Depuis plus d’un an et dans la majorité des pays du monde, des mesures
non scientifiques, non médicales et illégales sont utilisées pour gérer
l’épidémie de COVID-19 malgré les avertissements de plusieurs
professeurs de médecine, d’experts et de collectifs médicaux et
scientifiques.
Ces mesures folles, stupides,
tyranniques et criminelles, qui violent les principes de base de la
médecine, la Déclaration universelle des droits de l’homme et la
Convention internationale des droits de l’enfant, sont « une arme de
destruction massive » de la société sur les plans de : la santé,
l’économie, l’éducation, l’écologie et les droits de l’homme.
Tout
cela a été fait avec la complicité de pseudo-experts corrompus,
ignorants ou suiveurs qui sont devenus des dictateurs médicaux.
Plusieurs
éléments scientifiques et factuels prouvent très clairement qu’il ne
s’agit en réalité pas de santé publique mais que c’est une énorme
escroquerie, une grande manipulation, une guerre et très probablement un
complot comme l’ont expliqué le journal The Telegraph, le président de
la Biélorussie ou le conseiller du ministre de la défense de la Russie.
Il
y a aussi une volonté de cacher la vérité au sujet de la cause de
l’épidémie : virus naturel, accident de laboratoire ou attaque
bioterroriste ?
Le Pr Luc Montagnier, découvreur du VIH,
virologue et prix Nobel de médecine, a dit le 17 avril 2020 que le
coronavirus "n’est pas naturel, c’était un travail de professionnels...
Je ne sais pas qui a fait ça et pourquoi... ll y a quand même une
volonté d’étouffement [de la vérité]."
Des malfaiteurs
instrumentalisent l’épidémie pour réaliser des objectifs et des agendas
économiques, politiques et idéologiques très dangereux pour l’humanité.
Ils veulent, entre autres, asservir les peuples, imposer une dictature
chinoise dans tous les pays du monde et le plan maléfique du "Great
Reset."
Le 13 janvier 2021, le journal The Sun a publié une
lettre d'alerte écrite par des avocats, un député, des militants des
droits de l’homme et un ancien général de l’US Air Force et adressée au
FBI et au MI-5 ainsi qu’aux services de sécurité du Canada, de
l’Allemagne et de l’Australie.
Depuis février 2021, les gouvernements de plus de 30 pays de tous les continents du monde ont été alertés aussi.
Puisque
les tentatives de raisonner les responsables (lettres, articles,
pétitions, etc.) n’ont pas abouti et qu’ils continuent de commettre ces
erreurs qui menacent gravement l’intérêt public, nous appelons les
citoyens dans tous les pays du monde à la désobéissance civile qui doit
s’exercer de manière pacifique et sans violence.
Des exemples de désobéissance civile sont indiqués ici.
Nous
appelons, aussi, tous les policiers et tous les militaires à la
désobéissance civile, à annoncer publiquement qu’ils refusent
d’appliquer ces mesures tyranniques tout en restant obéissants à des
ordres non liés au COVID-19.
Nous les appelons à respecter leurs
codes déontologiques comme par exemple le Code Européen d’Ethique de la
Police qui dit (article 39) : "Les personnels de police doivent
exécuter les ordres régulièrement donnés par leurs supérieurs, mais ont
le devoir de s’abstenir d’exécuter ceux qui sont manifestement
illégaux."
Ou alors le Code français de déontologie de la police
et de la gendarmerie qui dit dans l’Article R. 434-5 relatif à
l’obéissance : "Le policier ou le gendarme exécute loyalement et
fidèlement les instructions et obéit de même aux ordres qu’il reçoit de
l’autorité investie du pouvoir hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre
donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement
un intérêt public."
Il faut absolument arrêter cette prise d’otages mondiale.
Vive la liberté ! À bas la dictature !
jeudi 26 août 2021
Appel à la désobéissance civile mondiale
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