jeudi 23 décembre 2021

Non-vaccinés, c’est l’heure de la Résistance active !

 

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

   Pourquoi veulent-ils la peau des non-vaccinés, pourquoi veulent-ils notre peau ?

   Jean Castex l’a clairement déclaré, nous devons rentrer dans le rang, le rang des injectés et des soumis à leurs meurtrières mesures d’extermination.

   Pourtant, ils nous expliquaient qu’ils ne voulaient qu’une chose, c’était atteindre cette « immunité collective » avec 80 % d’injectés (encore un concept dénué de toute réalité et que l’on doit à Big Pharma).

   Or, selon leurs propres chiffres, nous en serions à 90 % d’injectés.


   « Les derniers opposants à leurs sombres et criminels desseins. »


   Ensuite, ils ont expliqué qu’il fallait se faire injecter pour ne pas encombrer les services hospitaliers de réanimation et de soins intensifs, or lorsqu’ils sont encombrés ces services, c’est par des injectés « double dose » et, surtout, à cause des milliers de lits qu’ils ont supprimés à l’hôpital.

   Alors, pourquoi veulent-ils notre peau ?

   Tout simplement parce que nous sommes les derniers opposants à leurs sombres et criminels desseins, la dernière force à pouvoir contrer leur projet génocidaire.


   Les 6 millions de non-injectés sont le dernier rempart de la défense de l’Humanité en France et sans doute en Europe et au Québec.


   Nous sommes le dernier rempart de défense des droits des êtres humains et de leurs libertés fondamentales.

   Ces droits et libertés qui ont été si chèrement acquis par des siècles de luttes, bien souvent sanglantes et meurtrières.

   Ne l’oublions pas, et n’en déplaise aux bisounours, c’est grâce à ces luttes sanglantes et meurtrières que s’est forgée la Civilisation occidentale et judéo-chrétienne au cours des deux derniers millénaires. Et c’est grâce à elles que nous sommes sortis du servage seigneurial et de la condition d’esclaves du capitalisme sauvage du XX° siècle.

   Alors si nous refusons le combat, si nous refusons de nous battre, y compris les armes à la main si cela s’avère nécessaire, alors en France et en Europe, et sans doute au Québec, les notions même d’« humanité » et de « liberté » disparaitront, sans doute à jamais.


   Un ordre politique et social « nouveau » pour les survivants.


   Les néonazis d’aujourd’hui ont remplacé les nazis de 1933 et leurs cibles ne sont plus seulement les Juifs, les bohémiens ou les handicapés.

   Leurs cibles sont désormais l’Humanité, la Civilisation occidentale et ce qu’ils appellent la « surpopulation » mondiale (qu’ils veulent drastiquement réduire).

   Ils veulent drastiquement réduire la population mondiale et imposer un ordre politique et social nouveau aux survivants : il y aura les milliardaires, quelques milliers, et leurs esclaves quelques dizaines, ou centaines de millions.

   Les esclaves (ou les « inutiles » de Laurent Alexandre) seront « injectés » de différences substances afin de contrôler la durée de leur vie.

   Ils seront numériquement traçables en permanence, et leurs existences contrôlées de A à Z, du matin au soir et du soir au matin, grâce à la monnaie numérique et les différents « NéonaziPass » qu’ils ne cesseront de mettre en place.


   Une loi inspirée par celle du statut des Juifs en 1941 !


   Ils veulent nous imposer une loi identique aux lois ségrégationnistes antijuives de 1941 : vous êtes « non-vaccinés » ? Interdits de voyager en train, interdits d’aller aux spectacles, interdits de travailler…

   Prenez le discours du criminel Jean Castex, ce Pierre Laval* des hommes de Davos, ce Beria** du Bilderberg group et de la Commission Trilatérale.

   Faites un test vous-même, et remplacez dans chacune des phrases les mots « non -accinés » par le mot « Juif ». Frayeur garantie, et rien ne différenciera cette loi des lois antijuives nazies et françaises de 1941. Rien, sinon qu’elle concernera les « non vaccinés » !

   Et qu’elle a été la suite de ces lois en 1941 ?

   Ce furent les arrestations, les rafles, les regroupements dans les stades et ensuite les wagons à bestiaux et direction les camps de concentration.

   Que croyez-vous qu’ils nous réservent après cette loi ?

   À votre avis, où s’arrêteront-ils ?


   Entrons dans la Résistance active, réelle et clandestine !


