L'analyse géopolitique de Michel Collon (journaliste et essayiste belge et fondateur du collectif d'information Investig'Action : https://www.investigaction.net/).
Une vue d'ensemble de la situation géopolitique, où l'on s'aperçoit que
nous sommes victimes de l'hégémonie des USA et de leurs sbires
oligarques français. Refusons tout contact avec nos médias dirigés par
les forces du mal.
Source : https://youtu.be/up2pfsxkXmU
samedi 31 mars 2018
Retenue à la source : attention danger !
Malgré la campagne de propagande du gouvernement, la retenue à la
source est une véritable usine à gaz. Elle ne fera que compliquer le
prélèvement de l'impôt sur le revenu pour les particuliers, conduira à
de multiples rectifications et sera source de nombreuses erreurs. Qui
plus est, elle entrainera inévitablement des pertes de recette pour
l'État liées aux difficultés financières des entreprises, sans même
parler de la fraude. En 3 minutes, découvrez pourquoi la retenue à la
source est à rejeter absolument.
Source : https://youtu.be/GactxQaA3E0
Source : https://youtu.be/GactxQaA3E0
vendredi 30 mars 2018
Le scandale de la privatisation de la SNCF - Vincent Lapierre
Après La Poste, EDF/GDF, Air France, les autoroutes, l'eau, France
Télécom, etc. le gouvernement s'attaque au rail. "La réforme pour un
nouveau pacte ferroviaire" voulue par Macron sur ordre de l'Union
Européenne est une nouvelle trahison envers le peuple de France, qui
voit ses services publics vendus au privé, secteur après secteur. Quand
les Français réagiront-ils collectivement, par-delà les clivages
partisans attisés par le pouvoir ? C'est la question que pose Vincent
Lapierre dans cette vidéo.
Source : https://www.youtube.com/watch?v=A9iY71X18m8
Source : https://www.youtube.com/watch?v=A9iY71X18m8
Libellés :
économie,
fonction publique,
politique,
politique internationale,
privatisation
Prélèvement à la source
Le prélèvement à la
source entrera en vigueur au 1er janvier 2019.
Que vous soyez salarié,
retraité, indépendant ou titulaire de revenus fonciers, à compter de cette date
vous paierez votre impôt au moment où vous percevrez vos revenus et non plus
l'année suivante.
Union Européenne et Nouvel Ordre Mondial: Le goulag en marche…
Cela fait longtemps que nous le disons: le but est de faire
réprimer les peuples qui se soulèveront immanquablement par des armées
étrangères, ainsi Yankees et Turcs (ou autres) réprimeront le peuple
français tandis que l’armée française ira réprimer les Italiens et les
Britanniques les Allemands, puis cela ne sera plus suffisant, alors
interviendront les mercenaires de Blackwater and co et les milices
privées où auront été recyclés tous les « djihadistes » formés par la
CIA et les forces spéciales des armées de l’OTAN et d’Israël. Moins y aura
de boulot décent, plus ça recrutera dans les armées et la « sécurité »
qu’on renforce à grands coups d’opérations faux-drapeau sous contrôle
des services barbouzes. Le règne par la peur, la schlague et l’illusion
de « faire partie des dominants ». Toujours la terrible question posée
par l’État et tout totalitarisme: « alors… victime ou bourreau ?.. »
Rien ne va plus…
~ Résistance 71 ~
La Commission Européenne propose d’ouvrir l’Union aux armées de l’OTAN
Réseau Voltaire
28 mars 2018
url de l’article original:
http://www.voltairenet.org/article200382.html
La Commission européenne a présenté, le 28 mars 2018, un plan pour un « Schengen militaire » [1]
Contrairement à ce que laisse entendre la référence aux accords de libre-circulation de Schengen, le « Schengen militaire » n’est pas un projet européen, mais une volonté de l’Otan. Il vise non pas à autoriser les armées des États-membres de l’Union à circuler sans formalités sur le territoire de l’Union, mais à accorder ce privilège à toutes les armées de l’Otan (y compris les armées US ou turques). D’où l’importance accordée prioritairement aux ports et aéroports sur les voies routières.
Ce projet ne doit pas être interprété en fonction de l’actualité (« affaire Skripal »). Il a été conçu par l’Otan il y a deux ans et était déjà évoqué dans un rapport parlementaire européen d’octobre 2016. Selon des documents internes de l’Alliance, il pourrait aussi bien être mis en œuvre en cas de guerre contre la Russie, qu’en cas de soulèvement populaire dans un des États membres de l’Otan (À quand l’armée US pour réprimer des émeutes dans les banlieues des grandes villes ?).
25 des 28 États-membres sont priés d’établir une carte de leurs voies de communication et de préciser les travaux nécessaires sur leurs routes, tunnels et ponts, pour les rendre praticables aux armées de l’Otan. Ils devront aussi s’entendre sur les dispenses nécessaires aux lois et règlements en vigueur interdisant le transport d’armes et matériels militaires sur leur territoire.
[1] Joint Communication to the European Parlament and the Council on the Action Plan on Military Mobility, JOIN(2018) 5 final, March 28, 2018.
Source : https://resistance71.wordpress.com/2018/03/29/union-europeenne-et-nouvel-ordre-mondial-le-goulag-en-marche/
~ Résistance 71 ~
La Commission Européenne propose d’ouvrir l’Union aux armées de l’OTAN
Réseau Voltaire
28 mars 2018
url de l’article original:
http://www.voltairenet.org/article200382.html
La Commission européenne a présenté, le 28 mars 2018, un plan pour un « Schengen militaire » [1]
Contrairement à ce que laisse entendre la référence aux accords de libre-circulation de Schengen, le « Schengen militaire » n’est pas un projet européen, mais une volonté de l’Otan. Il vise non pas à autoriser les armées des États-membres de l’Union à circuler sans formalités sur le territoire de l’Union, mais à accorder ce privilège à toutes les armées de l’Otan (y compris les armées US ou turques). D’où l’importance accordée prioritairement aux ports et aéroports sur les voies routières.
Ce projet ne doit pas être interprété en fonction de l’actualité (« affaire Skripal »). Il a été conçu par l’Otan il y a deux ans et était déjà évoqué dans un rapport parlementaire européen d’octobre 2016. Selon des documents internes de l’Alliance, il pourrait aussi bien être mis en œuvre en cas de guerre contre la Russie, qu’en cas de soulèvement populaire dans un des États membres de l’Otan (À quand l’armée US pour réprimer des émeutes dans les banlieues des grandes villes ?).
25 des 28 États-membres sont priés d’établir une carte de leurs voies de communication et de préciser les travaux nécessaires sur leurs routes, tunnels et ponts, pour les rendre praticables aux armées de l’Otan. Ils devront aussi s’entendre sur les dispenses nécessaires aux lois et règlements en vigueur interdisant le transport d’armes et matériels militaires sur leur territoire.
[1] Joint Communication to the European Parlament and the Council on the Action Plan on Military Mobility, JOIN(2018) 5 final, March 28, 2018.
Source : https://resistance71.wordpress.com/2018/03/29/union-europeenne-et-nouvel-ordre-mondial-le-goulag-en-marche/
mardi 27 mars 2018
Association Kokopelli
Semeur de Vie depuis 1999 !
Semences potagères et aromatiques Bios, libres de droit et reproductibles (non-hybrides F1 et non-OGM)
Source : https://kokopelli-semences.fr/Entraide vers l'autosuffisance alimentaire (libérés des lobbies agro-industriels)
P.E : Envoyons
chier ces connards et cultivons notre jardin : au moins, c'est un
travail qui rapporte quelque chose ! Une nourriture saine pour
nous-mêmes, et du lien social en échangeant nos surplus avec le
voisinage...
J.S. : A condition que toutes les graines commercialisées ne soient pas rendues stériles (après une récolte unique) par manipulation génétique. En Inde, de telles modifications exécutées par la société Monsanto, on provoqué 250.000 (deux cent cinquante mille !) suicides chez les paysans qui s'étaient endettés pour acheter les graines miraculeuses.
P.E. : Cela va sans dire... mais encore mieux en le disant!
B.S. : Alimentez vous en vieille semence reproductible chez Kokopelli ... (il y en a plus de 2000) j'ai semé cette année des graines produites moi-même avec des tomates de l'an dernier ... et le résultat est tout de même de 96 % de taux de germinations ! Que demander de plus .. 200 pieds de tomates de 11 variétés différentes ... Je pratique l'intégration heureuse !
J.S. : A condition que toutes les graines commercialisées ne soient pas rendues stériles (après une récolte unique) par manipulation génétique. En Inde, de telles modifications exécutées par la société Monsanto, on provoqué 250.000 (deux cent cinquante mille !) suicides chez les paysans qui s'étaient endettés pour acheter les graines miraculeuses.
P.E. : Cela va sans dire... mais encore mieux en le disant!
B.S. : Alimentez vous en vieille semence reproductible chez Kokopelli ... (il y en a plus de 2000) j'ai semé cette année des graines produites moi-même avec des tomates de l'an dernier ... et le résultat est tout de même de 96 % de taux de germinations ! Que demander de plus .. 200 pieds de tomates de 11 variétés différentes ... Je pratique l'intégration heureuse !
A Lire et diffuser: MANIFESTE DE LA SOCIETE DES SOCIETES (livre pdf gratuit)
Notre « testament » politique en quelque sorte qui donnera, nous
l’espérons, une vision synthétique ne pouvant plus mener qu’à l’action:
celle du changement d’attitude envers toute institution existante dans
un souci de reprendre collectivement le contrôle de la société humaine
dans l’intérêt collectif égalitaire de tous.
Nous traduirons ce manifeste en anglais dans un futur le plus proche possible et nous cherchons des volontaires multilingues afin de le traduire à terme en espagnol, en allemand, en russe, en italien. Merci de nous contacter sur manifeste2017@yandex.com
Mise à jour de Mars 2018:
Sur les statistiques de la dernière année, notre « Manifeste pour la société des sociétés » vient de passer #1 des téléchargements, passant en début de mois devant celui qui fut le PDF le plus téléchargé avant lui: « Un monde sans cancer, l’histoire de la vitamine B17 ». Pas mal pour un document qui n’est en ligne que depuis le 15 octobre 2017.
Merci à tous ceux qui l’ont lu et le diffusent sans modération…
Avant-propos du Manifeste de la société des sociétés
Inégalité galopante, division exacerbée, exploitation sans fin des ressources humaines et naturelles, destruction environnementale exponentielle, oppression, répression, guerres sans fin, terrorisme piloté par les États, pauvreté matérielle, intellectuelle et culturelle, parodies et illusions démocratiques, cirque politique, gouvernance oligarchique, éradication des libertés au profit d’une illusoire sécurité, mensonges et falsifications en tout genre, contrôle et censure de l’information, assujettissement à la marchandise, à l’argent roi et autres turpitudes économico-sécuritaires, sont non seulement les fondations de notre société moderne, mais aussi sont devenus la norme et le standard si peu critiqué d’une organisation humaine qui, depuis quelques décennies ne fait plus que tourner de plus en plus rapidement autour du siphon du tout-à-l’égoût du grand oubli.
