dimanche 21 juillet 2024

EUROPA LA DERNIERE BATAILLE (Partie 9/13) (Traduction Didi18)

 Sujets abordés dans cette 9ème partie : MENSONGES JUIFS ET PROPAGANDE DE GUERRE.

 

Source : https://odysee.com/@didi18:e/Europa-la-derni%C3%A8re-bataille-partie-9-(anciennement-8)-premi%C3%A8re-heure-filnale:e?lid=c5f810e37abd42cf5112e1a16bf6c0f0646aea35

Notes de visionnage

* L'holocauste est le récit selon lequel six millions de juifs ont été tués par les Allemands nazis durant la Seconde Guerre mondiale principalement par "gazage" dans des "chambres à gaz".

Étymologie : Au milieu du XIIIe siècle, "sacrifice par le feu, offrande brûlée", vient du vieux français holocauste (XIIe siècle), ou directement du latin tardif holocaustum, du grec holokauston "une chose entièrement brûlée", neutre de holokaustos "brûlé entièrement", de holos "entier" (du radical indo-européen *sol- "entier, bien entretenu") + kaustos, adjectif verbal de kaiein "brûler" (voir caustic). À l'origine, un mot biblique pour désigner les "offrandes brûlées", il a pris un sens figuré plus large de "massacre, destruction d'un grand nombre de personnes" à partir des années 1670. The Holocaust "le génocide nazi des Juifs européens pendant la Seconde Guerre mondiale", enregistré pour la première fois en 1957, était auparavant connu en hébreu sous le nom de Shoah "catastrophe". Le mot lui-même a été utilisé en anglais pour désigner les politiques juives d'Hitler à partir de 1942, mais pas comme un nom propre pour les désigner.Le chroniqueur anglais Richard de Devizes, dans son compte-rendu contemporain du couronnement de Richard Ier en 1189, a utilisé le mot holocauste pour décrire le meurtre de masse des Juifs de Londres, bien qu'il l'ait signifié comme "une offrande sacrificielle". Source : https://www.etymonline.com/fr/word/holocaust

* Sont appelés "révisionnistes" voire "négationnistes" les journalistes, scientifiques, ingénieurs, auteurs, éditeurs (comme Germar Rudolf, chimiste de formation), historiens, chercheurs et militants de la liberté d'expression qui considèrent qu'il y a eu exagération du nombre de victimes voire que les chambres à gaz n'ont pas existé ; sans pour autant remettre en cause les persécutions subies par les juifs ni l'existence des camps de concentration où les prisonniers ont été soumis à des travaux forcés. 

* Toutes ces morts (par dizaines de millions, toutes nationalités et ethnies confondues ) ne seraient pas intervenues si la communauté juive internationale n'avait pas déclaré la guerre à l'Allemagne en 1933.


* Pendant la Seconde Guerre mondiale, après l'attaque de Pearl Harbour, des milliers de citoyens américains d'origine japonaise, italienne ou allemande ont été déplacés de force et jetés dans des camps de concentration aux États-Unis par décret n°9066 du président Roosevelt.

Même chose en Suède et en Finlande avec des prisonniers communistes.

* Les camps de concentration ont été inventés par les financiers juifs britanniques en octobre 1889 pour y enfermer les Boers lorsqu'ils ont commencé à exploiter l'or et les diamants d'Afrique du Sud.

* "L'Allemagne est notre ennemi n°1. Notre objectif est de lui déclarer une guerre sans pitié."  Bernard Lecache, président de la Ligue Juive Mondiale

* Les Allemands connaissaient l'ampleur du massacre opéré par les bolchéviks (essentiellement des juifs) en Russie : 30 millions de victimes dont voici quelques-uns des principaux responsables jusqu'aux années 1930 :

Les communistes d'Allemagne ont donc été transféré dans des camps à titre préventif et il se trouve que 98 à 99% d'entre eux étaient des juifs (dixit Benjamin Freedman, juif anti-sioniste).

* Le typhus est une maladie bactérienne responsable de la mort de beaucoup de personnes dans les camps de prisonniers pendant les deux guerres mondiales. Elle est transmise par des parasites comme les poux ou les tiques. Ce sont des douches chimiques fumigènes au Zyklon B dilué qui permettent l'éradication des poux et protègent ainsi la santé des prisonniers.  Cette méthode est utilisée depuis les années 1920 y compris au États-Unis pour éviter la propagation de maladies par les immigrés mexicains.

