Surnommé "le plus marginal des marginaux", ce dandy juif s'exprime sur des sujets hautement sensibles dont bien évidemment l'imposture des chambres à gaz.
Extrait de 44 minutes trouvé sur VK :
Source : https://vk.com/video463463505_456239535
Et intégralité de l'entretien (2h14mn) sur Youtube (!)
Source : https://www.youtube.com/watch?v=iBahcN0KvcM
Sauvegarde : https://runtube.re/w/jsPREzyjXyMeAmuzeruQmF
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Endocrino Psychologie
Source : https://www.endocrino-psychologie.org/glande-genitale-volont%C3%A9
Les glandes endocrines agissent en nous jusqu'en nos plus fines activités et particulièrement les plus intellectuelles. Ce sont les mécanismes que l'on étudie en endocrino-psychologie du docteur Gautier.
Faculté psychologique et morale, la volonté n'a jamais fait l'objet de recherches physiologiques. Cela est dû à l'énorme difficulté de concevoir qu'une faculté psychologique puisse être explicable par des processus glandulaires. On conçoit bien que le foie joue un rôle dans la libération du glucose, que le rein est un filtre sanguin indispensable, que le pancréas serve à la digestion et à la régulation du taux de sucre dans le sang, etc., mais on n'imagine pas que la volonté ou la pensée puissent obéir à des mécanismes hormonaux. Pourtant, aucune de nos efficiences n'échappe au corps et à ses fonctions. Nous en avons une intuition immédiate et en subissons l'évidence. Lorsque nous pensons, c'est avec notre cerveau et nos glandes. Nous ne disons pourtant pas que le cerveau sécrète la pensée comme le foie sécrète la bile selon l'aphorisme célèbre. C'est justement parce qu'un tel énoncé est choquant qu'on s'est détourné de son étude. C'est choquant parce qu'on pose mal le problème. En termes de pure causalité nous sommes dans une impasse : la pensée n'est d'abord pas un produit de sécrétion ; d'autre part, elle n'est pas un simple mécanisme mais un complexe incroyable de nuances qui est le résultat d'une maturation longue et d'une synthèse psychophysiologique. Étudier le fonctionnement des facultés mentales relève donc d'une méthode très particulière qui ne peut se fonder sur le seul principe de causalité. Il y faut un esprit largement synthétique, ce qui est chose rare et la raison même de l'ostracisme rencontré par les travaux du docteur Gautier. De toute façon, métaphysiquement parlant, nous ne pouvons pas dire que le cerveau sécrète la pensée ou que nos plus hautes facultés sont causées par des mécanismes physiologiques. On tomberait dans ce qu'on appelle le réductionnisme. Nous pouvons seulement dire que le corps et ses mécanismes sont la condition d'exercice de nos facultés mentales.
De la première à la deuxième puberté
Dans la genèse de l'individu, la première puberté, au 8e jour, a eu pour objet la mise à niveau de la glande génitale interstitielle en lui infligeant une première et grande stimulation. Cette activité glandulaire a permis d'acquérir, au début de la vie, des activités fonctionnelles avec toute l'exactitude nécessaire et tout particulièrement des images verbales (mots) bien constituées avec un langage bien formé. Lors de la deuxième puberté, vers 11-12 ans. les propriétés de la génitale n'ont pas changé mais sa puissance s'est accrue et est devenue beaucoup plus précise. Elle va obtenir des effets qui nous semblent bien différents mais qui sont pourtant les mêmes : la génitale va pouvoir agir sur des idées c'est-à-dire la réémergence de nos premières sensations au lieu d'agir directement sur les sensations que nous procure le monde extérieur.
En effet au début de la vie nous avons d'abord des sensations directes. Ensuite avec la formation du langage nous formons des mots et des idées qui sont la représentation idéative des objets. Pour notre entendement, sensations et représentations idéatives sont des phénomènes différents. Mais en réalité, si l'on y réfléchit bien, il n'existe point de différence pour notre personnalité. C'est à cette époque de la vie que l'esprit va pouvoir se développer ou bien, au contraire, marquer un coup d'arrêt si la, sexualité vient prendre trop d'importance. C'est en effet à la deuxième puberté que s'opère le développement des organes génitaux. La génitale interstitielle y joue un rôle mais elle ne retombe pas dans l'inaction une fois cette tâche accomplie. Son action va se poursuivre dans le sens intellectuel et moral à moins que la préoccupation de jouissance sexuelle ne survienne et n'obnubile le sujet au point de le priver peu à peu de ses possibilités réalisatrices.
