François Asselineau met en lumière comment l'ancien président du Conseil italien, Mario Draghi, tisse sa toile dans l'ombre pour succéder à Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne et mettre en place son projet d'État fédéral européen. « Si l'Union européenne devient un État, la France perdra son siège à l'ONU au profit de l'Europe. Par contre, le Royaume-Uni, qui sera sorti juste avant, conservera son statut de grande puissance que la France, elle, aura immolé sur le principe de la construction européenne. », explique le président et fondateur de l'UPR.
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