* Les prisonniers étaient (relativement) bien traités jusqu'à fin 1944. Mais avec les bombardements, les difficultés d'approvisionnement en nourriture et en eau potable, la malnutrition et la maladie ont ravagé les camps de prisonniers. Par exemple, dans le camp de Bergen-Belsen, même après sa prise par les Britanniques, 500 personnes continuaient à mourir chaque jour, dont 56-57% à cause du typhus. Et nulle trace de "chambres à gaz" destinées à tuer les prisonniers, au contraire, pour les désinfecter. 

* Le taux de mortalité dans les camps de prisonniers devait être réduit à tout prix, sur ordre d'Henrich Himmler, tout simplement parce que les camps étaient principalement des usines et que la perte de travailleurs nuisait à la production de guerre.

Les ordres des commandants d'Auschwitz 1940-1945 : Sur mandat de l'IfZ (Institut d'histoire contemporaine de Munich), ces documents historiques du commandement national-socialiste ont été publiés en 2000 par cinq membres de l'Institut dans un volume d'environ 600 pages sous le titre : "Standort- und Kommandanturbefehle Auschwitz 1940-45", dont nous vous proposons ici un aperçu. Dans l'introduction et les notes de bas de page des différents ordres de commandement des camps, l'IfZ s'efforce de ne laisser aucun doute sur la version officielle de l'Holocauste ; une tentative qui échouera compte-tenu de la signification des propres ordres de commandement des responsables du camp d'Auschwitz. Ursula Haverbeck a reconnu et rendu public la signification contemporaine de ces ordres de commandement comme nul autre historien. Le fait qu'elle soit persécutée politiquement pour sa seule opinion et punie à une peine d'emprisonnement de 2 ans témoigne du totalitarisme de la RFA et en même temps parle en faveur de l'hypothèse du camp de travail d'Auschwitz.

* Dès 1937, les journaux allemands rapportaient que tous les meurtres de juifs seraient passibles de la peine de mort.

 

* Les fours crématoires étaient utilisés pour éviter a propagation de maladies, le camp d'Auschwitz étant construits sur un terrain marécageux. D'ailleurs, les mêmes procédés existent à Ellis Island (l'entrée principale des immigrants dans la première partie du XXème siècle), aux États-Unis, pour la même fonction : éviter la propagation de maladies.

* Les histoires de "massacres" et de "gazages" ("chambres à gaz") proviennent de rapports soviétiques autorisés par les menteurs et génocidaires connus que sont Ilya Ehrenbourg et Joseph Staline, et ont ensuite été diffusés par le New York Times, propriété des juifs (quelques heures seulement après la capitulation de l'Allemagne).


* Déclaration de la Croix-Rouge 


* Fred Leuchter (comme Ernst Zündel, Robert Faurisson, etc.) et bien d'autres techniciens, chimistes ou enquêteurs, ont prouvé qu'il était techniquement impossible que les installations aient permis le gazage mortel d'individus (absence d'étanchéité, système électrique ne prévenant pas les explosions de l'acide cyanhydrique gazeux, proximité des fours crématoires, etc.).

 

Les témoins juifs ont menti [pour obtenir des "compensations" financières] :

Seules les salles d'épouillages présentent des traces d'acide cyanhydrique (Zyklon B)


* En 1991, David Cole, un juif révisionniste, est allé à Auschwitz et a obtenu l'aveu de la part du directeur du camp devenu un musée, que c'étaient les Soviétiques qui avaient maquillé un abri anti-aérien en prétendue "chambre à gaz". Même le magazine français L'Express a reconnu en 1995 qu'il s'agissait d'une reconstruction trompeuse d'après-guerre.  

* Propagande de guerre : En novembre 1944, une lettre fut adressée à la BBC et aux membres supérieurs du clergé britannique par le ministre britannique de l'information. Face aux inévitables atrocités que les Soviétiques allaient commettre en Europe de l'est, ils s'agissait d'attribuer ces horreurs aux Allemands. 


* Quel(s) intérêt(s) à mentir après la victoire ? Thomas Goodrich : "Parce que les juifs ont réalisé qu'ils obtiendraient Israël et, comme si cela ne suffisait pas, l'Allemagne s'est mise à dédommager tout juif qui se présentaient comme survivant de l'holocauste."

* Sefton Delmer, un journaliste propagandiste juif britannique, était responsable de la "propagande noire" consistant à falsifier des documents allemands et ensuite à la présenter comme preuves à charge lors de procès, à Nuremberg notamment.

* La propagande a continué jusque dans l'absurde : des Allemands morts sont devenus ... des juifs.