Comment en sommes-nous arrivés là ? Était-ce… Est-ce inéluctable ? Est-ce le résultat d’une évolution ? Où va la société humaine ? D’où vient-elle ? Y a-t-il une solution ?…
Pour tenter de répondre à ces questions et quelques autres inhérentes, nous vous proposons un bref historique de la société humaine de son aube à aujourd’hui, analysé d’un point de vue socio-politique. Notre analyse, fruit de plusieurs années d’étude et de réflexion individuelles et collectives au moyen d’une littérature abondante alimentant une pensée critique, ne s’embarrassera ni de citations ni de références dans le texte. Nous publions en toute fin, une bibliographie essentielle mais non-exhaustive de ce qui nous a aidé à formuler le présent manifeste, que nous avons désiré être le plus succinct et direct possible afin qu’il n’en soit que plus éclairant.
Ce cheminement nous amènera à communément définir le terme de “société”, de comprendre les différentes phases de son existence au cours de l’histoire pour entrevoir le chemin d’une transformation radicale de celle-ci ayant pour but ultime l’émancipation de la société des contraintes induites à dessein pour maintenir la division, outil essentiel de maintien du consensus du statu quo oligarchique en vigueur depuis déjà bien trop longtemps. Nous verrons aussi comment la société à venir, société des sociétés, n’a pas à être inventée, mais être recomposée des expériences passées et adaptée à notre monde dont la technologie doit servir à en faciliter le fonctionnement et non pas l’entraver comme c’est actuellement le cas dans le modèle politico-social sclérosé nous écrasant.
Nous traduirons ce manifeste en anglais dans un futur le plus proche possible et nous cherchons des volontaires multilingues afin de le traduire à terme en espagnol, en allemand, en russe, en italien. Merci de nous contacter sur manifeste2017@yandex.com
Mise à jour de Mars 2018:
Sur les statistiques de la dernière année, notre « Manifeste pour la société des sociétés » vient de passer #1 des téléchargements, passant en début de mois devant celui qui fut le PDF le plus téléchargé avant lui: « Un monde sans cancer, l’histoire de la vitamine B17 ». Pas mal pour un document qui n’est en ligne que depuis le 15 octobre 2017.
Merci à tous ceux qui l’ont lu et le diffusent sans modération…
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Avant-propos du Manifeste de la société des sociétés
Inégalité galopante, division exacerbée, exploitation sans fin des ressources humaines et naturelles, destruction environnementale exponentielle, oppression, répression, guerres sans fin, terrorisme piloté par les États, pauvreté matérielle, intellectuelle et culturelle, parodies et illusions démocratiques, cirque politique, gouvernance oligarchique, éradication des libertés au profit d’une illusoire sécurité, mensonges et falsifications en tout genre, contrôle et censure de l’information, assujettissement à la marchandise, à l’argent roi et autres turpitudes économico-sécuritaires, sont non seulement les fondations de notre société moderne, mais aussi sont devenus la norme et le standard si peu critiqué d’une organisation humaine qui, depuis quelques décennies ne fait plus que tourner de plus en plus rapidement autour du siphon du tout-à-l’égoût du grand oubli.
Comment en sommes-nous arrivés là ? Était-ce… Est-ce inéluctable ? Est-ce le résultat d’une évolution ? Où va la société humaine ? D’où vient-elle ? Y a-t-il une solution ?…
Pour tenter de répondre à ces questions et quelques autres inhérentes, nous vous proposons un bref historique de la société humaine de son aube à aujourd’hui, analysé d’un point de vue socio-politique. Notre analyse, fruit de plusieurs années d’étude et de réflexion individuelles et collectives au moyen d’une littérature abondante alimentant une pensée critique, ne s’embarrassera ni de citations ni de références dans le texte. Nous publions en toute fin, une bibliographie essentielle mais non-exhaustive de ce qui nous a aidé à formuler le présent manifeste, que nous avons désiré être le plus succinct et direct possible afin qu’il n’en soit que plus éclairant.
Ce cheminement nous amènera à communément définir le terme de “société”, de comprendre les différentes phases de son existence au cours de l’histoire pour entrevoir le chemin d’une transformation radicale de celle-ci ayant pour but ultime l’émancipation de la société des contraintes induites à dessein pour maintenir la division, outil essentiel de maintien du consensus du statu quo oligarchique en vigueur depuis déjà bien trop longtemps. Nous verrons aussi comment la société à venir, société des sociétés, n’a pas à être inventée, mais être recomposée des expériences passées et adaptée à notre monde dont la technologie doit servir à en faciliter le fonctionnement et non pas l’entraver comme c’est actuellement le cas dans le modèle politico-social sclérosé nous écrasant.
Le document de 66 pages à télécharger gratuitement (format pdf)
Deux ouvrages à lire et diffuser sans modération: « L’entraide, facteur de l’évolution » (Kropotkine) et « Dieu et l’État » (Bakounine)
Résistance 71
26 mars 2018
Nous vous présentons ici deux textes fondamentaux de la pensée anarchiste, mis en pdf par Jo de JBL1960 de manière sobre et très aérée facilitant grandement la lecture, avec par ordre chronologique :
- « Dieu et l’État » de Michel Bakounine, texte phare de l’anarchie, compilé post mortem et publié en 1882, soit 6 ans après la mort de l’auteur
- et l’édition française de 1906 de « L’entraide, facteur de l’évolution » de Pierre Kropotkine.
Ce livre a été écrit d’abord sous formes d’articles publiés pour réfuter les aberrations des premières thèses sociales-darwinistes émises par l’eugéniste Thomas Huxley. Tous les articles furent ensuite compilé en un livre en Angleterre en 1902.
Ces deux ouvrages ont bien entendu participé, entre autres, à la genèse de notre « Manifeste pour la société des sociétés », publié en Octobre 2017.
26 mars 2018
Nous vous présentons ici deux textes fondamentaux de la pensée anarchiste, mis en pdf par Jo de JBL1960 de manière sobre et très aérée facilitant grandement la lecture, avec par ordre chronologique :
- « Dieu et l’État » de Michel Bakounine, texte phare de l’anarchie, compilé post mortem et publié en 1882, soit 6 ans après la mort de l’auteur
- et l’édition française de 1906 de « L’entraide, facteur de l’évolution » de Pierre Kropotkine.
Ce livre a été écrit d’abord sous formes d’articles publiés pour réfuter les aberrations des premières thèses sociales-darwinistes émises par l’eugéniste Thomas Huxley. Tous les articles furent ensuite compilé en un livre en Angleterre en 1902.
Ces deux ouvrages ont bien entendu participé, entre autres, à la genèse de notre « Manifeste pour la société des sociétés », publié en Octobre 2017.
Bonne lecture !…
Source : https://resistance71.wordpress.com/
samedi 24 mars 2018
Démantèlement des services publics
Source : https://youtu.be/Veyp65UBjUo
Suite à la participation de l'UPR à la manifestation du 22 mars 2018 contre le démantèlement des services publics français. Eric Brunet a tenu à recueillir l'avis de François Asselineau lors de son émission sur RMC.
Source : https://youtu.be/KcG7aj2peZo
L'UPR a besoin de vous !
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Sapiens : Une brève histoire de l'humanité
Sapiens : Une brève histoire de l’humanité est un livre de Yuval Noah Harari publié pour la première fois en hébreu en 2011, puis en anglais en 2014 et en français aux éditions Albin Michel en 2015.
Harari cite Jared Diamond, auteur de De l'inégalité parmi les sociétés, comme l’une de ses principales sources d’inspiration pour l’écriture de son livre. Diamond avait en effet montré qu’il était possible de « poser de vraies grandes questions et d’y répondre scientifiquement ».
Le principal argument avancé par l’auteur au cours de cette vaste étude est que l’Homo sapiens doit son statut d’espèce dominante au fait qu’il est le seul animal capable de coopérer efficacement avec un grand nombre de ses semblables. Harari explique cette capacité qui distingue l’Homo sapiens des autres animaux par sa faculté de croire en des choses qui n’existent que dans son imagination, telles que les dieux, les nations, l’argent et les droits de l’homme. L'une des thèses défendues par l’auteur est donc que tous les systèmes de coopération humaine à grande échelle — les religions, les structures politiques, les réseaux de travail et les institutions légales — sont en définitive des fictions.
Parmi les autres sujets au cœur de Sapiens, figurent la monnaie, présentée comme un système de confiance mutuelle ; le capitalisme, présenté comme une religion plutôt que comme une théorie économique ; l’empire, décrit comme le régime politique qui a rencontré le plus de succès au cours des deux mille dernières années ; le traitement réservé aux animaux par l'agriculture moderne (ou agriculture intensive), décrit comme l’un des plus grands crimes de l’histoire ; le progrès, qui n’a pas forcément rendu les hommes plus heureux que par le passé ; les humains, en passe d’évoluer pour devenir des dieux.
Harari revient sur son projet d'écriture et les idées développées dans Sapiens dans un site qu'il consacre à son livre.
Les mythes se sont développés, sous forme de réalités imaginaires, supplantant les réalités objectives. Depuis cette révolution cognitive, ces entités imaginaires (Dieu, les nations, les sociétés) régissent le comportement de Homo sapiens, et ont éliminé les réalités objectives (la nature et les espèces animales).
Le dernier chapitre effectue aussi la démonstration que le progrès de l'humanité n'a pas eu d'impact sur le bonheur individuel. Rien ne permet de penser que les êtres humains de l'époque moderne sont plus heureux que les chasseurs-cueilleurs de l'époque pré-cognitive.
Le livre évoque ensuite l'avenir de l'humanité. Un avenir, où Homo sapiens va évoluer, non pas par sélection naturelle, mais à la suite d'un dessein intelligent, orchestré par la recherche scientifique. Trois pistes d'évolution de Homo sapiens sont présentées :
Harari cite Jared Diamond, auteur de De l'inégalité parmi les sociétés, comme l’une de ses principales sources d’inspiration pour l’écriture de son livre. Diamond avait en effet montré qu’il était possible de « poser de vraies grandes questions et d’y répondre scientifiquement ».
Contenu
Le livre propose une vue d’ensemble de l’histoire de l’humanité et de son évolution depuis les premiers hommes de l’âge de pierre jusqu’au XXIe siècle.Le principal argument avancé par l’auteur au cours de cette vaste étude est que l’Homo sapiens doit son statut d’espèce dominante au fait qu’il est le seul animal capable de coopérer efficacement avec un grand nombre de ses semblables. Harari explique cette capacité qui distingue l’Homo sapiens des autres animaux par sa faculté de croire en des choses qui n’existent que dans son imagination, telles que les dieux, les nations, l’argent et les droits de l’homme. L'une des thèses défendues par l’auteur est donc que tous les systèmes de coopération humaine à grande échelle — les religions, les structures politiques, les réseaux de travail et les institutions légales — sont en définitive des fictions.
Parmi les autres sujets au cœur de Sapiens, figurent la monnaie, présentée comme un système de confiance mutuelle ; le capitalisme, présenté comme une religion plutôt que comme une théorie économique ; l’empire, décrit comme le régime politique qui a rencontré le plus de succès au cours des deux mille dernières années ; le traitement réservé aux animaux par l'agriculture moderne (ou agriculture intensive), décrit comme l’un des plus grands crimes de l’histoire ; le progrès, qui n’a pas forcément rendu les hommes plus heureux que par le passé ; les humains, en passe d’évoluer pour devenir des dieux.
