Alors que terminais la relecture de l’article qui devait être publié
dans cette lettre confidentielle, article consacré à « l’aide à mourir »
ou à l’organisation par les politiciens d’assassinats ciblés, la
nouvelle est tombée sur X : « Joe Robinette Biden, Président des
États-Unis, Keir Starmer, Premier ministre britannique, et l’Éborgneur
en chef des Gilets Jaunes, Emmanuel Macron, auraient autorisé Zelensky à
envoyer leurs missiles à longues portées contre le territoire russe.
Mon article sur « l’aide à mourir » sera publié un autre jour, je
préfère réagir « à chaud » à cette sinistre nouvelle dont on ne sait si
elle ne va pas déboucher sur des tirs de missiles nucléaires.
Nous sommes le 17 novembre 2024 et Vladimir Poutine a réagi très calmement, comme à son habitude
Interrogé sur cette décision des trois « responsables » occidentaux,
Vladimir Poutine a sobrement précisé que le conflit ukrainien changeait
de nature, car seuls des militaires de l’OTAN auraient la capacité
technique d’envoyer ces missiles à longues portées sur le territoire
russe, et qu’en ce cas, cela équivaudrait à une guerre entre les pays
membres de l’OTAN et la Russie.
Ils
ne veulent pas que Donald J. Trump prenne ses fonctions le 20 janvier
2025, et ils espèrent pouvoir imposer l’état d’urgence et la suspension
des Constitutions et des libertés publiques en cas de réaction de
Vladimir Poutine
Les choses semblaient trop bien se passer aux États-Unis, où les
démocrates et « Deep State » (« État Profond ») étaient apparemment
défaits et que des sourires s’affichaient longuement sur les visages des
défenseurs de nos droits d’être humain et de nos libertés fondamentales
à chaque nouvelle nomination faite par Donald J. Trump.
Comment ne pas sourire, d’ailleurs, à la nomination de Robert F.
Kennedy Jr. au poste de ministre de la Santé, de Tulsi Gabbard comme
Directrice du renseignement national, de Kash Patel à la tête du FBI, de
Matt Gaetz comme ministre de la Justice, ou encore d’Elon Musk et de
Vivek Ramaswamy à la tête d'un nouveau département appelé le
« Department of Government Efficiency » (DOGE) ?
Nos sourires et nos espoirs vont-ils se transformer en larmes et en désespoirs ?
Donc, ils ne veulent pas que Donald J. Trump prenne ses fonctions le 20
janvier 2025, et ils espèrent pouvoir imposer l’état d’urgence et la
suspension des Constitutions et des libertés publiques en cas de
réaction de Vladimir Poutine.
À part une double procédure d'impeachment votée en urgence contre Biden
et Harris, ce qui permettrait à Mike Johnson, le Président de la
Chambre des représentants, d’assurer la présidence des États-Unis
jusqu'au 20 janvier 2025, qu’est-ce qui pourrait permettre à Trump de
nous sortir de ce bourbier ?
Outre cette double procédure d'impeachment, quels autres moyens
auraient la capacité d'éviter un risque de guerre entre l'OTAN et la
Russie, donc entre la France et la Russie, dès que le premier missile
fabriqué aux États-Unis, en Angleterre ou en France, aura atteint le
territoire russe ?
La paix et notre sécurité reposeraient-elles désormais sur Vladimir Poutine ?
Si Vladimir Poutine décide de réagir à l’envoi de missiles occidentaux
sur le territoire russe (on ne voit pas comment il pourrait ne pas
réagir, surtout si Trump est menacé de ne pas pouvoir prêter serment le
20 janvier 2025), espérons qu’il se contentera de cibles militaires
situées loin de toute habitation de civils.
« Et moi j’attends, sachant quel est l’enfer d’attendre »
« Et moi j’attends, sachant quel est l’enfer d’attendre », écrit William Shakespeare dans son sonnet N° 58…
Lorsque l’on sait que les psychopathes qui sont actuellement à la tête
des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France, sont prêts à prendre le
risque d’une guerre nucléaire contre la Russie, qui n’a pourtant rien
fait contre ces pays, et qui s’est contentée, après avoir prévenu, de
porter secours et assistance aux populations russophones de l’est de
l’Ukraine, ce qu’aurait dû organiser l’ONU, on se dit que, nous
également, risquons de connaître « l’enfer d’attendre ».
Comment vont réagir Donald J. Trump et son équipe ? Sont-ils menacés par une éventuelle déclaration d’État d’urgence ?
Là encore, l’attente de savoir ce qu’il en est risque d’être angoissante à beaucoup.
À l’heure où j’écris ces lignes, à ma connaissance, seul son fils ainé,
Donald Trump Jr. (né le 31 décembre 1977), se serait exprimé en
déclarant : « Le complexe militaro-industriel semble vouloir s'assurer
de déclencher la troisième guerre mondiale avant que mon père n'ait eu
la chance de créer la paix et de sauver des vies. »
Comment pouvons-nous attendre en prenant de bonnes décisions ?
Entre le risque réel et peut-être souhaitable de blocage de Rungis, et
celui, non souhaitable, d’une guerre entre la France et la Russie, des
amis me recommandent de faire des provisions de nourriture en achetant,
dès le 18 novembre 2024, plusieurs dizaines de kilos de riz, plusieurs
litres d’huile d’olive, une centaine de litres d’eau potable, des
antibiotiques, de l’ivermectine, du zinc, de la vitamine C, de vitamine D
et des antihistaminiques.
Je pense que je vais les écouter.
Je vais les écouter et je vais également me procurer les ingrédients
nécessaires à la préparation de quelques décoctions dont je vous
donnerai les formules dans une prochaine lettre.
S’ils n’ont pas détruit d’ici là.
Courage, protégeons-nous, ne baissons pas les bras et ayons un moral d’acier !