* De nos jours, les médias (cinéma, presse) sont presque entièrement contrôlés par des juifs (6 sociétés juives contrôlent 96% des médias du monde).

Exemples de propagande continue qui vise à l'endoctrinement de la jeunesse : 

- le film "La liste de Schindler" est présenté comme s'appuyant sur une histoire vraie alors que son auteur Thomas Keneally a écrit une fiction et a d'ailleurs été récompensé pour ça par le prix Los Angeles - Book Prize - Fiction ;

- et surtout le livre "Le journal d'Anne Frank". Anne Frank et son père Otto ont été déportés des Pays-Bas vers Auschwitz en septembre 1944. Otto a été soigné à l'hôpital d'Auschwitz. Plusieurs semaines plus tard, face à l'avancée de l'armée soviétique, Anne a été évacuée vers le camp surpeuplé de Bergen-Belsen. En janvier 1945, des dizaines de milliers de survivants juifs ont choisi de quitter Auschwitz et de partir vers l'ouest avec ceux-là même qui les ont prétendument assassinés pendant des années. Anne Frank est morte du typhus en mars 1945. mais son manuscrit original a fait l'objet d'un examen médico-légal par le bureau national allemand de médecine légale : le Bundeskriminalamt (BKA). L'analyse a permis de déterminer que des parties importantes de l’œuvre ont été écrites avec un stylo à bille. Comme les stylos à bille n'étaient pas disponibles pour tous avant 1951, certaines parties de l’œuvre ont été ajoutée bien après la guerre. Les experts en écriture déterminent après un examen plus approfondi des originaux que la totalité du journal a été écrite de la même main et le BKA a déterminé que "rien que ce qui est écrit dans ce journal ne correspond à l'écriture réelle d'Anne.

Le véritable auteur du journal est le romancier juif Meyer Levin, qui a exigé et obtenu 50.000 dollars en paiement de son travail dans une action en justice contre le père d'Anne, Otto Frank.
La vérité sur "Le journal d'Anne Frank" a été révélée pour la première fois en 1959 par la revue suédoise "Fria Aude". Elle a établi que le romancier juif Meyer Levin avait écrit les dialogues du journal et qu'il réclamait un paiement pour son travail dans le cadre d'une action en justice contre Otto Frank.  Un extrait de l'article suédois est paru dans la lettre de l'American Economic Council du 15 avril 1959 comme suit : "L'histoire offre de nombreux exemples de mythes qui survivent plus longtemps et plus richement que la vérité et qui peuvent devenir plus efficaces que la vérité. Depuis quelques années, le monde occidental a pris conscience de l'existence d'une jeune fille juive par le biais de ce qui est censé être son histoire, écrite personnellement, "Le journal d'Anne Frank". Toute inspection littéraire éclairée de ce livre aurait montré qu'il était impossible qu'il soit l’œuvre d'une adolescente. Une décision remarquable de la Cour Suprême de New York confirme ce point de vue dans la mesure où l'écrivain juif américain bien connu Meyer Levin s'est vu attribuer 50.000 dollars que lui a versés le père d'Anne Frank à titres d'honoraires pour le travail de Levin sur le journal d'Anne Frank.

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Post Scriptum :
A plusieurs reprises, j'ai mis des hyperliens vers les articles Wikipédia présentant les personnes citées. J'ai hésité à les retirer tellement la diffamation est grande vis-à-vis de ceux qui exposent la vérité et dénoncent les faussaires, c'est-à-dire les vainqueurs qui ont écrit l'histoire à leur convenance. Mais finalement, j'ai laissé ces hyperliens pour permettre au lecteur de mesurer à quel point les médias sont, encore aujourd'hui, contrôlés par les mêmes groupes d'intérêt qui ont fait la promotion d'Israël et parallèlement maquillé les faits, d'une part,  pour diaboliser les Allemands et, d'autre part, pour recevoir d'importantes rétributions financières depuis des décennies.

5 commentaires:

Je a dit…

LES IMAGES DE LA LIBÉRATION DU CAMP D’AUSCHWITZ ÉTAIENT DES FAUSSES, SELON LA BELLE-SŒUR D’ANNE FRANK

La belle-sœur d'Anne Frank, Eva Schloss, prétend que les preuves photographiques de la libération d'Auschwitz étaient toutes « fausses » ? Elle déclare que les équipes de tournage sont revenues MOIS PLUS TARD et l'ont mis en scène.

Source : https://vk.com/video535504138_456249840

Je a dit…

Le Journal "d'Anne Franck" n'a cessé d'évoluer ... après sa mort !

