Source : https://www.youtube.com/shorts/57iav6EtLnQ
L'intitulé "Juste mon opinion" s'applique à la politique, la philosophie, la religion, l'esthétisme, l'humour ... Mais "ça m'intéresse" aurait tout à fait convenu comme titre pour ce blog étant donné les nombreux autres thèmes abordés et les articles encyclopédiques : sur l'histoire, les sciences, etc, sans oublier les sports. La plupart des articles sont issus de recherches sur le net et de lectures personnelles. Sources indiquées en fin d'article.
Le philosophe Alexandre Dianine-Havard est l'invité de Jérôme Blanchet-Gravel aux grandes entrevues. De passage à Montréal, il plaide pour le retour du «cœur» dans un monde rationaliste et froid dominé par «la tête». Installé à Moscou, ils nous parle aussi du conflit qui oppose la Russie à l’Ukraine, puis du grand affrontement à venir entre la liberté et la tyrannie.
Le conflit israélo-palestinien dépasse largement la simple question territoriale. Il s’inscrit dans une dynamique messianique et géopolitique où le sionisme millénariste se mêle aux stratégies impérialistes occidentales. Derrière les apparences d’un affrontement entre deux peuples, c’est un choc des civilisations orchestré qui se joue, avec des répercussions bien au-delà du Moyen-Orient.
Le projet sioniste, autrefois laïc, s’oriente désormais vers une vision théocratique et expansionniste. La reconstruction du Troisième Temple à Jérusalem n’est plus une simple utopie pour certains cercles messianiques influents, mais un objectif concret, impliquant l’expulsion massive des Palestiniens. Pendant ce temps, la destruction des États voisins d’Israël, de la Syrie à l’Irak, facilite son hégémonie régionale sous couvert d’ingérences occidentales.
L’Europe, quant à elle, reste sous tutelle néoconservatrice. Son alignement aveugle sur Washington et Tel-Aviv a renforcé sa soumission à un agenda globaliste, où chaque crise géopolitique sert à légitimer une mainmise accrue sur les nations souveraines. La guerre en Ukraine en est un nouvel exemple : un prétexte idéal pour resserrer l’étau atlantiste et empêcher toute indépendance stratégique.
Mais ce choc des civilisations n’est pas naturel : il est fabriqué. L’islamisme radical, largement encouragé par les services occidentaux et israéliens, a permis de justifier des décennies d’interventions militaires et de chaos organisé. Cette ingénierie du conflit place l’Europe face à un dilemme artificiel : soutenir Israël au nom de la lutte contre le terrorisme ou défendre la Palestine en s’alliant aux mouvances mondialistes.
Il est temps de briser cet engrenage et de restaurer une vision géopolitique souveraine, libérée des dogmes atlantistes et sionistes. Mais l’Europe a-t-elle encore les moyens d’échapper à cette emprise, ou son destin est-il déjà scellé ?
Youssef Hindi, Pierre-Antoine Plaquevent et Mike Borowski mettent cartes sur table, en direct sur Géopolitique Profonde !
Alors que Xavier Poussard publie son livre "Becoming Brigitte", en anglais, et "Devenir Brigitte", en français, on pourrait penser que c'est l'aboutissement d'une enquête laborieuse et dangereuse.
Cher Xavier Poussard,
Après la série de vidéos de Candace Owens et la sortie de votre livre Devenir Brigitte, des points essentiels restent sans réponse concernant votre théorie sur Brigitte Macron / Jean-Michel Trogneux, ce qui jette un doute sérieux sur l’ensemble de vos recherches.
Merci de répondre à nos 10 questions afin de montrer votre bonne foi :
1. Quelle est l’identité réelle de l'homme vivant dans l'appartement d'Amiens au nom de Jean-Michel Trogneux, qui a porté plainte sous le même nom contre Natacha Rey et Delphine Jégousse, qui bénéficie d’un numéro de Sécurité sociale à ce nom, d’une voiture et d’une plaque d’immatriculation à ce nom, de titres de propriété et autres actes administratifs à ce nom (naissance, mariage dont Brigitte Trogneux a été le témoin) ?
