-à-dire que nous sommes déjà dix fois plus nombreux qu’eux. Mais nous avons déjà dit que ce n’était pas le nombre qui faisait la victoire dans cette guerre vraiment très froide, mais bien l’organisation qui place l’individu qu’il faut là où il le faut. C’est ce à quoi nous nous préparons : nous sommes déjà tous, nous, enrôlés du peuple, répartis dans des groupes d’action aux missions bien distinctes et définies, à mener chacun de notre côté. C’est ce qui fait la différence entre les Gilets Jaunes et nous : être un gros million regroupé sur les Champs-Elysées produit un résultat nul, mais être des dizaines de milliers répartis en milliers de groupes de dix sur tout le territoire produira à terme la neutralisation de l’Etat Profond.
Nous avons d’ici Février ce devoir d’apprendre un talent qui protégera à jamais la France : chacun d’entre nous doit apprendre à se transformer en un maillon de la Grande Chaîne. C’est parce que nous avons oublié comment le faire que la Bête qui est aujourd’hui lâchée sur nous, et c’est en le réapprenant que nous pourrons à nouveau l’enchaîner et la tenir en respect. C’est le rôle des groupes d’action dans la stratégie de Rémy. Ce travail commence dès aujourd’hui : les missions qui nous sont confiées sont nombreuses et le travail doit être mené sur tous les fronts où l’ennemi est actuellement en position de force.
Les fronts où l’ennemi nous domine stratégiquement sont, entre autres, ceux de l’Information. L’ennemi tient les médias traditionnels (télé, radio, journaux), et utilise les réseaux sociaux à son avantage pour diffuser au maximum ses mensonges. Notre utilisation des réseaux sociaux doit désormais se mettre au niveau de l’ennemi. Avec seulement un millier d’entre nous suffisamment réactifs et coordonnés dans les commentaires, nous pouvons transformer chaque post d’un membre de l’Etat Profond en une démonstration de leurs mensonges, et donc de notre intelligence et de notre force. A chaque fois que nous réussissons à faire cela, nous aurons neutralisé une attaque adverse. Et petit à petit, nous aurons gagné la bataille de l’Information.
Cette bataille-ci est cruciale : l’Etat Profond tient la France par sa capacité à mentir sans être inquiété. Dans un monde d’information perpétuelle et publique, « celui qui peut librement mentir possède la réalité ». C’est cette matrice-là qu’il faut briser, afin d’en libérer ce que Thibon nomme “la grande masse des indécis”. 90% des français en font partie : ils ne sont ni nous, ni l’ennemi ; mais le vainqueur sera celui qui arrivera à les faire basculer en sa faveur. Car c’est de leur adhésion, ou a minima de leur non-opposition, que dépendra la réussite de notre Renversement
La guerre vraiment très froide ne tient pas seulement à prendre le pouvoir, mais aussi à le garder dans la durée. C’est la raison pour laquelle nous préparons les arrestations et les jugements de tous les membres de l’Etat Profond pour le jour J : l’adversaire déplace continuellement ses pions si nous ne les lui arrachons pas des mains. Il ne s’agit nullement d’une vengeance, mais bien de sécurité intérieure et de salut public : nous ne pouvons pas nous permettre de laisser nos ennemis préparer leur prochain Mai 68 ou leur propre Renversement pour répondre au nôtre.
Le combat que nous menons avec Rémy Daillet-Wiedemann est aussi un combat pour la vérité face au mensonge et nous le gagnerons en prenant la place de l’Etat-Profond. Nous tous, combattants du coup d’état, sur le terrain ou non le jour J, nous sommes en train de devenir l’Etat-encore-plus-profond, celui qui dans l’ombre protège le peuple de France des attaques invisibles qu’il subit. Rémy est ainsi l’homme de notre époque : il nous fait reprendre notre pays en main nous-mêmes, en nous organisant et en nous ramenant à la plus ancienne idée de l’art de la guerre : la force de l’union.
Ce sera là, indépendamment de la victoire du jour J, son plus grand succès. Soyons-en tous dignes en servant dès aujourd’hui son plan.
L’équipe de rédaction
Mouvement Populaire
Tous Unis Avec Rémy Daillet-Wiedemann
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