Harari revient sur son projet d'écriture et les idées développées dans Sapiens dans un site qu'il consacre à son livre.
Détail des chapitres
Première partie - La Révolution cognitive
Plusieurs espèces humaines ont existé simultanément par le passé. Homo sapiens a supplanté Homo neanderthalensis, il y a 30 000 ans, car seul Homo sapiens pouvait vivre en bandes de plus de cinquante individus. La coopération de groupe a été rendue possible par l'apparition de la fiction. Les religions et les mythes communs assurent une stabilité du groupe. Homo neanderthalensis, qui ne vivait qu'en petits groupes familiaux, n'a pas pu survivre à la pression de Homo sapiens et a disparu. On ne sait pas si Homo neanderthalensis a été victime d'un génocide.Les mythes se sont développés, sous forme de réalités imaginaires, supplantant les réalités objectives. Depuis cette révolution cognitive, ces entités imaginaires (Dieu, les nations, les sociétés) régissent le comportement de Homo sapiens, et ont éliminé les réalités objectives (la nature et les espèces animales).
Deuxième partie - La Révolution agricole
Il y a 10 000 ans, Homo sapiens découvre l'agriculture. Cette transition agricole ou révolution agricole permet une croissance sans précédent de l'espèce humaine. La population humaine passe de 5 millions à plus de 200 millions. Cette transition n'est cependant pas forcément une amélioration de la vie au niveau individuel des Homo sapiens, cette révolution agricole avec son essor démographique, apporte aussi la famine en période d'aléas climatiques et l'asservissement.Troisième partie - L'Unification de l'humanité
Au XVIe siècle, avec la conquête de l'Amérique, l'humanité est réunie dans la même sphère culturelle. L'élément unificateur de l'humanité, sur les cinq continents, est la monnaie.Quatrième partie - La Révolution scientifique
La révolution scientifique, qui a commencé au XVIe siècle, est une révolution de l'ignorance. C'est l'aveu de l'ignorance qui a rendu les explorateurs européens du XVIe siècle et les scientifiques du XIXe siècle avides de nouvelles découvertes.Le dernier chapitre effectue aussi la démonstration que le progrès de l'humanité n'a pas eu d'impact sur le bonheur individuel. Rien ne permet de penser que les êtres humains de l'époque moderne sont plus heureux que les chasseurs-cueilleurs de l'époque pré-cognitive.
Le livre évoque ensuite l'avenir de l'humanité. Un avenir, où Homo sapiens va évoluer, non pas par sélection naturelle, mais à la suite d'un dessein intelligent, orchestré par la recherche scientifique. Trois pistes d'évolution de Homo sapiens sont présentées :
- le génie biologique, peut créer, par la génétique, de nouveaux individus pour les adapter à de nouvelles conditions sociales. Ces nouveaux hommes ne seront plus forcément des Homo sapiens ;
- le génie cyborg, où les êtres humains sont complétés par des appareils bioniques ;
- la vie inorganique : les programmes informatiques peuvent devenir des formes intelligentes, avec conscience et mémoire, ayant le potentiel pour supplanter Homo sapiens.
Libellés :
économie,
génétique,
histoire,
informatique,
livre,
monnaie,
préhistoire,
religion,
science,
technologie
Quel est l'origine du mot Economie ?
Étymologie : "Le mot économie vient du grec ancien oïkonomia, gestion de la maison, constitué de oikos, maison, et nomos, gérer, administrer; et désignait à l'origine l'art de gérer sa maisonnée."
Étendue à la société, cette définition relèverait de la politique, des choix complètement subjectifs.
Définition contemporaine : "L'économie est le faisceau de règles, de coutumes et d'instruments (de la monnaie à la «titrisation» en passant par la lettre de change) qui assurent la survie/prospérité des sociétés."
La fin de la définition montre qu'elle a été rédigée par des personnes qui considèrent que le commerce capitaliste est la clé de voûte des sociétés. Un avis particulièrement subjectif ! Pendant des millénaires, nul besoin de monnaie dans une société pour exister et prospérer. Nul besoin non plus de titres, qui sont une création extrêmement moderne.
Étendue à la société, cette définition relèverait de la politique, des choix complètement subjectifs.
Définition contemporaine : "L'économie est le faisceau de règles, de coutumes et d'instruments (de la monnaie à la «titrisation» en passant par la lettre de change) qui assurent la survie/prospérité des sociétés."
La fin de la définition montre qu'elle a été rédigée par des personnes qui considèrent que le commerce capitaliste est la clé de voûte des sociétés. Un avis particulièrement subjectif ! Pendant des millénaires, nul besoin de monnaie dans une société pour exister et prospérer. Nul besoin non plus de titres, qui sont une création extrêmement moderne.
TRAVAIL GRATUIT, par Juan Manuel de Prada
Encore un texte important sur Le Saker francophone (je vous recommande la lecture quotidienne de ce site passionnant) :
Les bateliers de la Volga » Ilya Repin
Chesterton se trompait (par excès d’optimisme) quand il nous avertissait que « toute réforme du capitalisme signifiera simplement que les capitalistes ont trouvé des moyens pour réduire les salaires » ; parce que le capitalisme a désormais trouvé le moyen de les supprimer.
Il est en effet affligeant de constater la violation systématique de la dignité du travail que nous vivons ces dernières années, sous couvert de « flexibilité ». Une flexibilité qui, en langage clair, signifie que le travail doit être subordonné à la recherche du profit : ainsi ont été imposées des législations du travail qui fragilisent progressivement la condition des travailleurs, qui piétinent tous les principes de la justice sociale et attentent à la dignité même de la personne. Chesterton a écrit que dans une première phase de son évolution, le capitalisme nous avait volé la propriété des biens de production, pour faire de nous des travailleurs salariés. Puis que, dans une deuxième phase, il subordonnerait nos salaires à son expansion. Ainsi disparaît le principe fondamental de la justice sociale, qui stipule que « le travail est toujours la cause efficiente première du processus de production, alors que le capital n’en est que l’instrument ou la cause instrumentale » (Laborem exercens, 12).
Mais dans cette phase boulimique et terminale du capitalisme, on en arrive à prétendre que les individus travaillent gratuitement, voire paient pour travailler. Et pour qu’une telle aberration soit concevable, on joue de la façon la plus vile et manipulatrice qui soit avec les espoirs des plus jeunes et les angoisses des plus anciens. Ainsi, le capitalisme atteint un abîme de dégradation que n’avait même pas osé envisager l’esclavage : le patricien romain, au moins, avait l’obligation d’assurer la nourriture et le logement à ses esclaves.
On pourrait comprendre que les contrats de formation ou d’apprentissage ne soient pas rémunérés s’il existait une législation du travail qui assurât un travail fixe et rémunéré au candidat méritant une fois son apprentissage terminé. Mais avec la législation en vigueur, ces propositions de la CEOE nous paraissent particulièrement cruelles, parce qu’elles profitent traîtreusement de la nécessité que l’homme a de travailler non seulement pour subvenir à ses besoins matériels (parfois si pressants) mais aussi pour répondre à un noble désir de perfectionnement personnel.
Mais ceux qui cherchent à tirer profit de l’obligation ainsi faite à des jeunes pleins d’espoir (ensuite déçu) et à des vieux ravagés par son absence (finalement justifiée) de travailler gratuitement, se trompent. Car le travail indigne ne génère chez le travailleur que le rejet de l’entreprise qui l’embauche. Et toute entreprise employant des travailleurs qui ne s’identifient pas à elle est un jour ou l’autre vouée à l’échec. Tant il est vrai que l’homme a besoin de se sentir concerné par son travail. Sinon, celui-ci devient vite insupportable. Un ordre économique qui dénature le travail nie la nature humaine et, par voie de conséquence, est condamné à périr. Ce genre de propositions nous montre que les dieux rendent aveugles (par le goût du profit) ceux qu’ils veulent perdre.
Juan Manuel de Prada
Traduit par Hugues pour le Saker Francophone
Sources :
http://lesakerfrancophone.fr/travail-gratuit
et
http://chouard.org/blog/2018/03/24/travail-gratuit-par-juan-manuel-de-prada/
TRAVAIL GRATUIT
Dans un contexte de paupérisation croissante des conditions de travail, la Confédération espagnole des entreprises (CEOE) a eu le culot de proposer que les contrats de formation et d’apprentissage ne soient plus rémunérés (autrement dit, que les stagiaires travaillent gratuitement), qu’ils puissent concerner du travail posté ou de nuit (autrement dit, que les stagiaires travaillent gratuitement avec des horaires difficiles ou changeants) et que puissent également en bénéficier les plus de 45 ans ne percevant plus les allocations de chômage (autrement dit, que des stagiaires à vie puissent être aussi chômeurs de longue durée).Les bateliers de la Volga » Ilya Repin
Chesterton se trompait (par excès d’optimisme) quand il nous avertissait que « toute réforme du capitalisme signifiera simplement que les capitalistes ont trouvé des moyens pour réduire les salaires » ; parce que le capitalisme a désormais trouvé le moyen de les supprimer.
Il est en effet affligeant de constater la violation systématique de la dignité du travail que nous vivons ces dernières années, sous couvert de « flexibilité ». Une flexibilité qui, en langage clair, signifie que le travail doit être subordonné à la recherche du profit : ainsi ont été imposées des législations du travail qui fragilisent progressivement la condition des travailleurs, qui piétinent tous les principes de la justice sociale et attentent à la dignité même de la personne. Chesterton a écrit que dans une première phase de son évolution, le capitalisme nous avait volé la propriété des biens de production, pour faire de nous des travailleurs salariés. Puis que, dans une deuxième phase, il subordonnerait nos salaires à son expansion. Ainsi disparaît le principe fondamental de la justice sociale, qui stipule que « le travail est toujours la cause efficiente première du processus de production, alors que le capital n’en est que l’instrument ou la cause instrumentale » (Laborem exercens, 12).
Mais dans cette phase boulimique et terminale du capitalisme, on en arrive à prétendre que les individus travaillent gratuitement, voire paient pour travailler. Et pour qu’une telle aberration soit concevable, on joue de la façon la plus vile et manipulatrice qui soit avec les espoirs des plus jeunes et les angoisses des plus anciens. Ainsi, le capitalisme atteint un abîme de dégradation que n’avait même pas osé envisager l’esclavage : le patricien romain, au moins, avait l’obligation d’assurer la nourriture et le logement à ses esclaves.
On pourrait comprendre que les contrats de formation ou d’apprentissage ne soient pas rémunérés s’il existait une législation du travail qui assurât un travail fixe et rémunéré au candidat méritant une fois son apprentissage terminé. Mais avec la législation en vigueur, ces propositions de la CEOE nous paraissent particulièrement cruelles, parce qu’elles profitent traîtreusement de la nécessité que l’homme a de travailler non seulement pour subvenir à ses besoins matériels (parfois si pressants) mais aussi pour répondre à un noble désir de perfectionnement personnel.
