Pour ( peut être ) plagier Montesquieu :
Le pouvoir politique doit être tenu pour obéissant à ses administrés, selon des règles à définir par les administrés, et en aucun cas par les administrateurs.
Partant de là, il ne sert pas à grand chose de parler du pouvoir actuel, en bien ou en mal : c'est probablement une perte de temps, quand toute l'attention doit être portée sur le fait que présentement, c'est l’administrateur qui définit l'étendue de son pouvoir, mais jamais ses administrés.
Le pouvoir politique doit être tenu pour obéissant à ses administrés, selon des règles à définir par les administrés, et en aucun cas par les administrateurs.
Partant de là, il ne sert pas à grand chose de parler du pouvoir actuel, en bien ou en mal : c'est probablement une perte de temps, quand toute l'attention doit être portée sur le fait que présentement, c'est l’administrateur qui définit l'étendue de son pouvoir, mais jamais ses administrés.
1 commentaire:
Qui est au service de qui ? C'est un peu comme le mot "représentant" ; il peut être interprété de deux façons opposés : idéalement, le représentant ne devrait être que le porte parole du groupe qui l'a désigné (mandat impératif) or, dans notre Constitution (article 27), "le mandat impératif est nul". Du coup, le représentant ne se représente que lui-même et prend des décisions qu'il impose (grâce à l'appareil d’État) à tous ceux qui comptaient sur lui pour les représenter.
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