Si je vous écris c'est pour le 20 décembre.
Il me semble que la problématique de l'esclavage devrait être remise en contexte
de manière à comprendre qu'il n'y a pas eu véritablement "abolition"
mais seulement arrêt d'une (terrible car épouvantablement violente)
discrimination de sorte qu'à présent l'esclavage nous concerne tous même
s'il ne dit pas son nom, de sorte que la plupart de nos concitoyens ne
le voient pas en tant que tel.
Il n'est pourtant que d'ouvrir les
yeux sur ce que nous vivons à présent pour comprendre à quel point la
maxime (dans l'image ci-dessous) de Bukowski dit la vérité.
Le fait est que :
- Il n'y plus de liberté d'expression (les médecins péi en savent quelque chose)
- Nous voilà masqués
- Prochainement vaccinés
- prochainement pucés ?
- Mais, quoi qu'il en soit, suivis (traqués) par ondes électromagnétiques
- parfois même parqués à domicile
- ou à la rigueur tenus en laisse administrative (d'un kilomètre ou plus mais toujours trop court au regard de la liberté de déplacement qu'a normalement le citoyen)
- très bientôt ruinés par l'effondrement
économique délibéré qu'occasionne la prétendue lutte contre la
couillonnade du Rhume 19 (Rhume, pas Rhum ;-))
- endettés à mort, c'est pour demain
- nous serons tous égaux, esclaves de la dette souveraine.
- Nous irons à la mangeoire appelée centre commercial
- grâce à des bons dont on nous fera l'aumône si nous sommes sages.
Cela s'appelle de l'esclavage et c'est "En Marche !" pour venir jusque devant chez vous.
Voilà les quelques pensées déprimantes que m'inspire le 20 décembre.
Bref, l'abolition de l'esclavage n'est pas qu'un devoir de mémoire, c'est un devoir d'agir aussi !
Luc-Laurent
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