Sexualité... ou interstitielle
Le docteur Gautier explique que trois cas se présentent : dans le premier cas, la sexualité exerce une forte attraction et accapare l'intention, l'intérêt, les tendances vitales du sujet. Elle devient un point d'utilisation de la sécrétion génitale. L'individu se souciera surtout de cette question et se détournera des autres activités. Ses capacités intellectuelles pourront en souffrir gravement ainsi que l'évolution, la maturité, la formation de son esprit. C'est toute l'évolution psychique et morale du sujet qui en pâtit.
Dans le second cas. le sujet peut être l'objet d'incitations sexuelles, mais il peut les négliger, les considérer comme secondaires et comme ne devant pas empiéter outre mesure sur ses autres activités. Le sujet mène de front les difficultés de l'existence et les questions sexuelles. L'intelligence n'en est point troublée et elle peut parfois être stimulée.
Dans le troisième cas. en raison de la pudeur ou de croyances religieuses, très rarement en raison de conceptions morales, le sujet entre en lutte directe avec sa sexualité, il la combat victorieusement, en réduit ou annihile volontairement toutes les velléités intempestives. Il en acquiert rapidement une intelligence réfléchie, méditative, puissante, susceptible d'utiliser l'attention et la volonté dans les actes habituels de l'existence et encore beaucoup plus dans l'élaboration intellectuelle et le labeur psychologique.
Rôle de l'attention et de la volonté
Nous avons vu précédemment que la génitale joue un rôle important dans l'acquisition du langage, l'homogénéité des images verbales et leur adéquation à la réalité. Cette même génitale va maintenant s'exercer tout particulièrement sur nos enregistrements idéatifs en permettant l'exercice de deux facultés fondamentales pour la personnalité : l'attention et la volonté.
Connexion avec le sens moral
Nous voyons donc dans les deux phénomènes de l'attention et de la volonté, l'action directrice, régulatrice, modulatrice de la sécrétion interstitielle qui intervient pour promouvoir ces deux facultés dans une efficacité réelle. Sans cette sécrétion, l'attention et la volonté ne peuvent être que des plus débiles, voire inexistantes. L'attention et la volonté sont donc les résultantes des facteurs moraux très importants qui excitent la sécrétion interstitielle. Comme l'explique le docteur Gautier. la vivacité sécrétoire de la génitale provient aussi de la répétition d'idées et d'actes bons, généreux. désintéressés qui auront été exécutés maintes fois au point d'en rendre solidaire et vivace le fonctionnement de notre glande génitale.
Ces valeurs et finalités morales ne vont pas de soi. L'enfant ne les a pas spontanément de lui-même. Il faut les lui enseigner par l'éducation en en montrant la nécessité, la logique, les avantages pour la société. La génitale peut agir sur tout l'organisme. Lorsqu'elle s'active, elle impose au somatique (le corps) le sang-froid physique et la mise en réserve de ses forces, précise d'une manière parfaite tous les mouvements musculaires, enfin agit sur les émotions et les sentiments parce qu'elle est fortement modératrice et régulatrice des rythmes des organes végétatifs tout en permettant une certaine vigueur. Agissant sur l'intelligence, elle domine l'attention.
Volonté et sens moral : notions connexes
Au point de vue sexuel, la question de la volonté est un peu plus complexe. La sécrétion génitale ne peut intervenir qu'en fonction d'un principe, d'une idée morale qui a été associée par l'éducation ou par un état sentimental (pudeur) à l'idée d'un fait sexuel. C'est cette tendance idéative d'ordre moral qui réveille la génitale car c'est cette glande qui en a d'abord effectué l'enregistrement dans le cerveau. La sécrétion génitale va alors s'opposer aux instigations organiques et imaginatives en prenant la place de la sécrétion thyroïdienne excitatrice pour y substituer la sienne, pondératrice et morale, et ce dans tous les éléments nerveux qui doivent participer à la réalisation de l'excitation sexuelle.
