jeudi 9 décembre 2021

Le travail d'éveil - Comprendre le monde et l'expliquer pédagogiquement

C’est un puzzle pour les personnes qui, comme moi, essaient de comprendre.
C’est un Monopoly pour les personnes qui ont du pouvoir.

De mon point de vue, c’est très important, fondamental, de dénoncer pédagogiquement ces réseaux de pouvoir. Je m’y suis attelé, modestement, depuis une dizaine d’années. Et même de façon intense (avec émotion) depuis le début de la « plan-démie ». C’était une question de vie ou de mort pour moi. J’ai écrit « c’était » car le mal est fait maintenant.

Ce travail d’éveil est très difficile car il se heurte à un blocage psychologique, celui du « pater » : le père, le patron, la patrie. Beaucoup ne personnes ne peuvent même pas imaginer que ces « pater » puissent être malveillants. Pourtant il existe des pères violeurs, des patrons exploiteurs et des États génocidaires ; mais c’est toujours « ailleurs », en Corée du Nord, en Chine etc.

Pour beaucoup de mes interlocuteurs, il est impossible d’imaginer que les États, pilotés par les multinationales et, au-dessus, les banques, puissent être totalement responsables de tout ce que l’humanité subit depuis deux ans. Il faudra que leurs enfants meurent devant eux, à cause des piqûres, pour créer cet électrochoc. Et encore, ce n’est même pas sûr. Peut-être mourront-ils eux-mêmes avec le déni.

Chaque fois que je le peux, je conseille des lectures instructives, pédagogiques, pour comprendre les réseaux de pouvoirs et leurs horribles excès :

Le procès Maxwell-Epstein qui se déroule actuellement est une affaire énorme ! Rien que ça pourrait expliquer l’empressement des réseaux de pouvoir à avoir déclenché leur « plan-démie ». Des milliers de politiciens, aristocrates, hommes d’affaires, patrons de presse, etc., sont inscrits dans le « petit carnet noir » de Jeffrey Epstein. J’en ai une copie caviardée. Juste mon opinion: Intégralité du « Petit carnet noir » de Jeffrey Epstein

Bref, il faut sortir les populations soumises de leur hébétement, de leur infantilisation. Un exemple : croire qu’on a du pouvoir politique parce qu’on participe à des élections. Une élection c’est choisir un maître parmi un lot de candidats qui ont été choisis par d’autres que nous. Une fois ces maîtres élus, l’électeur n’a plus aucun contrôle. Il est un adulte sous tutelle, comme une personne handicapée mentale incapable de prendre des décisions bonnes pour elle.

Je tique (euphémisme) chaque fois que je lis « démocratie » pour parler de notre société actuelle. Dans une démocratie, on n’élit pas des maîtres politique ; on vote des lois, directement.

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