lundi 17 mai 2021

Rapport catastrophique sur la vaccination en Israël

 


Le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’éminents experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril sur les effets secondaires du vaccin Pfizer. Les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux.

Les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. Leur verdict est qu’« il n’y a jamais eu de vaccin qui ait nui à autant de personnes ». Le rapport est long et détaillé. Je ne citerai que quelques-unes des conclusions les plus dévastatrices présentées dans le rapport.

« Nous avons reçu 288 rapports de décès autour de la vaccination (90 % jusqu’à 10 jours après la vaccination), 64 % d’entre eux étaient des hommes ». Pourtant, le rapport indique que « selon les données fournies par le ministère de la Santé, seuls 45 décès en Israël étaient liés à la vaccination ».

Si les chiffres ci-dessus sont sincères, alors Israël, qui prétendait mener une expérience mondiale, n’a pas véritablement rendu compte des résultats de son expérience. Nous entendons souvent parler de caillots sanguins causés par le vaccin AstraZeneca. Par exemple, nous avons appris ce matin l’existence de 300 cas de caillots sanguins en Europe. Toutefois, si les conclusions de l’IPC sont authentiques, le vaccin Pfizer pourrait être associé à plus de décès en Israël seulement que le vaccin AstraZeneca dans toute l’Europe.

« Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22 % de la mortalité globale en Israël par rapport à l’année précédente. En fait, janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

L’IPC constate que « dans le groupe d’âge des 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité globale a été la plus spectaculaire. Dans ce groupe d’âge, on constate une augmentation de 32 % de la mortalité globale par rapport à l’année précédente ».

« L’analyse statistique des informations du Bureau central des statistiques, combinée aux informations du ministère de la Santé, permet de conclure que le taux de mortalité parmi les vaccinés est estimé à environ 1 : 5000 (1 : 13000 chez les 20-49 ans, 1 : 6000 chez les 50-69 ans, 1 : 1600 chez les 70 ans et plus). Selon cette estimation, il est possible d’estimer le nombre de décès en Israël, autour du vaccin, à ce jour, à environ 1000-1100 personnes. »

Encore une fois, si cette analyse statistique est correcte, alors les chiffres rapportés par les autorités sanitaires israéliennes sont trompeurs de plus de 22 fois.

Ceux qui suivent mes écrits sont au courant de mon travail sur la corrélation indéniable entre la vaccination, les cas de Covid-19, les décès et la propagation des souches mutantes. L’IPC confirme mon observation, en fournissant des informations plus cruciales concernant les groupes d’âge.

« Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour, dans une fourchette allant jusqu’à 10 jours, dans tous les groupes d’âge. Les 20-49 ans - une fourchette de 9 jours entre la date de la vaccination et la mortalité, les 50-69 ans - 5 jours entre la date de la vaccination et la mortalité, les 70 ans et plus - 3 jours entre la date de la vaccination et la mortalité. »

L’IPC révèle également que « le risque de mortalité après le second vaccin est plus élevé que le risque de mortalité après le premier vaccin ».

Mais la mort n’est pas le seul risque lié à la vaccination. L’IPC révèle que « à la date de publication du rapport, 2066 rapports d’effets secondaires se sont accumulés et sont parvenus au Comité d’enquête civ ; il et les données continuent d’arriver. Ces rapports indiquent des dommages à presque tous les systèmes du corps humain....Notre analyse a révélé un taux relativement élevé de lésions cardiaques, 26 % de tous les événements cardiaques sont survenus chez des jeunes jusqu’à l’âge de 40 ans, le diagnostic le plus courant dans ces cas étant la myosite ou la péricardite. On a également observé un taux élevé de saignements vaginaux massifs, de lésions neurologiques et de dommages aux systèmes squelettique et cutané. Il convient de noter qu’un nombre important de rapports d’effets secondaires sont liés, directement ou indirectement, à l’hypercoagulabilité (infarctus), l’infarctus du myocarde, l’accident vasculaire cérébral, les fausses couches, l’altération de la circulation sanguine dans les membres, l’embolie pulmonaire ».

En Israël, le gouvernement cherche désespérément à vacciner les enfants. L’IPC souligne qu’une telle démarche peut être désastreuse.

« À la lumière de l’étendue et de la gravité des effets secondaires, nous souhaitons exprimer la position du comité selon laquelle la vaccination des enfants peut également entraîner chez eux des effets secondaires, tels qu’observés chez les adultes, y compris la mort d’enfants en parfaite santé. Comme le coronavirus ne présente aucun danger pour les enfants, le comité estime que l’intention du gouvernement israélien de vacciner les enfants met en danger leur vie, leur santé et leur développement futur. »

L’IPC souligne qu’« il n’y a jamais eu de vaccin qui ait affecté autant de personnes ! Le système américain VARES présente 2204 rapports de mortalité de personnes vaccinées aux États-Unis au premier trimestre 2021, un chiffre qui reflète une augmentation de milliers, en pourcentage, par rapport à la moyenne annuelle, qui s’élevait à 108 rapports par an ».

Je dois mentionner que le travail de l’IPC a été très peu couvert par la presse israélienne. Ces experts de la santé font un travail courageux, sachant que leur licence d’exercice de la profession médicale et leurs moyens de subsistance sont gravement menacés.

Gilad Atzmon
 

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