mercredi 4 septembre 2024

Maladies et injections ARNm COVID / Mpox et tutti quanti… Des armes nano-biotechnologiques auto-assembleuses déployées contre l’humanité. Attaque planétaire en cours depuis 2019 (Karen Kingston et Dr Ana Milhacea)

 A diffuser au plus grand large possible. Il est peut-être déjà trop tard pour arrêter l’extinction planifiée de masse de l’espèce humaine et de toute vie organique sur cette planète… L’heure est à la compréhension et à l’ACTION DIRECTE contre les criminels des gouvernements, de la haute finance et en « blouse blanche » qui sont aux manettes de cette infamie par nano-biotechnologie interposée.
~ Résistance 71 ~

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Fléau de l’humanité au XXIème siècle…

Des millions d’entités auto-assembleuses dans les injections ARNm / COVID-19

Un grossissement de 400x de 54 flacons contenant les injections anti-COVID-19 confirme plus avant que les injections à ARNm contiennent des millions d’entités “intelligentes” d’ingénierie biologique non déclarée, qui répondent à des signaux électro-magnétiques et sont hautement toxiques.

Karen Kingston

13 août 2024

Url de l’article original (multiples sources, hyperliens et photos) :

https://karenkingston.substack.com/p/millions-of-self-assembling-nanotech

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Avant que nous ne plongions dans le détail de ce nouvel article peer-reviewed publié le mois dernier (this newly published peer-reviewed article,), je veux insister sur le pourquoi cette nouvelle analyse scientifique est une preuve critique et une pièce majeure dans notre bataille pour mettre fin à l’assaut exterminateur sur l’humanité mis en place avec la technologie à nanoparticules ARNm. On ne peut pas arrêter le crime si on n’identifie jamais l’arme.

Cette analyse récemment publiée est une preuve supplémentaire de la toxicité et de la létalité de la nanotechnologie d’auto-assemblage, ces entités nano-technologiques à IA trouvées dans les flacons ds “vaccins” / injections ARNm anti-COVID-19. Sous le couvert frauduleux de “vaccins sûrs et efficaces”, ces nano-biotechnologies toxiques ont été injectées à des milliards d’adultes et d’enfants de la planète, causant un niveau de maladies, d’incapacitation et de mort sans précédent dans l’histoire humaine. (NdT : un chiffre conservateur avancé est que les injections ARNm / COVID-19 sont directement responsables de plus de 20 millions de morts dans le monde et plus à venir…)

“Des entités artificielles auto-assembleuses visibles”

L’ International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research (IJVTPR) a publié une analyse scientifique sur 54 flacons de “vaccins” COVID-19 Pfizer (45), Moderna (7), AstraZeneca (1) et Novarax (1) confirmant la présence de “3 à 4 millions d’entités auto-assembleuses par millilitre” des injections anti-COVID-19. Spécifiquement, les injections Pfizer à ARNm contenaient entre 900 000 et 1,2 million d’entités nanotechnologiques PAR DOSE et Moderna contenait entre 1,5 et 2 millions d’entités nanotechnologiques PAR DOSE.

Nanotechnologie auto-assembleuse et auto-dispersante confirmée

Les chercheurs ont confirmé qu’à la fois la réplique, copie et l’auto-assemblage des nanoparticules pré-programmées sont activés par des conditions internes et externes (incluant des champs électro-magnétiques de téléphones cellulaires et d’ordinateurs portables).

Ces champs électro-magnétiques externes créent des périodes d’activation qui font partie d’un phénomène de transmission à autrui imprévisible qui se produit durant la “surproduction de nanoparticules” causant leur transmission via la sueur, la salive, le sperme et autres sécrétions corporelles.

Ces nouvelle trouvailles peer-reviewed sont consistantes avec les brevets enregistrés aux Etats-Unis confirmant que les nanoparticules lipidiques sont des particules PROGRAMMABLES, AUTO-ASSEMBLEUSES, AUTO-REPLICANTES et AUTO-TRANSMISSIBLES — phénomène du shedding ou de la “mue” — ( programmable, self-assembling, self-replicating and self-spreading )

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L’hydrogel (PEG) magnétique est une “nano-espèce à IA” intelligente et auto-réplicante

D’après les brevets de Moderna ( Moderna patents,) l’hydrogel (incluant l’hydrogel magnétique) est un composant clef de bon nombre de nano-biotechnologies auto-assembleuses et auto-réplicantes trouvées dans les injections COVID-19.

“A cause de cette intelligence, l’hydrogel a un potentiel d’application fascinant dans la fabrication synthétique de tissus biologiques et d’actualisateurs légers (hydrogels) comme matériaux de réponse au stimulus, le champ magnétique a l’avantage d’une action immédiate, de contrôle sans contact et  une intégration facile des engins électroniques.”

La nano-biotechnologie à IA apparaît et disparaît avec le temps

Les chercheurs scientifiques ont observé que, “Alors que le temps progresse, les structures uni et bi-dimensionnelles deviennent plus complexes en forme et en taille sur une période de deux à trois semaines, se développant en des entités tri-dimensionnelles visibles. Elles ressemblent à des filaments nanotubes de carbone, en forme de rubans, de bande, certains apparaissent comme transparents, de fines membranes plates, d’autres comme des spirales tri-dimensionnelles… Certaines d’entre elles semblent apparaître puis disparaître avec le temps.”

L’apparition et disparition de la nanotechnologie est consistante avec ce qui est dit dans les brevets confirmant que l’activation de l’auto-assemblage est basée sur la mécanique quantique et la particule de Bohr (l’effet observateur, (the observer effect), tout autant que sur des fréquences électro-magnétiques externes.

