Comment sortir du néolibéralisme, et quelle alternative y substituer ?
Quelle place pour les partis et les syndicats dans cette révolution ?
Quid du recours à la violence ?
Faut-il se débarrasser de cette police ?
Économiste et philosophe, Frédéric Lordon était l’invité de l’association de polytechniciens X-Alternative, le 6 février dernier à Paris, pour répondre à ces questions.
Source : https://www.youtube.com/watch?v=CML76Y4CENU&fbclid=IwAR0TS5K-nZBH4GIohnB01mEI34hEId95S6kFBoxNa8oVgyFt7t5I1J9-rrM
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1 commentaire:
21mn : Si un gouvernement de gauche type LFI avec Mélenchon venait au pouvoir, il serait "torché" en deux semaines grand maximum car toutes les forces du capitalisme se déchaîneraient contre lui, à commencer par le capitalisme financier. La hausse des taux d'intérêt mettraient échec et mat le gouvernement avant même que Mélenchon ne puisse poser une fesse dans son fauteuil.
Deux solutions : s'affaler ou passer à autre chose. Une alternative de vie ou de mort.
Ce sont les dominants qui fixe le niveau de violence.
42mn: Les masses apprennent très vite dans le mouvement. L'exemple des "gilets jaunes" est impressionnant : ça part d'une taxe sur le carburant et ça aboutit à la démocratie. Une fois éveillé politiquement, on ne peut plus faire marche arrière.
57mn : La police a pris de mauvais plis, syndicaux mais aussi psychique, collectivement. L'institution a lâché les brides de la violence et certains y ont pris goût.
La garde nationale serait une alternative à cet Etat dans l'Etat (les policiers coupés du peuple).
1h07mn : Le néolibéralisme a contribué à la division internationale du travail provoquant des dépendances et des effets de cliquets (impossibilité de revenir en arrière ... sauf à accepter une baisse de la consommation).
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