vendredi 14 janvier 2022

Les populations en tireront-elles des leçons de la "crise covid" ?

La peur "du covid" provoquée artificiellement et la "fabrique du consentement" par la presse ont dévasté deux années entières d'une bonne partie de l'humanité et poussé des milliards de personnes à accepter de se faire injecter un cocktail de poisons dans le corps dont on ne comprendra les effets mortifères qu'au cours des prochaines années.

Tout ceci n'a été rendu possible que "grâce" à l'existence d'institutions publiques mondiales comme l'OMS et nationales comme les gouvernements de dizaines et de dizaines d’États dans le monde.

Les populations du monde entier vont-elles enfin comprendre que leurs malheurs ne viennent pas du fait :

- d'avoir des chefs pourris, drogués, corrompus jusqu'à la moelle, malveillants au degré extrême, violeurs d'enfants ou mangeurs de chair humaine et buveurs d'adrénochrome (j'arrête là les dérives connues ou colportées par la rumeur) 

- mais tout simplement du fait d'avoir des chefs !?

A partir du moment où il existe des institutions politiques hiérarchisées, avec des chefs au sommet, ceux-ci (et celles-ci) vont forcément abuser de leur pouvoir. C'est instinctif. Et ils vont jouïr d'abuser de leur pouvoir. Et ce sont les pires qui voudront obtenir ce pouvoir et qui utiliseront les moyens les plus dégueulasses pour s'en emparer.

La meilleur façon (et même probablement la seule façon !) de ne pas avoir de chefs pourris, c'est de ne pas avoir de chefs du tout !

Ce système politique s'appelle l'anarchie

C'est un système fait :

- de décisions en démocratie directe où la communauté, petite ou grande (la technologie le permet), décide elle-même ses règles, celles qu'elle va subir avec son consentement

- mais où la majorité n'impose pas sa décision. C'est un système sans coercition, toujours en recherche de consensus, de compromis, de libre adhésion.

Il faut abolir l’État en tant que système politique et surtout éviter l'instauration de son expression ultime "le Nouvel Ordre Mondial". Il faut revenir à des sociétés à taille humaine, celle d'un village ou d'un quartier, limité à quelques milliers de personnes (moins de 3 ou 4000 probablement). Dans un tel contexte, les décisions pourront être prises collégialement, avec toutes les personnes qui voudront donner de leur temps. 

Si la décision requiert au moins deux ou plusieurs quartiers/villages, des porte-paroles pourront être désignés mais avec un mandat impératif (c'est-à-dire sans pouvoir de décision indépendant des décisions du groupe qui l'a mandaté). 

Ce processus de subsidiarité ascendante permet de passer de l'échelle de quelques milliers (la base de la commune) à des dizaines de milliers (canton), des centaines de milliers (département), des millions (région), des dizaines de millions (pays), des centaines de millions (continent) et des milliards (monde) selon les enjeux à discuter.

Un autre monde est à bâtir. Une société planétaire sans État et donc avec des populations libres de leurs choix.

A méditer !


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