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En complément, une ode funèbre de Jean Bricmont (qui n'a critiqué que le racisme du triste sire)
Depuis hier je suis INCONSOLABLE; je pleure à chaudes larmes; mon prince charmant, mon prince adoré, le prince Philip n’est plus !
Quelques unes de ses profondes pensées (https://www.aljazeera.com/opinions/2017/8/13/the-priceless-racism-of-the-duke-of-edinburgh):
"Tout le monde disait qu'il fallait avoir plus de loisirs. Maintenant, ils se plaignent d'être au chômage" (pendant la récession de 1981).
"Si vous restez ici plus longtemps, vous aurez tous les yeux bridés" (à un groupe d'étudiants britanniques lors d'une visite royale en Chine).
"Vous ne pouvez pas être ici depuis si longtemps, vous n'avez pas de bedaine" (à un Britannique rencontré en Hongrie).
"La plupart d'entre vous ne descendent-ils pas de pirates ?" (à un riche insulaire des îles Caïmans).
"Comment faites-vous pour que les autochtones ne boivent pas d'alcool assez longtemps pour passer l'examen" (à un moniteur d'auto-école écossais).
"On dirait qu'elle a été posée par un Indien" (en parlant d'une boîte à fusibles démodée dans une usine près d'Édimbourg).
"Vous lancez toujours des lances ?" (question posée à un aborigène australien lors d'une visite).
"Les Philippines doivent être à moitié vides puisque vous êtes tous ici à gérer le NHS" (lors de la rencontre avec une infirmière philippine à l'hôpital de Luton et Dunstable).
Et à un dirigeant africain en costume traditionnel: « pourquoi êtes-vous en pyjama? »
En plus, il n’y avait chez lui pas l’ombre d’une trace de racisme anti-blanc !
Ce que j’aimais chez lui, c’est que c’était le genre d’aristo qui justifie cette chanson que je dédie à sa mémoire :
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