Une enquête menée auprès de 300.000 personnes non vaccinées contre le Covid‑19 a révélé que celles-ci n’avaient pas représenté une charge supplémentaire pour les systèmes de santé – en réalité, ces personnes ont connu des taux très faibles d’hospitalisation et de maladie grave.
Il y a eu très peu d’études sur la façon dont les personnes qui ont choisi de se fier à leur immunité et aux produits naturels réagissent face au Covid‑19, par rapport à celles qui ont accepté les vaccins génétiques contre le Covid‑19.
Les rares études qui ont été réalisées combinent le plus souvent des personnes vaccinées avec des non vaccinées, comme le montrent les données britanniques du professeur Norman Fenton et de son groupe, à l’université de Londres Queen Mary University of London.
C’est différent pour la première publication de l’analyse des données d’enquête du projet international Control Group – également connu sous le nom de Vax Control Group.
Ce projet, mené par des citoyens, a été lancé par une coopérative d’Eastbourne (Royaume‑Uni), la Control Group Cooperative, et compte plus de 300.000 souscripteurs.
Rob Verkerk, Ph.D., du groupe de défense Alliance for Natural Health, a dirigé une équipe comprenant le Dr Naseeba Kathrada (médecin généraliste d’Afrique du Sud, du groupe Caring Healthcare Workers Coalition), Christof Plothe D.O. (praticien en médecine intégrative et ostéopathique en Allemagne) et le Dr Kat Lindley (médecin de famille aux États‑Unis), qui a rassemblé, analysé et interprété les données des cinq premiers mois d’enquête auprès des participants du « groupe témoin ».
Les données de l’enquête offrent des révélations importantes, en particulier celles‑ci :
‑ Les participants du « groupe de contrôle » non vaccinés ne sont pas
responsables d’une charge disproportionnée pour les systèmes de santé –
en réalité, ce fut tout le contraire, ils ont connu des taux
d’hospitalisation très faibles, et la maladie grave du Covid‑19 est
rare ;
‑ Ils sont plus susceptibles de se soigner eux‑mêmes, en utilisant des
produits naturels comme la vitamine D, la vitamine C, le zinc et la
quercétine ;
‑ Beaucoup ont utilisé l’ivermectine et l’hydroxychloroquine ;
‑ Les femmes ont souffert d’anomalies menstruelles et hémorragiques bien
qu’elles n’aient pas été vaccinées, probablement en raison de
l’exposition aux protéines de pointe et de l’excrétion ;
‑ Leur santé mentale a été considérablement affectée, peut‑être aggravée
par le fait qu’ils ont été stigmatisés par la société dominante
« vaccinée » ;
‑ Ils ont été victimes d’une forte discrimination en raison de leur
décision d’exercer leur droit au consentement éclairé et de refuser de
recevoir des « vaccins génétiques ».
Voici un communiqué de presse :
Une enquête internationale révèle que de ne pas avoir reçu de vaccin entraîne une diminution des hospitalisations
Une enquête internationale menée auprès d’un « groupe témoin » conscient de sa santé, qui comprend plus de 300.000 personnes ayant choisi d’éviter la vaccination contre le Covid‑19, montre que les participants constituent une charge minime pour les systèmes de santé, car ils se fient fortement à l’immunité naturelle, à l’autogestion de la santé et à l’utilisation de compléments alimentaires naturels pour prévenir, voire traiter, le Covid‑19.
Pourtant, ce groupe est confronté à une discrimination infondée, à des pertes d’emploi et à des problèmes de santé mentale intensifiés par sa marginalisation dans la société dominante.
L’enquête sur les participants du « groupe témoin » comprend un sous‑groupe de plus de 305.000 participants de plus de 175 pays, qui ont rejoint le projet citoyen et choisi de ne pas recevoir les vaccins contre le Covid‑19.
Les résultats, qui viennent d’être ajoutés au serveur d’études prépubliées ResearchGate, montrent qu’au cours des cinq mois de l’enquête (de septembre 2021 à février 2022 inclusivement), les participants ont souffert d’un faible taux de maladie grave liée au Covid‑19, ont rarement été hospitalisés et ont largement utilisé des produits de santé naturels pour la prévention et le traitement du Covid‑19 léger à modéré.
Les données de ces cinq premiers mois de l’enquête du groupe témoin ont été analysées et interprétées par une équipe internationale indépendante dirigée par Robert Verkerk Ph.D., un scientifique multidisciplinaire et le fondateur, directeur exécutif et scientifique de l’Alliance for Natural Health International, une organisation à but non lucratif.
Parmi les co‑auteurs figurent trois cliniciens, le Dr Naseeba Kathrada d’Afrique du Sud, Christof Plothe D.O. d’Allemagne et le Dr Katarina Lindley des États‑Unis.
Les auteurs se sont réunis pour évaluer les données de l’enquête, grâce à leur collaboration des derniers mois avec le Conseil mondial de la santé, une coalition mondiale à but non lucratif d’organisations axées sur la santé et de groupes issus de la société civile.
Les résultats de l’enquête sont basés sur une sous‑cohorte d’environ 18.500 participants du groupe de contrôle qui ont rempli des questionnaires sur une base mensuelle, au cours des cinq premiers mois de l’enquête.
Avec les nombreuses données recueillies, l’enquête a permis de déterminer les raisons pour lesquelles les participants évitaient les vaccins. La méfiance à l’égard des gouvernements et des sociétés pharmaceutiques, ainsi que les inquiétudes quant aux effets indésirables de vaccins insuffisamment testés figurent en tête de liste.
Les participants ont fait état d’importants problèmes de santé mentale, qui ont pu être aggravés par la stigmatisation et la discrimination dont ceux qui évitent les vaccins contre le Covid‑19 sont victimes.
Il a également été constaté que les femmes, bien que non vaccinées contre le Covid‑19, souffraient d’anomalies menstruelles et hémorragiques pouvant être associées à l’exposition virale, à l’excrétion, à l’exposition à la protéine de pointe ou à des changements de comportement liés à la pandémie. Ceux qui n’ont jamais porté de masque ont rapporté les niveaux les plus bas de la maladie.
Étant donné que les participants sont autosélectionnés et qu’ils se sont auto‑déclarés, les résultats de l’enquête doivent être interprétés avec prudence, lorsqu’on les compare à des statistiques nationales ou à des études basées sur des populations sélectionnées au hasard.
Le projet Control Group, basé au Royaume‑Uni, a été créé à la mi‑2021, sous la forme d’une coopérative dirigée par des citoyens qui vise à évaluer les résultats sanitaires à long terme parmi les personnes non vaccinées contre le Covid‑19, et à mettre ses membres en relation avec des réseaux de soutien nationaux et des groupes communautaires en ligne.
© 2022 Alliance for Natural Health International. Cet ouvrage est reproduit et distribué avec l’autorisation de l’Alliance for Natural Health International.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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