La génitale peut non seulement modérer directement l'action de la thyroïde, mais susciter celle de l'hypophyse « raisonneuse » ; elle peut aussi restreindre la sensibilité, arrêter les mouvements musculaires et fixer dans l'esprit une idée morale en remplacement d'une idée érotique. Ce processus est donc fort peu différent de celui de l'attention sauf qu'il s'étend à des parties organiques plus étendues et plus variées.
Après la première puberté, l'interstitielle est peu agissante. Elle joue un rôle important de régulateur mais de manière inconsciente. Elle établit d'excellents rapports entre les vibrations nerveuses et les influences hormonales. Son action est donc effacée, automatique. Cependant, cette action peut augmenter nettement pour certains mouvements complexes : ceux qui obligent à la précision et à l'adresse ; ceci explique que les sujets précoces en arts plastiques sont en retard sur les musiciens et les mathématiciens.
A la deuxième puberté, la génitale augmente ses pouvoirs. Elle les a exercés jusqu'à présent d'une manière obscure. Elle va maintenant le faire d'une manière consciente et parfois voulue. Dès l'origine cette sécrétion a fixé sur les cellules nerveuses une quantité hormonale parfaitement adéquate à une activité ou à une image verbale. Cette modalité est enregistrée nerveusement et la vibration nerveuse qui en résulte aura, à chaque rappel du mot ou de l'activité, la même valeur et la même résonance. C'est cette valeur hormono-vibratoire qui donne au mot sa connotation psychologique. A cette époque de la vie, rien ne va être changé mais encore une fois, c'est d'une manière consciente et désirée par le sujet, en raison de principes supérieurs, de finalités intellectuelles, scientifiques, morales ou religieuses que l'individu pourra appliquer, grâce à sa génitale, une sécrétion donnée et particulière à une activité ou à une élaboration psychologique.
Mécanismes glandulaires de l'attention et de la volonté
Que se passe-t-il dans l'attention ? Une idée étant composée d'une vibration nerveuse et d'une hormone qui s'y trouve combinée, la génitale interstitielle a le pouvoir de maintenir active sur certaines cellules cérébrales la même valeur hormonale. Cette même valeur maintiendra dans l'esprit la même pensée pendant tout le temps que nous voudrons, c'est-à-dire le temps pendant lequel agira la génitale interstitielle. L'attention n'est que la persistance d'application d'une même hormone sur les vibrations de certaines cellules nerveuses sur lesquelles agit la sécrétion génitale.
Pour la volonté, il en est presque de même : la génitale permet d'appliquer à des cellules nerveuses et à des organes participant à une activité, une sécrétion déterminée pour parvenir à l'effectuer en dépit de sa répulsion. Sur les vibrations nerveuses figurant pour nous l'idée d'un acte, vient se greffer la sécrétion génitale qui fixe alors l'hormone particulière qui en permet l'exécution. Ce phénomène est identique à celui qui s'effectue quand nous apprenons un mouvement. De tels phénomènes sont loin de notre façon habituelle de penser et nous les trouvons fort compliqués.
C'est dû à la nécessité de l'analyse. Pourtant, rien n'est plus simple. Quand l'idée morale associée à l'idée sexuelle jaillit dans l'esprit, il en résulte une intensification fonctionnelle de la génitale puisque de telles idées ont été enregistrées sous son influence. Cette sécrétion augmente dans tout l'organisme d'où elle ne disparaît que lentement. Elle se fixe sur les neurones et les cellules cérébrales affectés par l'idée morale sous forme de vibrations nerveuses et sur de nombreux organes. Elle fait dominer dans l'organisme les agissements et les idéations en conformité avec les idées morales, elle les y impose et leur permet d'y rester.
