samedi 25 février 2023

[Archive 2012] Jacques Cheminade : "On a tué Ben Laden et Khadafi pour qu'ils ne parlent pas" | France Inter

 Le candidat à la présidentielle du parti Solidarité et progrès Jacques Cheminade est l'invité de 5 Minutes avec sur France Inter (7h50 -- 9 mars 2012).

 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=-lDcwXzPrwA

2 commentaires:

Je a dit…

Quelle journaliste de merde ! Heureusement que Jacques Cheminade est beaucoup plus poli que moi ...

Voilà un homme qui a touché au cœur du problème :
- il fait les liens entre sionisme et nazisme
- et il propose une politique monétaire indépendante.

Du coup, il dérange les banquiers et les agents de la propagande aux ordres se déchaînent contre lui. Tout comme ils se déchaînent aujourd'hui contre François Asselineau.

Je a dit…

Dans le programme de Jacques Cheminade :

"Passer ensemble d’un système monétariste destructeur à un système de crédit public productif, dans lequel les États émettent du crédit-monnaie pour l’équipement de l’homme et de la nature. Ce système de crédit productif public partagé doit être fondé sur des taux de change fixes entre monnaies, même s’il faut prévoir qu’ils pourront être ajustables d’un commun accord en cas de circonstances exceptionnelles. La fixité est ce qui permettra d’éviter les spéculations monétaires à court terme détournant les flux financiers des investissements à moyen et long terme.

Sortir du système de l’euro et de l’Europe qui s’est fait depuis le Traité de Maastricht, condition pour pouvoir passer à un système de crédit productif public et retrouver notre indépendance nationale par rapport à un ordre européen actuel qui se reconnaît lui-même comme non démocratique.

Proposer à nos partenaires européens et tout particulièrement à l’Allemagne, de négocier une sortie du système actuel pour fonder en commun un système de crédit public par association de nos banques nationales, en vue de financer de grands projets d’équipement et de développement mutuels à l’échelle de l’Europe et de l’Eurasie.

Abandon des critères de Maastricht et du Pacte de stabilité, combinaison de politiques monétaires et budgétaires restrictives et relais d’un système international destructeur.

A un euro-franc, que je proposerai d’appeler euro-franc polytechnique, correspondraient d’autres euros nationaux. La cohabitation de ces différents euros nationaux serait assurée par des appréciations ou des dépréciations qui permettraient un fonctionnement du système compte tenu des réalités économiques, et non comme aujourd’hui des rapports de force financiers."