Putin is to nationalise the Rothschild controlled Central Bank of Russia in an effort to stabilise the declining Ruble.
Euro-med.dk reports:
Under the Constitution, the CBR belongs to a foreign State – the City of London – and is taking orders from London and Washington. This bank can only print money corresponding to its cash in foreign currency, which is not sufficient for Putin´s purposes. The CBR even has to buy (worthless) US bonds for the dollars paid for Russian oil – whereby the dollars return to the FED!
Moreover, Putin is under pressure from the West, which wants to overthrow and replace him with Western-minded oligarchs. Thus, the US ambassador to Moscow, Tefft, is said to have made it very clear: “We will displace Putin from office and install our people as leader of the government (he even mentioned the person by name) and appoint ministers”.
Therefore, Putin now needs a strong army to prevent Russia’s submission to the US.
Fyodorov said in an interview: A split in the Russian elite took place two months ago, as part of the elite decided to stay with Putin.
Putin then made his decision, which defines the events to follow. Furthermore, the logic of 1) a state of emergency or 2) geopolitical war entered into force, while we are under pressure.
What this means is, a. Americans now cannot diminish their pressure, while b. we just enjoy the pressure, because it forces us technologically into national liberation: For many years, we could not obtain de-offshoring, but American pressure has performed this in one day.
Putin must now mercilessly clean the 5th column – in “Our Central Bank, the Ministry of Finance, the Ministry of Economy.
But above all, Putin sees the West as the big speculator against the ruble.
To put the plan straightforward: 1. A split in the government, 2. Identification of the fifth column in government, in business, in the media, 3. purge 4. a parallel active position on the Ukraine, because Ukraine and Russia is the same – like Putin said. With these words he defined his position and strategy for Russia.
Nationalization of the Central Bank of Russia would be the first signal and mean the final breach with Rothschild´s City of London / the British Empire / the “British (banksters) Crown” and its tool, the United States. Their Relationship has been tense since Putin´s seizure of the Rothschild/Chodorkowsky’s Yukos shares. Therefore, Putin hesitates with the nationalization. He also still needs authorization to enforce his plan as a strong man. For this he needs a “great necessity” which is supposedly imminent because of US aggression.
Source : http://yournewswire.com/putin-to-nationalise-rothschild-central-bank/
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Difficile de savoir si Vladimir Poutine est allé jusqu'au bout de la démarche. On sait toutefois qu'il a placé une de ses proches à la tête de cette banque centrale en 2013 : Elvira Nabioullina.
Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_centrale_de_la_F%C3%A9d%C3%A9ration_de_Russie
La président de la Banque Centrale de la Fédération de Russie applique la politique monétaire nationale décidée par Vladimir Poutine.
L’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine marque un renouveau, caractérisé par l’organisation du «capitalisme sauvage»mis en place dans la décennie 1990 sous Boris Eltsine et l’éradication de la corruption, en particulier dans le secteur bancaire. En effet, un certain nombre de banques ont été impliquées dans des opérations frauduleuses, par leur participation active à des systèmes de pyramide financière, dont certains étaient gérés par le gouvernement. La pyramide des obligations d’État à court terme a accumulé des fonds considérables avant son effondrement en 1998, attirant la quasi-totalité des stocks d’argent disponibles. La crise financière provoquée par l’effondrement du cours du pétrole et les sanctions liées à la Crimée —dont le pic fut 2017 - a de ce fait entraîné un important épisode «d’assainissement» du secteur bancaire russe. La BCR a annoncé la mise en place de mesures destinées au renforcement de la stabilité financière des banques via la participation de la BCR comme investisseur principal, aidée de moyen s issus de fonds de consolidation du secteur bancaire.
Ainsi, dès 2015, la BCR a opéré un retrait de licences à certains organismes de crédit. En tout, près de trois cents banques ont été mises en faillite depuis l’arrivée d’Elvira Nabiullina à la tête de la BCR. Cette dernière a néanmoins identifié onze banques dites «systémiques», soit d es piliers que l’État es t obligé de sauver; afin d’éviter un effet dit «domino» et donc un deuxième épisode de la crise des subprimes. Tout ceci pour limiter l’impact sur les consommateurs dans un contexte de stagnation économique. Cet épisode d’assainissement passe donc par une prise de participation croissante de l’État russe dans le secteur bancaire au détriment des acteurs privés. «Il n’y aura bientôt plus en Russie que quelques banques privées» précise l’oligarque Alexandre Lebedev, propriétaire de la National Reserve Bank.L’État détiendra ainsi près de 80% du secteur bancaire alors qu’il n’en détient que 60% aujourd’hui. Cependant, la volonté de la Russie d’intégrer l’OMC l’a obligée à reconsidérer son attitude à l’égard des banques étrangères.
La BCR se pose donc en principal régulateur du système bancaire russe. Elle est en charge de l’octroi des licence s aux nouveaux organismes de crédit et de la définition des principes de gestion et des normes comptables d u système bancaire russe.Enfin, dans le cadre des sanctions occidentales causées par la crise de Crimée en mars 20 14, le blocage des systèmes de paiement Visa et Mastercard a été mis en place à l’encontre de quatre banques russes. En réaction à cette «déconnexion partielle», la BCR a établi un nouveau système de paie-ment par carte bancaire, le système national de cartes de paiement «MIR».
Source : https://www.ege.fr/sites/ege.fr/files/uploads/2019/01/Russie-Les-Nouveaux-Moyens-de-Paiement.pdf
Enregistrer un commentaire