De telles explications qui ont demandé au docteur Gautier beaucoup d'efforts synthétiques et de travail d'interprétation de réalités cachées, nous plongent de plain-pied dans l'endocrino-psychologie. Cette discipline nous montre le rôle précis et détaillé que joue la sécrétion génitale dans la formation de l'esprit et les activités intellectuelles et morales qui ne peuvent se manifester sans l'apport et le concours obligé de nos glandes endocrines.
Stimulation de l'interstitielle
Pour profiter pleinement des effets si remarquables de cette glande endocrine, le docteur Gautier avait mis au point sa méthode par électricité de haute fréquence à partir du principe de d'Arsonval. Il retira pendant des années de tels résultats dans la ré-équilibration glandulaire et la stimulation de la génitale interstitielle qu'il dit un jour de d'Arsonval qu'il méritait une place de choix parmi les plus grands génies de l'humanité. Cette méthode qui nécessite des séances assez prolongées renforce le fonctionnement de l'interstitielle, harmonise tous les fonctionnements glandulaires et procure des améliorations très notables aussi bien au niveau physiologique que psychologique et intellectuel. C'est notamment un traitement de choix pour les écoliers, les adolescents et les étudiants qui veulent réussir sur le plan de leurs études. Enfin : une note toute particulière pour tous les états d'hypothyroïdie, les états pré-mongoloïdes et fort probablement les mongoliens (trisomiques) traités assez jeunes.
Jean du CHAZAUD. La vie claire Décembre 1986
Passage d'anthologie entre la 36ème et la 42ème minute.
"L'Holocauste, mensonge énorme! Mensonge au niveau du certificat d'études primaires. C'est très simple. On veut nous faire croire 6 millions. Six millions, c'est un pays comme la Suisse.
[image du livre "L'holocauste au scanner - Témoignages oculaires ou lois naturelles" par Jürgen Graf]
Bien sûr, on peut faire tenir cette population dans la moitié de la superficie de la Suisse, dans un quart et même dans un huitième mais imaginez les dimensions du camp de concentration d'Auschwitz car c'est à Auschwitz que s'est passé ... soi-disant. Cela en tient pas debout. Premièrement. Déjà.
Ensuite, s'il y avait eu 6 millions de gens exterminés, il y aurait des cendres. Il y aurait des milliers de tonnes de cendres. Parce que 6 millions de gens, ça en fait des tonnes, croyez moi.
[Calcul personnel : 6.000.000 x 50kg en moyenne pour une personne maigre voire très maigre = 300.000.000 kg. En brûlant dles cadavres dans les fours crématoires, toute l'eau du corps (70% de la masse) disparaît ; au minimum. 300.000.000 x 0.3 = 90.000.000 kg soit 90.000 tonnes. Ce qui est un ordre de grandeur. On pourrait réduire à 40kg par personne et 20 ou 25% de cendres résiduelles mais on arriverait encore à 48.000 tonnes]
Comptez une grande boite en carton par cadavre. Alors voyez un petit peu ce que ça fait 6 millions de boites en carton comme nombre de tonnes de cendres.
Or ces cendres, si elles avaient été gazées, aurait automatiquement des traces d'acide cyanhydrique [élément principal du Zyklon B]. On n'a jamais trouvé de cendres, on n'a jamais fait analyser les cendres, on n'a jamais trouvé d'acide cyanhydrique. Bien. Énorme.
Ces chambres à gaz étaient censées jouxter les fours crématoires. Le Zyklon B est un gaz hyper-inflammable et explosif. Imaginez un peu une chambre à gaz à côté d'un four crématoire ! Ca ferait un joli feu d'artifice.
[38'02'' ... A suivre]
Le docteur Rasch (directeur technique) et le docteur Elie sont les gens qui dirigeaient la Degesh, la grande fabrique qui fournissait le Zyklon B.
[Deutsche Gesellschaft für Schädlingsbekämpfung, généralement abrégée en Degesch, littéralement « Société allemande pour le combat contre la vermine »]
Ils ont eu un procès en 1959, je crois. Ils ont dit tous les deux, en techniciens, que le fameux gazage dont on a parlé est une imbécilité technique tout à fait impossible avec leur gaz. Leur gaz était utilisé dans les services d'hygiène dans toute l'Allemagne depuis 1921. Il était destiné uniquement aux épouillages, c'est-à-dire à éviter cette chose tragique qu'il y a dans les univers concentrationnaires c'est-à-dire le typhus.