Mais ceux qui cherchent à tirer profit de l’obligation ainsi faite à des jeunes pleins d’espoir (ensuite déçu) et à des vieux ravagés par son absence (finalement justifiée) de travailler gratuitement, se trompent. Car le travail indigne ne génère chez le travailleur que le rejet de l’entreprise qui l’embauche. Et toute entreprise employant des travailleurs qui ne s’identifient pas à elle est un jour ou l’autre vouée à l’échec. Tant il est vrai que l’homme a besoin de se sentir concerné par son travail. Sinon, celui-ci devient vite insupportable. Un ordre économique qui dénature le travail nie la nature humaine et, par voie de conséquence, est condamné à périr. Ce genre de propositions nous montre que les dieux rendent aveugles (par le goût du profit) ceux qu’ils veulent perdre.
Juan Manuel de Prada
Traduit par Hugues pour le Saker Francophone
Sources :
http://lesakerfrancophone.fr/travail-gratuit
et
http://chouard.org/blog/2018/03/24/travail-gratuit-par-juan-manuel-de-prada/
Jose Mujica
José Alberto Mujica Cordano, surnommé « Pepe Mujica », est un homme d'État uruguayen, né à Montevideo le . Il est le 40e président de la République du au .
Guérillero des Tupamaros dans les années 1960-1970, il a été détenu en tant qu'otage par la dictature (1973-1985) et torturé, puis participa après le rétablissement de la démocratie à la création du Mouvement de participation populaire (MPP) avec le Mouvement de libération nationale Tupamaros (MLN-T).
Élu sénateur puis nommé ministre de l'Agriculture du gouvernement Vázquez, en 2005, il l'emporta aux primaires de juin 2009, au sein de la coalition de gauche du Front large (Frente Amplio). Il est élu au second tour de l'élection présidentielle contre le candidat du Parti national, Luis Alberto Lacalle, avec 52,9 % des voix contre 42,9 %, et prend ses fonctions le .
Il est connu pour son refus des avantages octroyés par sa fonction de Président de la République et pour les réformes sociétales réalisées durant son mandat. Ex-guérillero d’extrême gauche, il conduit par pragmatisme une politique de nature sociale-démocrate pour « répondre aux attentes terre à terre », mais dénonce la logique de consommation engendrée par le système capitaliste dont il souligne le coût humain et environnemental.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Mujica
Voir aussi : http://justemonopinion-jeronimo.blogspot.com/2015/04/les-adieux-de-jose-mujica-le-president.html
et http://kimcampion.com/human-rights-history/jose-mujica-a-hero/
Source : https://www.youtube.com/watch?v=myzYPjLiieI
Ashraf Ezzat et la falsification de la traduction de la bible (PDF)
“Après 70 ans d’excavations et de fouilles extensives sur la
terre d’Israël, les archéologues ont trouvé que les actions du
patriarque sont des histoires de légende ; nous n’avons pas séjourné en
Egypte, ni fait un exode, nous n’avons pas conquis la terre. Il n’y a
pas non plus de mention de l’empire de David et de Salomon. Ceux qui s’y
intéressent savent tout cela depuis des années, mais Israël est un
peuple têtu et ne veut pas en entendre parler.”
~ Professeur Ze’ev Herzog, chef du département d’archéologie et d’études de l’ancien Proche-Orient à l’université de Tel-Aviv, dans un entretien avec le magazine Ha’aretz le 29 octobre 1999
Merci à JBL1960 pour ce document compilé en version PDF de nos traductions des recherches du Dr. Ashraf Ezzat (Egyptien) concernant la falsification de la traduction de la bible de l’ancien hébreu au grec au second siècle avant notre ère par les 70 rabbins mandatés par le roi Ptolémée II d’Egypte, dans la grande et célèbre bibliothèque d’Alexandrie ; bible grecque qui fut la « mère » de quasiment toutes les autres traductions de la bible depuis, et nommée « bible septante ».
Dans quelques autres textes, Ezzat nous fait découvrir les liens profonds entre le judaïsme et les formes religieuses ancestrales tribales de la péninsule arabe ainsi que l’escroquerie de la « judéïté » de la vieille ville de Jérusalem, escroquerie reconnue par la récente résolution de l’UNESCO la concernant.
Les textes du Dr Ashraf Ezzat en version PDF, traduction Résistance 71, mise en page JBL1960:
~ Professeur Ze’ev Herzog, chef du département d’archéologie et d’études de l’ancien Proche-Orient à l’université de Tel-Aviv, dans un entretien avec le magazine Ha’aretz le 29 octobre 1999
=*=
Merci à JBL1960 pour ce document compilé en version PDF de nos traductions des recherches du Dr. Ashraf Ezzat (Egyptien) concernant la falsification de la traduction de la bible de l’ancien hébreu au grec au second siècle avant notre ère par les 70 rabbins mandatés par le roi Ptolémée II d’Egypte, dans la grande et célèbre bibliothèque d’Alexandrie ; bible grecque qui fut la « mère » de quasiment toutes les autres traductions de la bible depuis, et nommée « bible septante ».
Dans quelques autres textes, Ezzat nous fait découvrir les liens profonds entre le judaïsme et les formes religieuses ancestrales tribales de la péninsule arabe ainsi que l’escroquerie de la « judéïté » de la vieille ville de Jérusalem, escroquerie reconnue par la récente résolution de l’UNESCO la concernant.
Les textes du Dr Ashraf Ezzat en version PDF, traduction Résistance 71, mise en page JBL1960:
Le mythe biblique ou « L’Egypte n’a connu ni pharaons ni Israélites » (Dr. Ashraf Ezzat):
Au service de sa gracieuse… Hécatombe d’ex-barbouzes russes à Londres
Question qu’on voudrait pertinente: Pourquoi donc de tous les
endroits possibles hors de la Russie, tous ces oligarques et anciens
espions, agents-double russes viennent-ils à Londres ?… être plus près
de ses maîtres et commanditaires facilitent aussi les opérations de
grand nettoyage. Cela prouve aussi que ceux qui bossent volontairement
ou non pour l’empire, surtout ceux qui le font volontairement contre
fortune et gloire éphémères, sont aussi les premiers sur la liste des
gens à éliminer. Les morts ne parlant pas, même s’il y a moyen de
cracher le morceau après sa mort “suspecte”.
Tout sbire du Nouvel Ordre Mondial doit craindre pour sa vie. Le peuple ne touchera pas ces gens lors de la révolution sociale, il les réhabilitera dans la grande société des sociétés. Sbires de l’empire, ce n’est pas du peuple que vous devez avoir peur, mais de vos patrons, saigneurs et maîtres. Quittez ce Titanic pendant que vous le pouvez encore !… En protégeant vos arrières…
~ Résistance 71 ~
Les décès de Russes (à Londres) sont des opérations faux-drapeau du MI6 britannique
Dean Henderson
15 mars 2018
url de l’article original: https://hendersonlefthook.wordpress.com/2018/03/14/russian-deaths-an-mi6-false-flag/
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Le ministre des affaires étrangères russe Sergeï Lavrov a dit aujourd’hui que la Russie répondrait sur l’affaire du soi-disant empoisonnement de l’ex-agent double de 66 ans Sergeï Skripal et de sa fille de 33 ans Youlia, seulement sur requête officielle du gouvernement britannique.
Skripal et sa fille sont suspectés d’avoir été empoisonnés à Salisbury en Angleterre le 4 mars et demeurent hospitalisés en condition critique.
Sans donner une seule preuve viable impliquant la Russie, la première ministre Theresa May s’est fendus d’une longue tirade accusant la Russie exprimant également l7expulsion de 23 diplomates russes de Grande-Bretagne hier.
L’affaire rappelle immanquablement cela de l’assassinat en novembre 2006 de l’ancien espion russe du FSB puis agent du MI6 britannique Alexandre Litvinenko, dont le père Walter lui-même contesta les résultats de l’enquête disant que la Russie était derrière la mort de son fils.
Litvinenko avait trempé dans des activités du crime organisé impliquant l’oligarque russe en exil Boris Berezovsky, qui fut expulsé de Russie par Vladimir Poutine et se réfugia à Londres (NdT: plus près de toi mon “dieu” de la City…) pour échapper à toute mise en accusation. Berezovsky était le protégé en Angleterre du duc de Kent, cousin de la reine Elizabeth II.
Litvinenko est mort d’empoisonnement au polonium-210, la même cause de la mort du président palestinien Yasser Arafat. Les proches d’Arafat pensent que le Mossad israélien l’a tué. Il est alors tout à fait sensé de penser que le Mossad fut aussi impliqué dans l’empoisonnement de Litvinenko et dans la récente affaire Skripal.
Les agents du Mossad font très souvent le sale boulot pour la CIA et le MI6 britannique. Tous, de toute façon rendent des comptes à la “couronne” et à leurs banquiers de la City de Londres.
Berezovsky a été retrouvé mort avec un foulard autour du cou à Ascot en 2013, apparemment étranglé de la même manière qu’un autre oligarque russe Nikolaï Glouchkov, un ami de Berezovsky, le fut plus tôt dans la semaine à Londres.
Les voisins de Glouchkov disent qu’ils ont vu de nombreuses voitures de luxe devant sa maison peu avant le meurtre, incluant une Ferrari et une Lamborghini. Glouchkov, un ancien directeur de la compagnie aérienne Aéroflot, fut pris dans la tourmente de l’offensive de Poutine contre les oligarques d’Eltsine en 1999. Il fut condamné pour fraude et extorsion de fond de l’entreprise aérienne russe et avait fait 5 ans de prison avant de s’enfuir pour Londres (NdT: décidément, c’est une fixation pathologique… ).
Lorsque la clique de Wall Street utilisa leur marionnette Boris Eltsine pour confisquer les biens de l’état russe à la fin des années 1990, les oligarques russes, dont bon nombre avaient la double nationalité israélienne, étaient leurs associés récents dans le crime.
Considérant le brigandage dont ils faisaient partie, il y a un sérieux paquet de raisons pour lesquelles le MI6 veut la mort des oligarques. D’un autre côté, avec les élections présidentielles russes arrivant et la prévision de la victoire de Poutine dans un raz de marée électoral (NdT: ce qui s’est effectivement produit, Poutine étant réélu au premier tour avec quelques 73% des voix…), aucune personne raisonnable ne peut y voir un quelconque intérêt pour Poutine à récolter de ces incidents, bien au contraire.
Au lieu de cela, les affaires dénuées de preuves que sont les affaires Skripal et Glouchkov, devraient être vues plus justement comme des opérations faux-drapeaux visant à réduire au silence les vieux espions tout en créant toujours plus de propagande contre la véritable némésis de la City de Londres qu’est Vladimir Poutine.
