Maria Cloarec (Infirmière et membre du collectif soignant 05)
▪ Et bien nous, au niveau du plan blanc, on se pose actuellement la
question, comment se fait-il qu'il ait été déclenché, puisque dans nos
services nous avons toutes les pathologies liées au tourisme, notamment
les accidents, les traumatismes crâniens liés aux accidents de montagne
et on est en recherche, on se demande où sont les patients «covid» qui
soit-disant sont supposés submerger nos services.
▪ Donc j'invite tous les journalistes à appeler les directions des hôpitaux pour demander combien de patients occupent ces services et de manière informelle, voilà, je peux vous le dire et je vous invite à faire ces recherches-là et au niveau, nous, du collectif 05, en effet c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase, nous avons demandé aujourd'hui un RV à Mme Baghioni qui est responsable départemental de l'ARS (Agence Régionale de Santé) qui, elle, est en vacances alors que nous, soignants, nous allons devoir renoncer à nos vacances et nous sommes interdits de démissionner notamment sur un plan blanc, donc oui peut-être qu'on peut appeler ça la goutte de trop.
Pascal A. (Chirurgien libéral et membre du collectif Soignant 05)
▪ Alors, farouchement opposé à l'obligation vaccinale, heuuu d'abord le
mot vaccin est un peu gênant dans le contexte car il s'agit d'une
bio-technologie innovante pour laquelle on a très peu de recul, certes
elle est censée activer l'immunité et nous prémunir de l'infection covid
mais avec un mécanisme d'action très innovant, intuitivement alors on
manque beaucoup de données, de chiffres, l'évaluation de cette nouvelle
technologie est, pour le moment, très sommaire notamment en matière de
risques.
C'est une technologie innovante qui, quand même, conduit intuitivement à
un sacrifice cellulaire de notre organisme en bonne santé puisque cet
ARN n'est pas l'objet que notre immunité va reconnaître, c'est juste un
moyen de pirater nos propres cellules, les transformer en cellules
étrangères pour qu'elles soient ensuite détruites par notre immunité.
La chose préoccupante c'est que du peu qu'on connaisse de cette technologie-là et de ce que nous dit Pfizer dans son AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) conditionnelle, c'est que l'ARN Messager injecté chez le rat atteint quand même des organes-cible critiques tels que le cerveau, le cœur, les gonades et notamment les ovaires des dames, ces trois tissus vitaux ont des cellules à capacité régénérative nulle, enfin limitée si ce n'est nulle, il faut donc savoir que si cet ARN est transcrite et exprimée dans ces tissus-là, on va perdre des cellules de façon définitive, ce qui peut conduire dans le cerveau à des dégénérescences et à des maladies cognitives, plus ou moins... on ne sait pas les délais et chez les dames, les problèmes de la fécondité puisqu'il s'agit de vacciner ou d'injecter des femmes jeunes.
- Alors justement, à qui est-ce qu'on peut se fier aujourd'hui si on est un citoyen lambda?
▪ Ben alors le problème c'est que nos autorités ne nous donnent pas tous les chiffres, nous demandent, nous imposent des actions mais on n'a pas les garanties, les garde-fous et les données qui pourraient nous rassurer, nous permettre d'accepter ce protocole politique hein, j'ai du mal à dire sanitaire.
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