Les chercheurs pensent que comme les échantillons de Pfizer ont incubé pendant deux jours, “Ils semblaient devenir plus actifs comme s’ils répondaient à un commandement de changement sous d’autres formes variées, des structures ressemblant à des vers “s’accouplèrent” ainsi que des disques en suspension, des sphères et des objets allongés en forme de tube.”

L’existence d’une nanotechnologie auto-assembleuse (incluant des structures en forme de ver “conscientes” et des disques en suspension) a aussi été confirmée par les recherches des Dr. Carrie Madej, Dr. Zandra Botha, Dr. Ana Mihalcea, David Nixon, Shimon Yanowitz, Matt Taylor, ainsi que d’autres scientifiques, médecins et chercheurs.

Les puces nanotechnologies disparaissent avec le temps, mais la nano-biotechnologie (structures biologiques artificielles) se maintient et/ou “procrée” avec le temps en réponse aux champs magnétiques

Les chercheurs experts ont noté qu’après de 2 à 6 mois “Les structures puces auto-assemblées ont progressivement disparues.”

Les Dr Lee et Broudy ont théorisé que le CDC recommande les rappels d’injection parce que les nano-puces “disparaissent” sur une période de 2 à 6 mois.

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Des structures semblant en vie répondent aux chargeurs de téléphone cellulaire et aux CEM

Mais, les structures bio-synthétiques paraissant en vie (dans les flacons de Pfizer) sont apparues croître et se répliquer dans le temps en réponse à des champs électro-magnétiques. Les chercheurs ont spécifiquement testé la réaction de la nanotechnologie à la chaleur, à la lumière U.V, à la 5G et aux CEM et l’exposition aux disques durs externes, aux téléphones cellulaires et aux chargeurs sans fil.

Les chercheurs ont noté que les structures filamenteuses semblaient se répliquer et croître plus en réponse aux ions de calcium, ce qui est consistant avec la recherche sur l’hydrogel synthétique génétique utilisant les ions de calcium comme partie du processus de biosynthèse. (genetic engineered hydrogel utilizing calcium ions as part of its biosynthesis processes.)

Système opératoire ARNm, Internet des Corps (IoB, Internet of Bodies) et rappels d’injection

Les Dr Lee et Broudy référencent de nombreux articles citant le site internet de Moderna, disant que la nanotechnologie ARNm auto-assembleuse et auto-réplicante est un type d’OS ou programme logiciel.

Ils citent de nombreux chercheurs qui ont affirmé qu’avoir injecté des milliards d’êtres humains avec cette nanotechnologie sous le déguisement de “vaccins sûrs et efficaces” fait partie du projet de l’Internet des Corps / Internet of Bodies ou IoB, du Wireless Body Network (WBAN) et de l’agenda transhumaniste.

J’ai déjà parlé de ces sujets des douzaines de fois, insistant sur le fait que la nanotechnologies injectée dans des êtres humains fait aussi partie d’une plateforme de surveillance globale des personnes.

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La nanotechnologies dans les flacons d’injections ARNm COVID-19 N’EST PAS du sel ni du cholestérol

Les médecins sus-mentionnés affirment de plus que l’on peut abandonner l’hypothèse que ces structures bio-synthétiques hautement avancées à IA soient du cholestérol ou des cristaux de sel.

Les chercheurs ont également observé les effets extrêmement toxiques que les contenus des flacons des injections COVID-19 ont sur les globules rouges, blancs et les plaquettes sanguines ainsi que les spermatozoïdes. Combiné avec la preuve de la vie réelle de l’escalade du taux de maladies et de décès (ainsi qu’au moyen des données des essais cliniques de la FDA), les Dr Lee et Brody affirment que les injections COVID-19 ne sont “ni sûres ni efficaces” et qu’il est plus que grand temps pour les experts médicaux “de reconsidérer (ou abandonner) la maxime disant la ‘corrélation n’est pas égale à la cause’.”

Désintoxiquer de la nanotechnologie

Les Dr Lee et Broudy recommandent quelques simples façons pour se désintoxiquer de la nanotechnologie, comme par exemple se brancher sur le terre (se tenir sur la terre, les pieds nus) et réduire au maximum son exposition aux fréquences électromagnétiques comme les engins sans fil, les tours 5G, les chargeurs etc…

Nous devons reconnaître l’arme avant de pouvoir arrêter le crime en cours

La bio-technologie à nanoparticules de transformation génétique auto-réplicante et causant des maladies trouvée dans les injections ARNm COVID-19 n’est pas une théorie de la conspiration. La nanotechnologie existe, elle est une réalité et elle est couramment utilisée pour mener une guerre contre l’humanité sous le déguisement de “vaccins sûrs et efficaces”.

Il est absolument critique que la majorité du mouvement de la liberté de la santé reconnaisse la dérangeante grande quantité de nanotechnologie toxique dans les injections COVID-19 de façon à ce que nous puissions travailler de concert vers un bannissement efficace de toute la suite des nanotechnologies à ARNm de nos communautés. Comme les auteurs de cette analyse l’ont écrit : “Une interdiction globale immédiate est nécessaire” jusqu’à ce que nous puissions nous figurer comment contenir ces nano-biotechnologies à IA contagieuses et hautement toxiques de l’empoisonnement génétique de l’espèce humaine et autres formes de vies biologiques sur cette planète.

Dr. Ana Mihalcea a récemment publié un article encore plus technique sur cette nouvelle analyse.

Visionnez le documentaire : the documentary Final Days on Rumble.

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Auto-assemblage et pré-programmation…

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