Comme l’a déclaré le ministre des AE russe Sergeï Lavrov: “Hier, les médias russes et occidentaux argumentaient que la Russie n’avaient pas de motif ; mais ceux qui voulaient continuer cette campagne russophobe dans toutes les sphères possibles avaient quant à eux ces motifs…”
Source : https://resistance71.wordpress.com/2018/03/23/au-service-de-sa-gracieuse-hecatombe-dex-barbouzes-russes-a-londres/
Tout sbire du Nouvel Ordre Mondial doit craindre pour sa vie. Le peuple ne touchera pas ces gens lors de la révolution sociale, il les réhabilitera dans la grande société des sociétés. Sbires de l’empire, ce n’est pas du peuple que vous devez avoir peur, mais de vos patrons, saigneurs et maîtres. Quittez ce Titanic pendant que vous le pouvez encore !… En protégeant vos arrières…
~ Résistance 71 ~
Les décès de Russes (à Londres) sont des opérations faux-drapeau du MI6 britannique
Dean Henderson
15 mars 2018
url de l’article original: https://hendersonlefthook.wordpress.com/2018/03/14/russian-deaths-an-mi6-false-flag/
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Le ministre des affaires étrangères russe Sergeï Lavrov a dit aujourd’hui que la Russie répondrait sur l’affaire du soi-disant empoisonnement de l’ex-agent double de 66 ans Sergeï Skripal et de sa fille de 33 ans Youlia, seulement sur requête officielle du gouvernement britannique.
Skripal et sa fille sont suspectés d’avoir été empoisonnés à Salisbury en Angleterre le 4 mars et demeurent hospitalisés en condition critique.
Sans donner une seule preuve viable impliquant la Russie, la première ministre Theresa May s’est fendus d’une longue tirade accusant la Russie exprimant également l7expulsion de 23 diplomates russes de Grande-Bretagne hier.
L’affaire rappelle immanquablement cela de l’assassinat en novembre 2006 de l’ancien espion russe du FSB puis agent du MI6 britannique Alexandre Litvinenko, dont le père Walter lui-même contesta les résultats de l’enquête disant que la Russie était derrière la mort de son fils.
Litvinenko avait trempé dans des activités du crime organisé impliquant l’oligarque russe en exil Boris Berezovsky, qui fut expulsé de Russie par Vladimir Poutine et se réfugia à Londres (NdT: plus près de toi mon “dieu” de la City…) pour échapper à toute mise en accusation. Berezovsky était le protégé en Angleterre du duc de Kent, cousin de la reine Elizabeth II.
Litvinenko est mort d’empoisonnement au polonium-210, la même cause de la mort du président palestinien Yasser Arafat. Les proches d’Arafat pensent que le Mossad israélien l’a tué. Il est alors tout à fait sensé de penser que le Mossad fut aussi impliqué dans l’empoisonnement de Litvinenko et dans la récente affaire Skripal.
Les agents du Mossad font très souvent le sale boulot pour la CIA et le MI6 britannique. Tous, de toute façon rendent des comptes à la “couronne” et à leurs banquiers de la City de Londres.
Berezovsky a été retrouvé mort avec un foulard autour du cou à Ascot en 2013, apparemment étranglé de la même manière qu’un autre oligarque russe Nikolaï Glouchkov, un ami de Berezovsky, le fut plus tôt dans la semaine à Londres.
Les voisins de Glouchkov disent qu’ils ont vu de nombreuses voitures de luxe devant sa maison peu avant le meurtre, incluant une Ferrari et une Lamborghini. Glouchkov, un ancien directeur de la compagnie aérienne Aéroflot, fut pris dans la tourmente de l’offensive de Poutine contre les oligarques d’Eltsine en 1999. Il fut condamné pour fraude et extorsion de fond de l’entreprise aérienne russe et avait fait 5 ans de prison avant de s’enfuir pour Londres (NdT: décidément, c’est une fixation pathologique… ).
Lorsque la clique de Wall Street utilisa leur marionnette Boris Eltsine pour confisquer les biens de l’état russe à la fin des années 1990, les oligarques russes, dont bon nombre avaient la double nationalité israélienne, étaient leurs associés récents dans le crime.
Considérant le brigandage dont ils faisaient partie, il y a un sérieux paquet de raisons pour lesquelles le MI6 veut la mort des oligarques. D’un autre côté, avec les élections présidentielles russes arrivant et la prévision de la victoire de Poutine dans un raz de marée électoral (NdT: ce qui s’est effectivement produit, Poutine étant réélu au premier tour avec quelques 73% des voix…), aucune personne raisonnable ne peut y voir un quelconque intérêt pour Poutine à récolter de ces incidents, bien au contraire.
Au lieu de cela, les affaires dénuées de preuves que sont les affaires Skripal et Glouchkov, devraient être vues plus justement comme des opérations faux-drapeaux visant à réduire au silence les vieux espions tout en créant toujours plus de propagande contre la véritable némésis de la City de Londres qu’est Vladimir Poutine.
Comme l’a déclaré le ministre des AE russe Sergeï Lavrov: “Hier, les médias russes et occidentaux argumentaient que la Russie n’avaient pas de motif ; mais ceux qui voulaient continuer cette campagne russophobe dans toutes les sphères possibles avaient quant à eux ces motifs…”
Source : https://resistance71.wordpress.com/2018/03/23/au-service-de-sa-gracieuse-hecatombe-dex-barbouzes-russes-a-londres/
"Les Pays-Bas suppriment le référendum" annonce la presse vendue
Source de l'article : https://www.ouest-france.fr/europe/pays-bas/les-pays-bas-suppriment-le-referendum-5592281
Le texte préparé par la ministre des Affaires intérieures, Kajsa Ollongren, met en fureur une partie de l'opposition. À commencer par le nouveau parti d'extrême droite Forum pour la démocratie qui, dans les sondages, concurrence désormais sérieusement le Parti pour la liberté du sulfureux Geert Wilders. « Kajsa Ollongren est l'assassin de la démocratie », a lancé le chef de Forum pour la démocratie, Thierry Baudet.
De 1952 à 2015, seuls deux référendums, dont celui qui a vu le rejet de la Constitution européenne en 2005, avaient été organisés aux Pays-Bas. Mais depuis peu, les consultations se multipliaient. En 2016, les Néerlandais ont dû répondre « oui » ou « non » à l'accord d'association entre l'Union européenne et l'Ukraine. Et en mars, ils doivent se prononcer sur les pouvoirs accordés aux services des renseignements néerlandais.
Dans le cas du référendum sur l'Ukraine, le « non » l'avait emporté. Pendant des mois, le gouvernement néerlandais avait traîné le résultat comme un boulet, avant de décider de ne pas remettre en cause l'accord entre Bruxelles et Kiev.
Commentaire d’Étienne Chouard
Ce titre est trompeur, car il laisse entendre que ce sont les Néerlandais eux-mêmes qui ont choisi de renoncer à leur propre souveraineté, à leur droit de décider eux-mêmes de ce qu'est le bien commun, loi par loi.
Les Pays-Bas suppriment le référendum
Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte (centre) et Kajsa Ollongren, ministre des Affaires intérieures |
Les partis de la coalition au pouvoir ont
été échaudés. Ils ne veulent plus traîner le résultat des consultations
comme un boulet.
Les députés néerlandais ont adopté par 76 voix
contre 69, jeudi, un projet de loi qui prévoit la suppression du
référendum consultatif. Jusqu'à maintenant, lorsqu'une pétition avait
récolté plus de 300 000 signatures, le gouvernement se voyait contraint
d'organiser un scrutin. Un référendum de ce type sur le pouvoir des
services de renseignements est prévu le 21 mars. Ce pourrait bien être
le dernier.Le texte préparé par la ministre des Affaires intérieures, Kajsa Ollongren, met en fureur une partie de l'opposition. À commencer par le nouveau parti d'extrême droite Forum pour la démocratie qui, dans les sondages, concurrence désormais sérieusement le Parti pour la liberté du sulfureux Geert Wilders. « Kajsa Ollongren est l'assassin de la démocratie », a lancé le chef de Forum pour la démocratie, Thierry Baudet.
De 1952 à 2015, seuls deux référendums, dont celui qui a vu le rejet de la Constitution européenne en 2005, avaient été organisés aux Pays-Bas. Mais depuis peu, les consultations se multipliaient. En 2016, les Néerlandais ont dû répondre « oui » ou « non » à l'accord d'association entre l'Union européenne et l'Ukraine. Et en mars, ils doivent se prononcer sur les pouvoirs accordés aux services des renseignements néerlandais.
Dans le cas du référendum sur l'Ukraine, le « non » l'avait emporté. Pendant des mois, le gouvernement néerlandais avait traîné le résultat comme un boulet, avant de décider de ne pas remettre en cause l'accord entre Bruxelles et Kiev.
Commentaire d’Étienne Chouard
Ce titre est trompeur, car il laisse entendre que ce sont les Néerlandais eux-mêmes qui ont choisi de renoncer à leur propre souveraineté, à leur droit de décider eux-mêmes de ce qu'est le bien commun, loi par loi.
Mais en
fait, ce sont les voleurs de pouvoir qui s'autonomisent, comme toujours
et partout dès que les peuples leur font confiance au lieu de s'en
méfier comme de la peste.
Ce sont, comme d'habitude, des "élus" irresponsables, des professionnels du mensonge, des ennemis du peuple, qui s'affranchissent traîtreusement de tout contrôle sérieux de la part de ceux qu'ils prétendent "représenter".
CE N'EST PAS AUX HOMMES AU POUVOIR D’ÉCRIRE LES RÈGLES DU POUVOIR.
C'est la règle n°1 en politique.
Et seuls les simples citoyens sont aptes et légitimes pour la comprendre et pour l'imposer, au plus haut niveau du droit.
Encore faut-il que ce soit des citoyens dignes de ce nom, c'est-à-dire qu'ils soient constituants : de simples électeurs, c'est-à-dire des enfants politiques, démissionnaires de leurs responsabilités constituantes c'est-à-dire de leur vigilance personnelle et permanente à l'égard de tous les pouvoirs, de tels électeurs ne méritent nullement d'être nommés citoyens : ce ne sont encore que des enfants ; il faudra qu'ils se transforment en adultes politiques pour devenir des citoyens dignes de ce nom.
De la même façon qu'on ne naît pas adulte,
ON NE NAÎT PAS CITOYEN, ON LE DEVIENT.
Les progrès du carcan oligarchique sont très inquiétants, ces derniers temps. La perte de la télévision et des journaux (désormais tous contrôlés par les plus riches) est une terrible catastrophe pour l'intérêt général et pour le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.
Ça va encore mal se terminer, je le crains, avec l'aval de la population désinformée.
Il serait temps de se réveiller.
Étienne.
Ce sont, comme d'habitude, des "élus" irresponsables, des professionnels du mensonge, des ennemis du peuple, qui s'affranchissent traîtreusement de tout contrôle sérieux de la part de ceux qu'ils prétendent "représenter".
CE N'EST PAS AUX HOMMES AU POUVOIR D’ÉCRIRE LES RÈGLES DU POUVOIR.
C'est la règle n°1 en politique.
Et seuls les simples citoyens sont aptes et légitimes pour la comprendre et pour l'imposer, au plus haut niveau du droit.
