Chers amis,
La France,
qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.
Dans beaucoup de
villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté,
pour exiger le retour de la démocratie.
En tant que médecin,
spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses
instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure
chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos
concitoyens. Je prends le risque d'être à nouveau qualifié de « complotiste » ou
mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la
pensée unique.
Je finis par être fier de ces appellations, mes
propos exprimant la vérité n'ayant jamais changé depuis le début de l'épidémie.
Je considère donc qu'il est de ma responsabilité de m'exprimer à nouveau ce jour
sur l'ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet
vaccinal, désormais l'élément central et quasiment unique de la politique de
santé de l'Etat.
Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la
politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième
vague terrible de l'épidémie, pire que la première.
Le Ministre de la
Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l'Elysée, le
Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr
Jérôme Salomon, l'Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques
avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient
être saturés et débordés.
Même le Président de la République,
lors d'une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a
prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts
estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de
Pasteur.
Ces chiffres irréalistes n'avaient qu'un but,
entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant
l'usage généralisé des masques en population générale n'a aucun intérêt démontré
scientifiquement pour enrayer l'épidémie de SARS-COV-2.
L'utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage
(surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.
Or
l'épidémie régresse et n'a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe
montrait depuis des semaines le profil d'un rebond épidémique saisonnier qui
s'observe avec certains virus, une fois la vague épidémique
terminée.
Cela témoigne de l'adaptation du virus à l'homme et
est aussi le reflet de l'immunité collective qui progresse dans la population et
qui nous protège naturellement.
Les souches de virus qui
circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront
pas dire que c'est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait
commencé avant même sa mise en place.
La régression de
l'épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant
l'instauration du couvre-feu.
Malheureusement, il y a encore des
décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des
personnes souffrant d'un diabète sévère, d'hypertension artérielle grave,de
maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.
Ces
personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires
devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le
plus tôt possible dès le début des symptômes par l'hydroxychloroquine et
l'azithromycine dont l'efficacité et l'innocuité sont largement confirmées, si
on donne le traitement précocément.
Beaucoup de décès auraient
pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de
traiter.
Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants
derrière des masques inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures
sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l'intérêt
d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ?
Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la
vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.
Le
plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à
vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et
l'évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu'aucun résultat de
l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce
jour.
Nous n'avons eu le droit qu'à des communiqués de presse
des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en
bourse.
Le pire est que les premiers « vaccins » qu'on nous
propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie
génique.
On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront
la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules.
On
ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une
première chez l'homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient
trop d'éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps
?
Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe
des projets avec l'ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de
l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines circonstances,
d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des
rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l'ADN de nos
chromosomes.
Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent
sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du
sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase
inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN.
Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder
pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos
chromosomes.
Il existe donc un risque réel de transformer nos
gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des
acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces
modifications génétiques à nos enfants.
Les personnes qui font
la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des
apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les
citoyens du monde, pour des cobayes.
Nous ne voulons pas
devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes
génétiquement modifiés). Un responsable médical d'un des laboratoires
pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu'il espérait un
effet de protection individuelle, mais qu'il ne fallait pas trop espérer un
impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de
l'épidémie.
C'est bien là un aveu déguisé qu'il ne s'agit pas
d'un vaccin. Un comble.
Je suis d'autant plus horrifié que j'ai
toujours été en faveur des vaccins et que j'ai présidé pendant des années des
instances élaborant la politique vaccinale.
Aujourd'hui, il faut
dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans
sa tombe.
La science, l'éthique médicale et par-dessus tout le bon sens
doivent reprendre le dessus.
Christian
PERRONNE
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