7 mars 2024
Url de l’article original :
https://joannenova.com.au/2024/03/climate-fortune-tellers-say-global-warming-causes-cold-spells-too/
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Les hypnotiseurs climatiques vous disent que tout type de météo qu’il fait est le changement climatique
Dans 100 ans d’ici, les élèves des universités du futur écriront des essais d’examens sur la psychose de masse qui a fait péter les plombs aux climatologues dans la première partie du siècle.
Ici, par exemple, des experts nous expliquent sans trembler du menton que les grandes vagues de froid hivernales sont aussi des signes du changement climatique anthropique.
Les vrais voyants peuvent voir le changement climatique partout :
Comme ici : “Le réchauffement climatique anthropique peut être derrière une augmentation de la fréquence et des intensités des vagues de froid”
Global warming may be behind an increase in the frequency and intensity of cold spells
Beatriz Monge-Sanz , The Conversion
Une conséquence moins évidente du réchauffement global est en train de gagner l’attention des scientifiques : une augmentation potentielle de l’intensité et de la fréquence des vagues de froid hivernales dans l’hémisphère nord.
Naturellement, cette augmentation “potentielle” était attendue, même s’ils n’ont pas pensé à la mentionner. Même s’ils nous ont dit que nos enfants grandiront sans savoir ce qu’est la neige.
Quelques mécanismes qui mènent à leur apparition sont renforcés par le réchauffement global. Des mécanismes climatiques clefs, comme les échanges d’énergie et de masses d’air entre les différents niveaux d’altitude dans l’atmosphère, évoluent de façons attendues à cause de l’augmentation à la fois de l’intensité et de la durée des vagues de froid.
Ils l’attendaient, juste après que cela ait commencé à se produire.
Les étudiants en psychologie noteront que les princes de la science climatique couvre toujours les bases des mêmes termes ambigus, la météo peut être très sociale et enjoué, mais en même temps timide, voyez-vous. Et les mécanismes clefs, qu’on ne nommera évidemment pas, qui sont différents en altitude, peuvent évoluer. Vous voyez ce que je veux dire ?..
Ces échanges d’énergie et de masses d’air “se lient au comportement d’une région de la haute atmosphère appelée stratosphère”, dit Mme Beatriz Monge-Sanz, mystérieusement n’expliquant rien est tout à la fois.
Je défie quiconque de déballer ces “mécanismes”. D’une certaine manière, un excédent de CO2 cause un Réchauffement Stratosphérique Soudain (RSS) aux pôles et ils ne peuvent pas expliquer pourquoi. Mais ils savent, a posteriori, que les RSS ont augmenté ces 40 dernières années, ainsi donc cela doit être le réchauffement climatique parce que cela a aussi augmenté. Et si seulement leurs super-ordinateurs étaient un peu plus super, ils pourraient en fait prédire ces évènements de RSS en avance et tout et tout. Mais ils ne le peuvent pas et ils l’ont même admis.
Monge-Sanz est une chercheuse physicienne de longue date à l’université d’Oxford.
Je voudrais lui demander : Quelle météo nous montrerait que les modèles climatiques sont faux ? (NdT : une fois de plus, tout est basé sur cette “science des modèles informatiques”, nouvelle religion et falsifiable à souhait, au détriment de la science des mesures empiriques…)
[NdT : le paragraphe final suivant contient 16 hyperliens menant aux sources de ce qui est avancé… toutes en anglais, à suivre dans l’article original]
Le nombre des échecs continue : le “point chaud” atmosphérique est inexistant, les modèles climatiques ne peuvent pas prédire le climat à une échelle locale, régionale ou continentale, ils ne savent pas pourquoi le réchauffement a considérablement ralenti pendant des années. Ils ne peuvent pas expliquer la pause ou les mouvements historiques du climat sur le long terme non plus. Les mesures par satellites, nuages, plus de 3000 bouées de mesures océaniques, 6000 forages, un millier de manomètres de marée et 28 millions de ballons sondes atmosphériques ne peuvent pas trouver le réchauffement que le modèle informatique prédit. (NdT : le conflit “modèle informatique” vs science empirique de mesures est lui bien réel… Les mesures ne mentent pas si on ne les bidouille pas…). Dans les océans, le réchauffement n’est pas statistiquement significatif, les niveaux des mers ont commencé à s’élever trop tôt et ne montrent pas suffisamment rapidement, ils ne s’accélèrent pas et le réchauffement partout n’est pas non plus proche de ce qui avait été prédit. L’Antarctique était supposé se réchauffer plus rapidement que partout ailleurs, mais ceci est totalement faux. Le vaste océan austral se refroidit et ne se réchauffe en rien. La seule partie de l’antarctique qui se réchauffe se situe au sommet d’une chaîne volcanique dont on préfère ne pas vous parler.
Pas étonnant que les modeleurs climatiques “experts” ne veulent pas parier leurs fonds de retraite sur les modèles climatiques…
“Les modèles climatiques sont des outils très utiles pour bien des applications mais ils ne sont pas quelque chose que je veuille utiliser pour décider de stratégies d’investissement pour mes fonds de retraite.” (Andy Pitman, directeur ARC Centre of Excellence for Climate System Science)
Les étudiants du dogme 101 climatique du XXème siècle s’émerveilleront du fait de la longévité qu’a eu une telle hypothèse stupide, non fondée, qui perdura pendant tant d’années après avoir été prouvée fausse. (NdT : dogme religieux (ici climatique) contre science empirique véritable…)
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Lire notre page : “Escroquerie réchauffement Climatique Anthropique”
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