Encore faut-il que ce soit des citoyens dignes de ce nom, c'est-à-dire qu'ils soient constituants : de simples électeurs, c'est-à-dire des enfants politiques, démissionnaires de leurs responsabilités constituantes c'est-à-dire de leur vigilance personnelle et permanente à l'égard de tous les pouvoirs, de tels électeurs ne méritent nullement d'être nommés citoyens : ce ne sont encore que des enfants ; il faudra qu'ils se transforment en adultes politiques pour devenir des citoyens dignes de ce nom.
De la même façon qu'on ne naît pas adulte,
ON NE NAÎT PAS CITOYEN, ON LE DEVIENT.
Les progrès du carcan oligarchique sont très inquiétants, ces derniers temps. La perte de la télévision et des journaux (désormais tous contrôlés par les plus riches) est une terrible catastrophe pour l'intérêt général et pour le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.
Ça va encore mal se terminer, je le crains, avec l'aval de la population désinformée.
Il serait temps de se réveiller.
Étienne.
Libellés :
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politique internationale
Tours de passe-passe fiscal
Madame,
Monsieur,
Si vous payez l'impôt sur le revenu, votre taxe foncière va augmenter un peu, beaucoup ou... énormément.
Voici pourquoi.
Vous le savez, le gouvernement a décidé de supprimer la taxe d'habitation. Mais les dépenses locales qu'elle finance ne vont pas disparaître d'un coup d'un seul. Au contraire, elles n'ont jamais autant augmenté, et ils doivent bien les financer.
Voici le projet sur lequel planche actuellement le gouvernement :
La suppression de la taxe d'habitation, payée comme son nom l'indique par les habitants d'une commune, sera compensée par la taxe foncière, qui elle est payée uniquement par les propriétaires.
Et, tenez-vous bien, ils veulent carrément indexer votre taxe foncière sur vos revenus !
Le ministre des comptes publics, Gérald Darmanin, a lâché l'information le 9 mars dernier : le gouvernement "pourrait considérer que cet impôt local fondé sur l'habitat ou le foncier serait fondé sur le revenu",
Pour bloquer ce projet inacceptable, signez vite la pétition "Non à l'impôt foncier indexé sur le revenu".
Regardez l'injustice intolérable à laquelle il aboutit :
Un habitant locataire de son logement, utilisant un service public local (éclairage, ordures ménagères, équipements de loisir, etc.) paiera 0 euro d'impôt local pendant que son voisin, qui paye depuis des années un crédit pour être propriétaire de son logement, devra payer ce même service, et même le payer cher selon ses revenus.
On ne fait plus payer les habitants pour les services locaux dont ils bénéficient quotidiennement et on fait peser ces impôts sur les propriétaires, en fonction de leurs revenus...
... difficile d'imaginer pire démagogie. C'est la porte ouverte à toutes les dérives fiscales :
Les habitants vont élire les hommes politiques qui promettent le plus de "services", vont exiger toujours plus de dépenses, donc d'impôts, et ce sont les propriétaires qui devront payer l'addition, en fonction de leurs revenus.
Mais, si vous êtes locataire, ne croyez surtout pas que vous serez épargné.
Car, évidemment, les propriétaires répercuteront les hausses d'impôt foncier sur leurs locataires. Mais alors - et c'est là que c'est franchement malhonnête - personne n'accablera les hommes politiques responsables de cette hausse de loyer ; la grande masse des candides désignera les propriétaires comme responsables, comme d'horribles profiteurs.
En fait, cette proposition est tellement choquante que Gérald Darmanin, en lâchant incidemment l'information aux journalistes, a lancé un ballon d'essai.
Autrement dit, si personne ne réagit, le gouvernement fonce et met au plus vite en place cette réforme. Si au contraire les contribuables, avertis de ce tour de passe-passe fiscal scandaleux, hurlent leur colère, alors le gouvernement peut entamer un repli stratégique.
C'est pourquoi votre signature à la pétition "Non à l'impôt foncier indexé sur le revenu" sera déterminante.
En annonçant la suppression progressive de la taxe d'habitation (pour faire oublier le plus possible le coup de massue fiscal terrible infligé aux retraités), sans dire en même temps comment elle serait compensée, le gouvernement s'est livré à une manœuvre d'un rare cynisme.
C'est carrément de la manipulation des citoyens, par des annonces partielles.
Honteux.
Si vous refusez d'être la victime résignée des manœuvres déloyales et des tours de passe-passe fiscaux du gouvernement, signez vite la pétition et faites-la circuler à un maximum de personnes de votre entourage.
Tous les Français ont le droit de savoir.
Merci.
Jean-François
Si vous payez l'impôt sur le revenu, votre taxe foncière va augmenter un peu, beaucoup ou... énormément.
Voici pourquoi.
Vous le savez, le gouvernement a décidé de supprimer la taxe d'habitation. Mais les dépenses locales qu'elle finance ne vont pas disparaître d'un coup d'un seul. Au contraire, elles n'ont jamais autant augmenté, et ils doivent bien les financer.
Voici le projet sur lequel planche actuellement le gouvernement :
La suppression de la taxe d'habitation, payée comme son nom l'indique par les habitants d'une commune, sera compensée par la taxe foncière, qui elle est payée uniquement par les propriétaires.
Et, tenez-vous bien, ils veulent carrément indexer votre taxe foncière sur vos revenus !
Le ministre des comptes publics, Gérald Darmanin, a lâché l'information le 9 mars dernier : le gouvernement "pourrait considérer que cet impôt local fondé sur l'habitat ou le foncier serait fondé sur le revenu",
Pour bloquer ce projet inacceptable, signez vite la pétition "Non à l'impôt foncier indexé sur le revenu".
Regardez l'injustice intolérable à laquelle il aboutit :
Un habitant locataire de son logement, utilisant un service public local (éclairage, ordures ménagères, équipements de loisir, etc.) paiera 0 euro d'impôt local pendant que son voisin, qui paye depuis des années un crédit pour être propriétaire de son logement, devra payer ce même service, et même le payer cher selon ses revenus.
On ne fait plus payer les habitants pour les services locaux dont ils bénéficient quotidiennement et on fait peser ces impôts sur les propriétaires, en fonction de leurs revenus...
... difficile d'imaginer pire démagogie. C'est la porte ouverte à toutes les dérives fiscales :
Les habitants vont élire les hommes politiques qui promettent le plus de "services", vont exiger toujours plus de dépenses, donc d'impôts, et ce sont les propriétaires qui devront payer l'addition, en fonction de leurs revenus.
Mais, si vous êtes locataire, ne croyez surtout pas que vous serez épargné.
Car, évidemment, les propriétaires répercuteront les hausses d'impôt foncier sur leurs locataires. Mais alors - et c'est là que c'est franchement malhonnête - personne n'accablera les hommes politiques responsables de cette hausse de loyer ; la grande masse des candides désignera les propriétaires comme responsables, comme d'horribles profiteurs.
En fait, cette proposition est tellement choquante que Gérald Darmanin, en lâchant incidemment l'information aux journalistes, a lancé un ballon d'essai.
Autrement dit, si personne ne réagit, le gouvernement fonce et met au plus vite en place cette réforme. Si au contraire les contribuables, avertis de ce tour de passe-passe fiscal scandaleux, hurlent leur colère, alors le gouvernement peut entamer un repli stratégique.
C'est pourquoi votre signature à la pétition "Non à l'impôt foncier indexé sur le revenu" sera déterminante.
En annonçant la suppression progressive de la taxe d'habitation (pour faire oublier le plus possible le coup de massue fiscal terrible infligé aux retraités), sans dire en même temps comment elle serait compensée, le gouvernement s'est livré à une manœuvre d'un rare cynisme.
C'est carrément de la manipulation des citoyens, par des annonces partielles.
Honteux.
Si vous refusez d'être la victime résignée des manœuvres déloyales et des tours de passe-passe fiscaux du gouvernement, signez vite la pétition et faites-la circuler à un maximum de personnes de votre entourage.
Tous les Français ont le droit de savoir.
Merci.
Jean-François
mercredi 21 mars 2018
Dette et indépendance
intervention de Christina KOMI *
lors de la 1ère Université Populaire du CNR à Nice
CLAJ, les 3 et 4 Novembre 2017
*
Christina KOMI est enseignante chercheur franco-grecque, membre du CNR, ex-membre du mouvement grec
EPAM (Front Populaire Uni).
Qu'est-ce que c'est que l'indépendance ?
Une cité (communauté) est autonome/ indépendante quand ses membres considèrent que sur le territoire concret qu'ils occupent, ils peuvent survivre de leurs propres moyens.
Dans le temps, quand les gens considéraient qu'ils ne pouvaient pas survivre de ce que ce territoire leur donnait, ils ne s'y installaient pas, ils ne fondaient pas de cité, ils continuaient la vie nomade.
Si on prend l'exemple d'un village, les gens y vivaient de ce que le village pouvait leur procurer et ils ne partaient de là que pour échanger leurs produits, pour faire du commerce, mais pas pour s'endetter ni pour chercher à se placer sous l'occupation de quelqu'un d'autre.
En dehors de notre époque toute récente, il n'existe donc aucun précédent historique d'une cité ou d'un communauté entière qui ait été obligée d'emprunter ses moyens de survie (de survivre sur crédit).
Or, aujourd'hui, on se trouve face au phénomène saugrenu où la planète entière est endettée à une poignée de familles hyper-riches qui ont le permis de détenir la presque totalité des richesses. Au point que la planète entière ait vis-à-vis des banquiers une dette qui correspond à 3 fois le PIB mondial.
Et en revenant sur ma réflexion historique, je demande : Depuis quand considère-t-on comme « normal » que les Africains attendent le maïs des États Unis pour les nourrir ? Depuis quand est-ce raisonnable que les agriculteurs reçoivent des subventions pour ne pas cultiver leurs champs ou pour enterrer leurs récoltes ?
Comment est-ce possible qu'aujourd'hui on soit convaincu de vivre en « démocratie » et en « État de droit », alors qu'il n'y a ni l'un ni l'autre ? Le terme Démocratie désigne le pouvoir du peuple de décider de son sort, une situation où il a le contrôle ultime des organes qu'il met en place et qu'en aucun cas ce peuple ne puisse perdre sa qualité première du droit au pouvoir. Aujourd'hui on en est très loin.
Concernant ce que nous appelons État de droit pour nous c'est devenu un ensemble de lois qui visent à faire plier les gouvernés à ce qui convient aux gouverneurs. On arrive dans quelques cas, comme c'est le cas actuel de la Grèce, à parler même de « droit d'occupation », alors que les notions droit et occupation ne peuvent en aucun cas co-exister.
Dans l'exemple historique de démocratie, la cité d'Athènes entre les 5 e et 4 e siècles av.JC, les lois étaient créées par l'assemblée des citoyens, avaient une fonction indicative et ce n'était surtout pas une manière de tirer les gens par le bout du nez. Quand Socrate a été condamné à mort, il n'y avait pas de prison, il n'y avait pas de bourreau ; Socrate n'était pas condamné à une mort physique mais à une mort politique. Il était invité à quitter la cité ou bien à trouver par lui même la façon de mettre une fin à sa vie.
Le détournement actuel du sens des mots, dans des sociétés comme les nôtres où la plupart des gens sont pourtant instruits et diplômés, n'est possible que parce que nos cerveaux sont constamment martelés par un appareil très sophistiqué de production de mensonges.