[Typhus (exanthématique). Maladie infectieuse, contagieuse, due à une rickettsie que transmet le pou, caractérisée par une fièvre élevée, une éruption rouge (exanthème) et des troubles neurologiques.]
Voilà qui est sérieux. Tout le reste, c'est de la littérature de propagande abominable et complètement idiote.
Quand on se sert de l'acide cyanhydrique pour gazer les gens, il y a une chambre à gaz qui est extrêmement complexe, qui sert pour une personne, à la rigueur deux, mais surtout une personne, qui est très complexe et horriblement coûteuse. Tout le monde peut la connaître et la voir : c'est comme ça qu'on condamne les gens à mort aux États-Unis.
Il y a un monsieur qui s'occupe de ces chambres à gaz aux États-Unis, Fred A. Leuchter. On l'a envoyé [un tribunal canadien, en 1988, dans le cadre du procès contre l'éditeur Ernst Zündel] comme expert [concepteur d'équipement d'exécution à Boston] à Auschwitz. Il a fait un rapport gros comme ça dans lequel il a conclu qu'il n'y avait pas la moindre chambre à gaz à Auschwitz.
Alors, à ce moment-là, la Pologne a demandé une contre-expertise. L'Autriche a demandé une contre-expertise. Qui n'ont fait que confirmer le rapport Leuchter. Ce qu'on ne vous dit pas. Et je vous dit : confirmé par les contre-expertises autrichienne et polonaise !
Ces documents sont connus, ils sont officiels, mais on n'en parle pas. La télévision est entre leurs mais. Pourquoi voulez-vous qu'ils vous fassent connaître le procès de la Degesh ou la contre-expertise polonaise et autrichienne ?
[40'] La preuve c'est la loi Gayssot ! Écoutez : a-t-on besoin d'une loi stalino-orwellienne pour propager la vérité ? Je pose la question. Tout le monde vous répondra non ! Par conséquent, si on a fait cette loi, cela prouve bien qu'il s'agit d'un mensonge. On n'a pas besoin de loi pour produire la vérité. La vérité, elle s'établit par les preuves et par les arguments.
Et il y a autre chose. Monsieur Faurisson, le professeur Faurisson ...
[présenté sur une image comme le continuateur en France de Paul Rassinier 1906-1967, instituteur, ancien déporté résistant, ancien député socialiste, fondateur du "révisionnisme historique" (selon Wikipédia)]
... a demandé à avoir un dialogue ouvert avec autant "d'exterminationnistes" qu'on voulait, avec un public aussi vaste qu'on voulait. On n'a jamais accordé à monsieur Faurisson ce forum. Et on ne le lui accordera jamais parce qu'on sait très bien qu'il a raison.
Wikipédia sur Paul Rassinier :
Paul Rassinier, né le 18 mars 1906 à Bermont (Territoire de Belfort) et mort le 18 juillet 1967 à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine), est un instituteur et homme politique français, engagé à gauche, devenu après la Seconde Guerre mondiale un des fondateurs du négationnisme en France avec Maurice Bardèche. Il est notamment l'un des inspirateurs de Robert Faurisson.
D'abord communiste, puis socialiste, il choisit durant les années 1930 l'option pacifiste de Paul Faure. Il entre cependant dans la Résistance où, en raison de ses convictions pacifistes, il ne participe pas à la lutte armée. Il est arrêté le 30 octobre 1943 par le Sicherheitsdienst (SD). Les coups subis lors de son interrogatoire, qui dure 21 jours, lui valent une mâchoire brisée, une main écrasée et la perte d'un rein. En janvier 1944, il est déporté vers le camp de concentration de Buchenwald d'où il est envoyé à Dora-Mittelbau.