   Ils assassinent sans le moindre scrupule les personnes âgées, ils amplifient leurs attaques sur les enfants et toutes nos libertés sont menacées de disparaître à jamais.

   Les non-vaccinés sont désormais des sous-citoyens qui n’auront plus accès à quoi que ce soit, même pas à l’hôpital, tout en continuant à être fiscalement rackettés par les politiciens professionnels et les fonctionnaires.

   À partir d’aujourd’hui, nous devons collectivement comprendre la signification exacte du mot « Résistance ».


   La signification exacte du mot « Résistance ».


   Ce mot ne représente pas seulement une idée, un état d’esprit, une volonté.

   Ce mot s’est forgé au cours des siècles du sang versé par celles et ceux qui ont refusé jusqu’au bout, jusqu’à leur sacrifice, de se soumettre à une forme ou une autre de tyrannie.

   Pensons aux jacqueries de l’Ancien régime, aux batailles de la guerre d’Indépendance des États-Unis entre 1775 et 1783, pensons aux barricades ensanglantées de la Révolution française de 1789, à celles des révolutions parisiennes de 1830 et de 1848.

   Pensons aux milliers de résistants au nazisme et aux fonctionnaires français qui avaient prêté allégeance à Pétain et à Hitler, pensons à leurs réseaux, à leurs actions de sabotage, pensons aux maquis.

   Pensons aux combattants de l’IRA (Armée Républicaine Irlandaise), pensons aux actions non meurtrières du FNLC en Corse (Front de Libération Nationale Corse), pensons à ceux qui en Guadeloupe et en Martinique, tiennent tête aux assassins qui dirigent notre pays.

   Désormais, lorsque nous pensons à ce mot, « Résistance », relions-le à des actes concrets à opposer à nos ennemis, car ce qui se joue aujourd’hui est tout à fait similaire à ce qui se jouait entre 1939 et 1945.

   Et la fin du nazisme n’a pas été obtenue grâce à des manifestations déclarées où les résistants criaient avec conviction « Liberté, liberté, liberté », ni avec de belles déclarations d’intentions sur Twitter ou sur Facebook.


   Leur guerre contre le pseudo-Covid-19 se transforme peu à peu en guerre contre les récalcitrants, contre les non-vaccinés que nous sommes.


   Nous devenons désormais leur cible, tout comme les Juifs étaient leur cible entre 1941 et 1945.

   Ils sont en guerre, pour reprendre le mot de l’Exterminateur des personnes âgées, Emmanuel Macron.

   C’est vrai, mais ce n’est pas contre ce pseudo-Covid-19, qu’ils sont en guerre, c’est contre nous, c’est contre l’Humanité, contre nos droits d’êtres humains et nos libertés fondamentales.

   Et il ne s’agit pas d’une guerre des mots, d’une guerre de l’information, il s’agit d’une guerre conventionnelle d’un nouveau genre, entre deux ennemis parfaitement identifiés : les politiciens professionnels et leurs fonctionnaires éborgneurs, contre nous, les non-vaccinés.


   Retenons les leçons de 1941 : se soumettre, c’est mourir sans les combattre, sans défendre l'Humanité !


   Entrons en « Résistance active » contre la tyrannie fonctionnariale et médicale qui nous est imposée par les politiciens professionnels de tous bord, de la France "Insoumise" de Jean Luc Mélenchon au Rassemblement National en passant par les Verts, La République en Marche et Les Républicains.

   Nous devons les vaincre ! Par tous les moyens !

   Ne nous laissons pas faire, ne soyons pas passifs face à leurs mesures hitlériennes. Agissons avant que des fonctionnaires ne viennent défoncer nos portes pour nous menotter et nous transférer dans des camps.

   Ne mourrons pas sans combattre !


Notes * et ** :

* Pierre Laval, socialiste pétainiste et hitlérien, fut le principal maître d’œuvre de la collaboration entres les fonctionnaires français et l’Allemagne nazie.

Il a été fusillé le 19 août 1944.

* Lavrenti Beria, fut le bras droit et sanguinaire de Joseph Staline (il organisa l’exécution de 10 000 nationalistes géorgiens en août 1924. Staline le présenta à Ribbentrop comme étant « le chef de notre Gestapo » lors de la signature du Pacte germano-soviétique le 23 août 1939.

Quelques mois après la mort de Staline (5 mars 1953), il aurait été fusillé sur manigance de Nikita Khroutchev le 26 juin 1953.

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