Ces médias qui nous disent qui il faut croire et qui il ne faut pas croire, qui voter, quoi manger, quel film regarder, comment s'habiller, quoi acheter...
Ils nous ont dit aussi que la concentration du pouvoir aux instances bureaucratiques de Bruxelles , sous le beau nom d'Union Européenne, signifiait la fraternité des peuples, les voyages faciles, le partage et la convivialité, l'acceptation des autres. Ils nous ont dit que tous ensemble avions la chance de nous défaire de nos monnaies nationales au nom d'une belle nouvelle monnaie commune et unique qui permettrait aux Parisiens d'aller boire leur café à Berlin et aux Athéniens de profiter d'un capuccino sur la place du Capitole sans devoir passer par le bureau de change...
Le 31 décembre 2001 à minuit, alors qu'on fêtait l'entrée dans l'union monétaire, la dette de nos pays passait de la devise nationale à l'euro. Notamment, la dette de la Grèce, passant d'une dette en drachmes à une dette en euros a « évolué » de la manière suivante : jusqu'à minuit du 31/12/2001 elle correspondait à 145 milliards de dollars (une dette accumulée pendant 170 ans, de 1830 à 2001) ; entre 2002 et 2009, c'est à dire en 7 ans, elle a explosé approchant les 300 milliards de dollars. Au même moment, le pays (comme tous les pays membres de la zone euro) se privait de la possibilité d'éditer sa propre monnaie, étant obligé d'importer une monnaie privée (la BCE est bien une banque privée), une monnaie empruntée qui porte en elle un taux d'intérêt sur le dos des citoyens (nous) mais rétribué aux créditeurs, aux banquiers de la zone euro.
En 2008, les médias nous ont annoncé que nous étions malheureusement en crise. 3 Que la Grèce actuelle, ce petit pays balkanique, sans rapport avec un quelconque passé antique, avorton d'un monde moderne qu'elle n'avait finalement pas pu intégrer, méritait bien son sort d’État en faillite : ses habitants bronzés étaient des paresseux qui faisaient la sieste et profitaient de l'ouzo et du syrtaki pendant que leurs homologues allemands, français, danois, luxembourgeois, hollandais et autres travaillaient dur pour pouvoir leur prêter de l'argent...
Les fables ont toujours fait partie de la vie humaine. La différence est qu'aujourd'hui la possibilité de vérifier par nous mêmes ce qui est fable et ce qui est vérité tend à disparaître. La complexité technique des chiffres est un bon prétexte pour que les citoyens s'abstiennent de toute vérification des infos qu'on leur donne et pour qu'ils délèguent tout aux spécialistes. « La vérité n'existe que dans son partage social », disait Aristote et aucune vérité ne peut exister si elle ne fait pas partie de l'expérience vitale commune.
On en est à l'opposé : ce que nous avons tous en commun aujourd'hui est un tas de mensonges. Par le seul fait de s'être emparé de l'esprit et du cœur des gens, ces mensonges sont aujourd'hui notre seule vérité.
Dans tout ça, le mot « dette » (de la France ou de la Grèce), apparaît comme si c'était la chose la plus naturelle du monde ; on entend dire qu'on est obligés de payer la dette publique, qu'on est obligés de la rendre « viable » afin de pouvoir régler les mensualités éternellement, sans souci des dégâts causés (collatéraux).
Je vais vous donner alors une idée plus précise de quelques dégâts collatéraux , du petit pays balkanique situé au sud de l'ex Yougoslavie et ayant un sort malheureusement semblable à celui de cette dernière, je crains que dans quelque temps pas très longtemps, on parlera de l'ex-Grèce.
Le pays vit, depuis 2010, au milieu d'un ouragan d'une crise artificielle.
Crise des subprimes, des swaps, des dérivés... Est-ce que nos chers médias nous ont suffisamment informés sur ce que c'est ?
J'en doute.
Est-ce que les médias vous ont attiré l'attention sur le rôle de Goldman Sachs et de sa filiale JP Morgan, sur la manipulation des chiffres, afin d'adapter toutes les données aux conditions du traité de Maastricht et faire entrer le pays dans la zone euro? Est ce que les médias ont parlé de la falsification du déficit national grec de la part d'ELSTAT -- l'Organisme des statistiques nationales lié à EUROSTAT-- (passant du vrai déficit de 3 %, un des plus bas de la zone euro, à un fictif de 15%) ? 1 Ceci a permis à Giorgos Papandreou de nous imposer l'arrivée du FMI, cet organisme bienfaiteur et humaniste, qui depuis mai 2010 est en train de nous « sauver ». Petit détail : le frère de Giorgos Papandreou depuis les USA, plaçait de l'argent sur le pari de la faillite de la Grèce.
Donc, je résume, au cours de l'année 2010, de manière frauduleuse, avec des manipulations opaques de données statistiques nationales, la Grèce a été déclarée en nécessité de « sauvetage » et devenue objet de divers traités illégaux par lesquels des milliards d'euros lui ont été soit disant « prêtés » contre la « rationalisation » et le « redressement » de son économie ; ce qui s'est traduit par le démantèlement progressif du système social, éducatif et sanitaire, des découpes des frais publics, du bradage des services, des entreprises et des infrastructures publics et tout ceci scellé par la démission définitive et irrévocable du pays de tout recours émanant du Droit International pour la protection de sa souveraineté . Depuis cette année-là, les gouvernements au pouvoir se sont alternés mais la continuité d'action est étonnante. Rien n'a changé, malgré les élections successives et un référendum, complètement détourné. [1]
[1] Tout ça est bien détaillé dans les deux articles ci-joints (en anglais, car en français il n'y a rien), à lire absolument : https://hat4uk.wordpress.com/2012/06/26/greek-deficit-how-berlin-encouraged-papandreou-to-big-up-the-2009-greek-deficit/ et aussi : http://www.cadtm.org/The-Road-to-the-Greek-Hell-is
Aujourd'hui la Grèce est une colonie moderne de la dette. Un pays qui vit les conséquences d'une guerre en temps de paix.
Depuis 2011 :
1- Taux de mortalité en Grèce est le plus haut que le pays ait connu depuis la fin de la seconde Guerre mondiale. Déficit démographique total de 2011 à 2017 : 130.000, un trou noir, égal à une ville comme Metz (plus grand que Montreuil, Nancy, Orléans, Caen, Rouen)
2 - En terme de chiffre d'affaires : la Grèce est à la même position que l'Erythrée, la République centrafricaine, Guinea Bissao, l'Ukraine, des pays en situation de guerre...
3- Chômage massif et structurel de l'ordre de 60 % (le chiffre officiel est 30 % mais on sait combien de catégories de personnes sans emploi ne sont pas enregistrées auprès du Pôle emploi tant en France qu'en Grèce. Pour les moins de 25 ans, le véritable taux approche les 75 %, c'est-à-dire, trois jeunes sur quatre sont sans emploi.
4- Départs et émigration massive de la population la plus jeune du pays, plus de 300.000 jeunes formés depuis 2010. (le produit No 1 d'exportation du pays : les cerveaux → 12 %)
5- Démantèlement de la santé, des retraites, de l'éducation.
6- Bradage des biens publics et privés au profit des spéculateurs étrangers avec des procédures simplifiées et non opposables (confiscation et mise aux enchères des résidences principales des gens pour des dettes de l'ordre de 500 euros).
7- Recettes des impôts et des fonds publics versées au profit des banques de spéculation et des fonds vautours étrangers.
8- Abolition de la souveraineté et transformation du pays en une colonie au service d'intérêts privés de quelques multinationales.
9- Abolition de ses forces de défense nationale et substitution par des forces de police et d'armée privées étrangères (telle FRONTEX qui patrouille en mer Egée).
10- Transformation du pays en centre de détention massive de populations provenant de zones ravagées par la guerre et la paupérisation tout en servant des intérêts qui attaquent les droits sociaux et humains de ces gens (esclavage, commerce d'organes, prostitution et autres, ...).
11- Et bientôt... amputation du territoire national.
Est-ce que tout cela est anticonstitutionnel ? Illégal ? Immoral ? Frauduleux ? Oui, tout ça, quelques constitutionnalistes encore honnêtes l'ont dit et redit, et le rapport sur la dette, fait par la Commission sur la vérité de la dette grecque convoquée par la présidente du parlement du premier gouvernement Syriza (et dont faisait partie Eric Toussaint) l'a confirmé également.[2]
Et bien plus que ça :
Le prétendu argent « prêté » n'est jamais entrée en Grèce : d'après une étude de 24 pages de l'Institut Européen de Management et de Technologie situé à Berlin, dont le résumé a été publié en exclusivité dans le journal Handelsblatt du 16 mai 2016, les 95 % des 220 milliards € prêtés sont allés sauver les banques allemandes et françaises (qui détenaient des titres de la dette grecque) et 5 % pour sauver les banques grecques. [3]
Le 0 % est allé pour couvrir des trous du budget.
En juillet 2016 le bureau de l'expert indépendant qui évalue l'action du FMI a publié un rapport dans lequel il constate qu'il y a eu non pas seulement des erreurs mais toute une conspiration contre la Grèce. [4] Avec une autosuffisance alimentaire de l'ordre du 98 %, une extra-ordinaire richesse du sol et du sous-sol, située sur un point géo-stratégique qui relie l'Europe à l'Asie et à l'Afrique, et avec classe politique complètement pourrie, formée par des laquais des intérêts étrangers, c'était une proie facile. Au nom du sauvetage de la monnaie unique, au lieu de répartir le pillage des secteurs privés et publics à tous les pays de la zone euro, le rapport de l'expert indépendant pour l'action du FMI précise que la Grèce a été choisie comme bouc émissaire et sacrifiée pour la continuation de l'existence de cette monnaie. Et en même temps les vautours profitent de ce cadavre exquis. Avez vous entendu parler de ce rapport ? M. Tsipras non plus...
[2] https://blogs.mediapart.fr/raoul-marc-jennar/blog/190615/synthese-du-rapport-de-la-commission-pour-la-verite-sur-la-dette-grecque
[3] Cet article dans le journal allemand Handelsblatt gobal , version en anglais, en parle : https://global.handelsblatt.com/edition/423/ressort/politics/article/study-finds-greek-bailouts-saved-banks-not-people
[4] Pour ce rapport, voir http://russeurope.hypotheses.org/6195 et aussi http://www.ieo-imf.org/ieo/files/completedevaluations/EAC__REPORT%20v5.PDF7
Et pourtant, les banques européennes, ne sont toujours pas sauvées, elles ont tout simplement avalé les milliards injectés dans leurs trous noirs mais en les comptabilisant sur le dos du peuple grec et des autres peuples. Elles continuent à jouer à la bourse, à laver l'argent noir du pétrole de Daesh, de la drogue et des circuits de crime organisé qui font du trafic d'esclaves et du trafic d'organes, avec tous ces pauvres gens qu'on a fait clandestinement transiter de l'Asie et de l'Afrique vers l'Europe. Ces banques détiennent des sommes colossales, bien plus que les banques américaines par rapport au PIB (les actifs de la BNP = le 110 % du PIB français). Et elles sont toujours au bord de la banqueroute : La Deutchebank est la plus grande et la plus problématique de toutes, pleine de produits toxiques, prête à éclater et à emporter dans la chute la presque totalité des banques européennes mais aussi au delà. Et le vrai problème est qu'on ne la laissera pas couler, on continuera à puiser ici et là, en France, en Italie, et partout où nos chers gouverneurs peuvent puiser pour « sauver » encore la Deutchebank, et les organismes concomitants.