Source : https://www.lapresse.ca/arts/litterature/2022-06-01/nouvelle-publication/le-journal-d-anne-frank-un-texte-qui-n-a-cesse-d-evoluer.php



Je a dit…


Hugues HONORÉ Agence France-Presse - juin 2022

La première version des écrits de cette jeune fille d’Amsterdam, morte en camp de concentration, était parue le 25 juin 1947. Elle s’intitulait Het Achterhuis (« l’Annexe » en néerlandais), le surnom de l’appartement aménagé derrière une fausse bibliothèque où se cachait la famille Frank.

Le tirage d’origine est de 3000 exemplaires. En trois quarts de siècle, les ventes ont dépassé les 30 millions d’exemplaires, selon la Fondation Anne-Frank.

En français, deux éditeurs détiennent les droits de ce livre mondialement célèbre : Calmann-Lévy, qui le publia pour la première fois en 1950, et le Livre de poche (qui fait partie du même groupe, Hachette), depuis 1958.

Le Livre de poche a fait paraître son « édition mise à jour » le 25 mai. Et Calmann-Lévy republie mercredi ce livre phare de son catalogue en grand format. Même traduction, mais deux présentations différentes.

« L’édition française a fait beaucoup pour la diffusion du Journal », dit à l’AFP Philippe Robinet, le directeur général de Calmann-Lévy, qui avait été le premier éditeur étranger d’Anne Frank.

Je a dit…

Ébauche de roman

« C’est une amie hollandaise qui remet le livre à Manès Sperber, un philosophe qui était éditeur chez Calmann-Lévy, et qui lisait le néerlandais. Il lit le Journal d’Anne Frank et il tombe raide. Il dit tout de suite : “On va l’éditer” », raconte-t-il.

L’édition allemande suit la même année, et l’américaine en 1952, grâce à un écrivain qui a lu la traduction française, Meyer Levin.

C’est un livre composite. Dans sa cache où elle restera de juillet 1942 jusqu’à son arrestation en août 1944, Anne Frank a en effet rédigé deux versions, appelées traditionnellement A et B.

La première est un journal d’enfant et d’adolescente de forme classique. La seconde, l’ébauche d’un roman épistolaire bien structuré, conçue en quelques mois par celle qui rêve de devenir journaliste et écrivain, et qui à 14 et 15 ans commence à très bien maîtriser l’écriture.

Le père d’Anne Frank, Otto, rescapé des camps, combine après guerre des éléments des deux dans une version C.

Sur son travail, les avis sont partagés.

Dans un article en 1993, un universitaire français spécialiste des journaux intimes, Philippe Lejeune, loue le résultat : « Otto Frank a su faire, littérairement et humainement, un travail admirable en menant à son terme la réécriture et le montage qu’Anne avait entrepris ».

Je a dit…

« Version définitive »

En revanche, une amie d’enfance d’Anne Frank, Laureen Nussbaum, 94 ans, survivante de l’Holocauste devenue spécialiste des écrits d’Anne Frank, n’aime pas cette première édition. Elle la qualifie de « fatras » dans The Independent en 1995, et lui préfère la version B.

Seul un éditeur allemand a fait le pari de se limiter à celle-ci, avec Liebe Kitty (208 pages, 2019).

Les lecteurs d’aujourd’hui peuvent se faire un avis par eux-mêmes, depuis l’édition dite « critique » de 1986, qui donne à voir les versions A, B et C. Cette version D a eu pour titre en français Les Journaux d’Anne Frank (765 pages, 1989).

Étonnamment, on n’avait toujours pas le texte intégral à cette époque. En 1991, l’éditrice allemande Mirjam Pressler révèle des extraits inédits, dans ce qu’elle appelle la « version définitive », plus longue de près d’un tiers.

Pas si « définitive » que ça : un ultime extrait inédit, découvert en 1998, entre dans la dernière version en date, parfois appelée D2, celle qui reparaît aujourd’hui. Complétée par d’autres écrits et documents, elle a été retenue dans Anne Frank l’intégrale (816 pages, 2013).

Calmann-Lévy a accompagné toute cette évolution. « Cela fait partie de notre mission d’éditeur, d’autant plus avec un tel livre, qui fait partie du patrimoine immatériel de l’humanité », explique Philippe Robinet.

Source : https://www.lapresse.ca/arts/litterature/2022-06-01/nouvelle-publication/le-journal-d-anne-frank-un-texte-qui-n-a-cesse-d-evoluer.php#