D’une part, « l’efficacité partielle des vaccins », et en deuxième lieu le fait que « l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants ».
==> la vaccination fait apparaître de nouveaux variants etc...
En troisième lieu, « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. » Enfin, « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu ».
Si le juge reconnaît, dans son délibéré, les effets positifs des vaccins, il considère donc que le risque est trop grand, alors que l’épidémie circule largement sur le territoire et que les variants ajoutent une inconnue à l’équation : «l’atteinte à la liberté individuelle résultant des mesures de couvre-feu et de confinement ne peut, en l’état, au regard des objectifs poursuivis, être regardée comme disproportionnée»
C'est ce que l'on appelle se faire rouler dans la farine par la propagande médiatique et pharmaceutique.
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