En d'autres mots, un cartel supranational de banques et de corporations du pétrole, des médicaments, des armes, de software, d'alimentation essaient de tirer un maximum de profits au moment où tout s'écroule à cause d'une crise qu'ils ont eux mêmes provoquée. La bulle spéculative d'énormes quantités d'argent fictif (qui pour 2015 arrivait à 25 fois le PIB planétaire) ne trouve plus d'objet d'investissement pour continuer à rapporter à leurs détenteurs des gains et intérêts suffisamment élevés tous les jours.
Cette petite oligarchie, souvent aidée par les sales jeux de l'OTAN, souhaite transformer ses gains, qui ne sont aujourd'hui que des chiffres sur écrans d'ordinateur, en biens tangibles et concrets. Pour y parvenir, il lui faut mettre la main sur la totalité des ressources de nos pays. Et nous, nous sommes destinés à devenir une masse d'individus sans patrie ni conscience collective, totalement dépendants de leurs structures.
Et, en plus, dans un état psychologique collectif de culpabilité par rapport à cette « dette » pour laquelle ils viennent nous sauver [5]. Nous sommes prêts à accepter la privation de nos libertés, la suppression de nos droits, une soumission accrue, une surveillance et une main mise sur notre épargne et sur notre propriété privée.
En Grèce, le deuxième gouvernement de « gauche » est en train de finir le boulot des précédents. Après les « dégâts collatéraux » des gouvernements de Papandreou, Papademos, Samaras-Venizelos --dont le traité d'amitié greco-allemande (signé en 2010) qui donne droit à l'Allemagne de s'occuper de l'éducation et de la culture des grecs et de leurs livres scolaires [6] -- le gouvernement Syriza non seulement a signé un 3ème et un 4ème mémoranda, en gonflant la facture de la dette publique d'encore une centaine de milliards d'euros, en donnant sa bénédiction pour que des fonds privés étrangers s'emparent des hypothèques de résidence principale pour 5 % du prix et qu'ils expulsent les gens sans procès judiciaire autre qu'électronique ; il n'a pas rétabli la justice à l'intérieur du pays ; il a volé les fonds des caisses de retraite, d'éducation et de santé pour payer une ou deux mensualités du FMI, ce dont il aurait très bien pu se passer ; il a rendu la mer Egée à l'OTAN ; il a signé un traité honteux SOFA avec Israël, permettant l'établissement permanent de bases israéliennes sur notre territoire sous régime d'impunité totale pour tout dommage causé [7]; ...
[5] Un cauchemar semblable est aussi celui du terrorisme, créé par les mêmes contres de façon analogue que la dette. Semer la terreur sert à mettre en fonction une peur instinctive d'auto-conservation grâce à laquelle ils peuvent obtenir carte blanche pour toutes les violations possibles de nos droits.
[6] http://www.griechenland.diplo.de/Vertretung/griechenland/de/03/Bilaterale__Beziehungen/Deutsch__Griechisches__Partnerschaftsprogramm.html
[7] http://www.jpost.com/Israel-News/Israel-Greece-sign-status-of-forces-agreement-409492
... il a liquidé les 3 ports et les 14 aéroports les plus lucratifs du pays aux Allemands –à Fraport (je rappelle que le Pirée, est la porte d'entrée principale des produits chinois en Europe). Et en mai 2016, par la signature d'un projet de loi multiple de 7.500 pages (que personne n'a lues) il a cédé la totalité de la fortune du pays, les plages, les infrastructures, les zones frontalières, les ressources souterraines, l'espace aérien, au MES [8] . Par le même projet de loi, le parlement grec a signé son auto-suppression totale et définitive reconnaissant qu'il est pleinement substitué par Bruxelles. Le pays est ainsi bel et bien sous occupation totale et complète. Même au niveau de la défense nationale, les unités d'armée aérienne de la mer Egée sont réduites et la soit disante garde des frontières maritimes est laissée aux mains de l'armée privée étrangère de FRONTEX qui y patrouille aux côtés de l'OTAN, des Israéliens et des Turcs qui font des exercices militaires grandeur nature pour préparer leur prochaine invasion du Dodécanèse. La situation se complète par la transformation du pays en centre de détention illégale pour des milliers de gens provenant de zones de guerre et de misère de l'Asie et de l'Afrique qui ne sont pas protégés comme il le faudrait par les règles du Droit International mais sont jetés aux mains des ONGs peu transparentes et du crime organisé qui en tire des profits fabuleux, lavés dans les banques, sans être dérangés ni par la police ni par les autorités nationales quelconques.
[8] Plus terrible que le FMI, le MES, fondé en juillet 2013, ayant son quartier général au Luxembourg, et constitue le soit disant FMI européen (organisme de gestion de dettes des pays de la zone euro). Son CA et son Directeur n'ont des comptes à rendre à aucun corps élu, ils ne peuvent être saisis par aucun tribunal, et ils ont un pouvoir illimité sur les États-membres qui doivent se conformer dans l'absolu à ses ordres. A différence du FMI qui, lui n'a aucune possibilité de mener un pays en faillite, le MES a cette possibilité, c'est un Hyper-État qui a des privilèges et des impunités qu'aucun de ses États-membres n'a. Ses locaux sont impénétrables, ses documents et ses biens insaisissables, il est au-delà de toute autorité publique ou autre.
Les citoyens français n'en savent peut être pas grande chose de tout cela car on leur dit que la Grèce c'est loin, on leur a aussi dit que leurs impôts sont partis pour « aider les Grecs ». Les gens n'ont pas forcément des heures à passer sur internet cherchant des informations autres que celles de la télé. Puis, la société française n'a pas encore vu leurs retraites amputées, ni les allocations familiales supprimées. Le taux de chômage galopant, les coupes des allocations chômage, la congélation des salaires depuis 15 ans, les délocalisations, le nouveau code du travail, ... ne suffisent toujours pas pour se comparer encore aux Grecs.
Pourtant, on vous martèle la tête, vous aussi, de « compétitivité » , sans préciser jusqu'où vous devriez devenir « compétitifs » pour pouvoir vivre dignement. Compétitifs par rapport à qui ? à la Chine ? à la Roumanie ? à l'Albanie ? à la Turquie ? à l'Italie ? Ou bien à l'Allemagne ?
Et en même temps les mots monnaie, production et productivité , dont il faut parler avant de parler de compétitivité, ne sont pas des mots à la mode et on n'en parle pas...
Les instigateurs de l'intégration européenne au même moment qu'ils créaient la monnaie unique, ils incluaient dans les traités et les conventions signés par les représentants de tous les pays du continent, la désindustrialisation et la dé-productivisation de nos pays européens. Pour la France et les autres puissances industrielles, cela a ouvert le chemin aux délocalisations ; Pour les plus petits pays comme la Grèce, vers la désindustrialisation complète, le démantèlement de l'artisanat, la mort de l'agriculture. Du traité de Maastricht au traité de Lisbonne, on a privé les peuples de leur monnaie, de leur production, de leurs postes de travail, en un mot de leur indépendance en les transformant en des consommateurs-débiteurs d'une dette qui ne finira jamais. Cette situation ne relève d'aucune nécessité, elle constitue tout simplement un choix politique , celui de l'esclavage moderne.
Le cas de la Grèce actuelle est là pour nous le démontrer.
Et pour finir avec un mot sur l'Antiquité --qui elle aussi sera enterrée sous les débris d'un pays jadis nommé la Grèce-- à l'instar de Solon, qui avait imposé l'effacement complet de la dette dans Athènes de l'antiquité, il faudrait aujourd'hui que nous citoyens, on exige l'effacement de la dette publique de nos pays ; notre libération de la prison qui rend les peuples esclaves d'une dette en perpétuité (la zone euro) ; et la fin de la dictature allemando-bruxelloise.
Source : http://etienne.chouard.free.fr/Europe/DETTE_ET_INDEPENDANCE_Christina_Komi_CLAJ_3_11_2017.pdf
La victoire des industriels sur les peuples.
"Les
piles Casio d'origine de ma calculatrice viennent de rendre l'âme.
J'ai fait toutes mes études avec, ma thèse et je l'utilise quasi
quotidiennement depuis...
1988 !"
Les appareils d'aujourd'hui sont soumis à l'obsolescence programmée !
C'est le signe que les industriels et les marchands ont gagné face aux politiques censés représenter les intérêts de leurs électeurs.
Comment ont-ils fait ?
Mais en finançant les campagnes électorales, tout simplement. Et en achetant la quasi-totalité des médias de masse. Plus un candidat a d'argent et d'exposition médiatique, plus il est sûr de gagner.
Après, l'élu va faire tout ce qui sert les intérêts de ses financeurs :
- diminuer la qualité des services publics pour que les consommateurs se retournent vers les services privés,
- vendre les sociétés publiques qui rapportent à l’État (autoroutes, barrages, aéroports, etc.)
- et faire passer des lois qui desservent les intérêts de 95% des contribuables mais avantagent énormément les 5% les plus riches.
Pire : les États sont en train d'être dissous dans une entité supranationale de conception marchande : l'Union Européenne. Aujourd'hui, la République française n'est plus qu'un État-membre qui ne décide plus de ses lois, qui ne contrôle plus sa justice (soumise à celle de l'UE), n'émet plus sa monnaie et ne décide plus de ses guerres (puisque c'est l'OTAN).
1988 !"
Les appareils d'aujourd'hui sont soumis à l'obsolescence programmée !
C'est le signe que les industriels et les marchands ont gagné face aux politiques censés représenter les intérêts de leurs électeurs.
Comment ont-ils fait ?
Mais en finançant les campagnes électorales, tout simplement. Et en achetant la quasi-totalité des médias de masse. Plus un candidat a d'argent et d'exposition médiatique, plus il est sûr de gagner.
Après, l'élu va faire tout ce qui sert les intérêts de ses financeurs :
- diminuer la qualité des services publics pour que les consommateurs se retournent vers les services privés,
- vendre les sociétés publiques qui rapportent à l’État (autoroutes, barrages, aéroports, etc.)
- et faire passer des lois qui desservent les intérêts de 95% des contribuables mais avantagent énormément les 5% les plus riches.
Pire : les États sont en train d'être dissous dans une entité supranationale de conception marchande : l'Union Européenne. Aujourd'hui, la République française n'est plus qu'un État-membre qui ne décide plus de ses lois, qui ne contrôle plus sa justice (soumise à celle de l'UE), n'émet plus sa monnaie et ne décide plus de ses guerres (puisque c'est l'OTAN).
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NB : en cas de rassemblement populaire, attendre que 3 cagoulés en marge incendient une voiture (si possible une Porsche) et monter la population contre le mouvement social dans son ensemble, en partenariat avec TF1 & BFMTV.
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