vendredi 18 décembre 2020

Une plainte relative aux vaccins a été déposée par Maître Carlo Brusa

Une Plainte relative aux Vaccins a été déposée par M° Carlo Brusa le 16 décembre 2020 auprès du Procureur du Tribunal de Paris Pour : 
 
* Le délit de mise en danger délibérée de la vie d'autrui
* Le délit de tromperie aggravée
* Le délit d'abus de faiblesse
* Le délit d'extorsion aggravée
 
Voici quelques extraits de l'argumentaire de la plainte:
 
« Il faut 10 à 15 ans pour élaborer un vaccin. Les Labo Pfizer, BioNTech et Moderna se sont engagés à en fournir un en 12 à 18 mois. Avec des études totalement opaques et sans la moindre vérification par un organisme indépendant. Le Pr Perrone affirme : qu'aucun résultat de l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce jour. »
 
Plus inquiétant: le groupe pharmaceutique Pfizer a déjà fait l'objet d'une plainte aux États-Unis pour « pratiques commerciales frauduleuses » à propos de la commercialisation de plusieurs produits et a été contraint de verser une amende « record » de 2,3 milliards de dollars.
 
 En outre, les premiers essais cliniques ont alerté sur les effets secondaires constatés après avoir reçu le 
vaccin Pfizer contre la Covid-19 :
63 % des sujets de l'essai ont signalé de la fatigue et 55 % ont déclaré souffrir de maux de tête. Des frissons ont été signalés par 32 % des participants, 24 % se sont plaints de douleurs articulaires et 14 % ont développé une fièvre.
 
Plus grave encore certains patients auraient contracté la paralysie de Bell, un trouble du nerf facial qui entraîne une paralysie du visage et six d'entre eux sont décédés pendant les essais cliniques.
 
Quelle opportunité pour un tel vaccin ? Selon l'Imperial Collège of London, après l'analyse de 175 études publiées à travers le monde, le taux de létalité réel de la Covid-19, c'est-à-dire le pourcentage de décès rapporté au nombre d'infectés, est estimé à 1,15 0/0, c'est-à-dire quasiment nul !
les vaccins n'immunisent pas ou peu les personnes à risque :
 
le Professeur Didier RAOULT affirme :
"un nombre significatif de personnes qui ont eu une infection avaient déjà des anticorps, Donc ils ne peuvent pas être infectés par le coronavirus parce qu'ils ont eu une immunité avant cette épidémie. Entre 40 et 70 % de la population était déjà immunisée. »
 
De plus il faut préciser que ce fameux vaccin » n’en est pas un mais en réalité une thérapie génique inédite. Il s’agit d'un abus de langage.
 
C'est pour cette raison que le Pr Christian Perrone, chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Garches, rejette l'utilisation du terme « vaccin » et affirme que ce qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. « On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules
 
Une Députée européenne déclare : depuis 2003 avec la poussée du SARS-Cov en Asie, la communauté scientifique n'a jamais réussi à mettre au point un vaccin anti-coronavirus.
 
Le rapport publié en septembre 2020 par le CRIIGEN (Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique) précise à ce titre :
La thérapie génique ou l'immunothérapie concernent non seulement un nombre limité de personnes mais des personnes gravement malades. Par conséquent, non seulement les éventuels effets secondaires concernent un nombre restreint d'individus mais la gravité de leur état de santé et la situation d'urgence sanitaire dans laquelle ils se trouvent permet sans doute d'accepter une certaine prise de risques. Dans le cas de vaccins, nous sommes dans une démarche de prévention. Cela concerne donc un nombre considérable de personnes dont la grande majorité est en bonne santé (en tout cas vis-à-vis de la pathologie de laquelle le vaccin est censé nous protéger). »
 
Les thérapies géniques sont donc généralement réservées aux personnes malades, et en particulier aux personnes atteintes de maladies graves au regard des risques encourus.
 
Au surplus, cette thérapie n'a jamais été employée sur l'homme auparavant pour combattre un virus. Il n'existe donc aucun recul permettant d'analyser, d'une part, son efficacité, mais plus important encore, sont ses effets néfastes pour la santé.
 
Les effets secondaires de cette thérapie génique peuvent aller jusqu’au décès de la personne.
 
La généticienne Alexandra HENRION-CAUDE affirme :
« [il existe] un risque de développer un emballement du système immunitaire au niveau de la production des anticorps ». Les thérapies géniques peuvent également être à l'origine du développement de cancers…
 
La plainte du Dr Carlo Brusa compile une cinquantaine de pages...

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