Après la guerre, il est brièvement député SFIO de Belfort (1946), puis voulant témoigner de son expérience concentrationnaire, il se rapproche progressivement des milieux d'extrême droite, notamment de Maurice Bardèche, et devient en quelques années un des principaux représentants du négationnisme en France, tout en restant lié jusqu'à sa mort aux milieux pacifistes et anarchistes.
Paul Rassinier a donné à plusieurs reprises des informations autobiographiques, à propos, en particulier, de ses activités de résistant et de sa déportation. Une partie de ces éléments biographiques a été d'abord acceptée par les historiens (par exemple, Pierre Vidal-Naquet, dans Les Assassins de la mémoire, admettait la validité de ses descriptions de la vie dans les camps, tout en condamnant les propos négationnistes) ; ils ont également été repris par les négationnistes.
Wikipédia sur Maurice Bardèche :
Maurice Bardèche, né le 1er octobre 1907 à Dun-sur-Auron (Cher) et mort le 30 juillet 1998 à Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales), est un universitaire, écrivain, critique littéraire et polémiste français, engagé à l'extrême droite de l'échiquier politique.
Considéré comme l'un des fondateurs du négationnisme en France avec Paul Rassinier, il continua dans les années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale à se réclamer explicitement du fascisme.
Wikipédia sur Robert Faurisson :
Robert Faurisson, né le 25 janvier 1929 à Shepperton (Royaume-Uni) et mort le 21 octobre 2018 à Vichy, est un militant négationniste français.
Professeur de lycée puis maître-assistant en lettres modernes à l'université, il connaît un début de notoriété à partir de la fin des années 1960 en publiant une étude sur Rimbaud, puis un moindre succès avec sa thèse consacrée à Lautréamont. À la fin des années 1970, il accède à la célébrité à travers une série de scandales médiatiques et de procès en raison de sa négation du génocide juif. Il devient en France, à partir des années 1980, une icône des négationnismes d'extrême droite et d'ultragauche, convergeant dans les années 2000 dans une partie de l'antisionisme en Occident comme dans le monde arabo-musulman. Jugé antisémite, proche des milieux d'extrême droite, voire néonazis, il a été condamné à plusieurs reprises pour « incitation à la haine raciale » et « contestation de crime contre l'humanité ».
Figure emblématique du négationnisme, il ajoute aux auteurs fondateurs de ce courant, Paul Rassinier et Maurice Bardèche, une fixation sur la négation de l'existence des chambres à gaz. Il joue sur l'apparente crédibilité d'une démarche hypercritique pseudo-scientifique, unanimement disqualifiée dans le monde de la recherche. Qualifié de « faussaire de l'histoire » par Robert Badinter, il attaque ce dernier en diffamation mais est débouté par la justice qui acte cette qualification en 2007. Dans un jugement du 6 juin 2017, confirmé en appel le 12 avril 2018, le tribunal de grande instance de Paris établit qu'écrire que Faurisson est « un menteur professionnel », un « falsificateur » et « un faussaire de l’histoire » est conforme à la vérité.
L'abbé Pierre a demandé un débat lui aussi. On a fait semblant de l'accepter mais on le lui a refusé tout de suite après.
C'est cousu de fil blanc ! Tous les gens qui pensent un peu savent très bien que c'est une connerie.
Mais ils voient aussi à la télévision que tous les jours ça ressort. L'autre jour je vois le pseudo-historien Miquel qui nous parle encore des chambres à gaz, des six millions de pauvres juifs. Il doit être juif lui-même. S'il ne l'est pas c'est pareil : le zombie qui écrit dans un journal. Un journaliste qui veut garder sa place, il doit écrire des conneries, sinon il ne la garde pas. C'est très simple.
[...]
Je vous signale qu'il y a eu à Lugano, en Suisse, un débat entre "exterminationnistes" et "révisionnistes" et cette émission a eu un tel succès qu'elle a été reprogrammée le mois suivant. Elle a attiré l'attention d'un journal italien qui s'appelle Storia Illustrata. Il a ouvert ses colonnes à Faurisson. Mais cela n'a pas duré longtemps ; j'imagine bien comment mes congénères ont dû mettre la pression. Ils ont dû étouffer tout ça dans l’œuf.
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