2. Pourquoi n’avez-vous jamais rencontré cet homme, alors qu’il est au cœur de vos recherches et de vos accusations ?
3. Pourquoi ne croyez-vous pas son ex-femme Véronique Dreux qui rejette absolument votre théorie ?
4. De qui (mari et femme) seraient, selon vous, les enfants de Jean-Michel Trogneux ?
5. Pourquoi Candace Owens n’a-t-elle pas révélé l’identité du "petit gros" alors qu’elle l’avait promis ?
6. Certains internautes ayant testé Face ++ ont trouvé des résultats totalement contraires aux vôtres, validant pour leur part que Jean-Michel Trogneux et Brigitte Macron sont bien ceux qu’ils prétendent être. Dès lors, pensez-vous toujours que Face ++ est un outil de qualité pour prouver votre théorie ?
7. Quels sont les arguments factuels, hors Face ++, qui permettraient de douter du fait que Brigitte née Trogneux soit effectivement Brigitte Macron ?
8. Puisque selon vous, Brigitte Macron n'est pas la mère de Tiphaine, Laurence et Sébastien, quelle est l’identité réelle de leur véritable mère ?
9. Si Brigitte Trogneux est, comme vous le dites, le véritable Jean-Michel Trogneux, qu’est devenue la vraie Brigitte Trogneux ?
10. Pourquoi avoir refusé tous les débats contradictoires qui vous ont été proposés au sujet de votre thèse ?
Des réponses s’imposent, accompagnées des preuves, pour dissiper les doutes et prouver la crédibilité de votre démarche.
Transparence ? 👀 #Questions #BrigitteMacron
Question bonus : Pour votre livre, avez-vous reçu l’autorisation d’utiliser vos nombreuses photos, dont certaines sont privées, issues du dossier judiciaire, voire sous copyright ?
En attendant vos réponses, cher Xavier Poussard,
Bien à vous,
Selon Paul-Eric Blanrue, le "petit gros" de la question n°5 serait Jean-Michel Trogneux lui-même :
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Admettons que le logiciel de reconnaissance faciale chinois soit bien utilisé par Xavier Poussard, et donc mal utilisé par Paul-Eric Blanrue, l'enquête n'en serait pas moins inachevée !
Quel est le lien entre Emmanuel Macron, l'époux de Brigitte Macron, et Jean-Jacques Trogneux, censé être le neveu de Brigitte Macron ? Le détournement de mineur avec abus de position d'autorité ne basculerait-il pas dans l'inceste ?!
Le vice-président JD Vance allume la mèche, Donald Trump embraie et s'emporte, Volodymyr Zelensky peine à en placer une: la visite vendredi du président ukrainien à la Maison Blanche a tourné à l'empoignade.
Tout n'avait pourtant pas si mal commencé.
Le président américain, qui n'a de cesse de vanter sa proximité avec son homologue russe Vladimir Poutine, sort à la rencontre du chef d'Etat ukrainien, lui serre la main avant de l'entraîner à l'intérieur.
Il fait même une blague sur la désormais célèbre tenue aux accents militaires de son invité: "Il s'est fait très élégant", lance aux journalistes Donald Trump, qui est lui, bien sûr, en costume et cravate.
Dans le Bureau ovale, devant la presse, le président ukrainien explique un peu plus tard qu'il remettra un costume de ville une fois la guerre finie, et Donald Trump lance même: "J'aime bien sa tenue".
Le président américain appelle l'Ukraine à accepter "des compromis". Volodymyr Zelensky plaide à l'inverse pour ne faire aucune concession au président russe, ce "tueur", montre des photos du conflit destinées à émouvoir son hôte.
La tension gagne un peu quand Donald Trump déplore la "haine" de Volodymyr Zelensky pour Vladimir Poutine. Le chef d'Etat urkainien s'agite dans son fauteuil mais ne dit rien.
- "Propagande" -
Puis le ton monte, d'un coup. Et c'est le fait de JD Vance, assis sur un canapé, et qui a récemment sidéré l'Europe avec un discours d'une dureté inédite à Munich (Allemagne).
Le vice-président appelle à miser sur la "diplomatie" pour mettre fin à la guerre déclenchée il y a trois ans par l'invasion de la Russie.
Volodymyr Zelensky, aussi calmement qu'il le peut, exprime son désaccord et fait valoir que Vladimir Poutine, après avoir annexé la Crimée en 2014, n'avait ensuite jamais tenu parole concernant l'Ukraine.
L'exposé hérisse JD Vance. Il accuse le président ukrainien de "manquer de respect" à Washington.
Puis le vice-président, froidement, reproche à Volodymyr Zelensky de "forcer des conscrits" à aller se battre.
Le chef d'Etat ukrainien se tend. "Avez-vous déjà été en Ukraine?", demande-t-il.
JD Vance réplique qu'il ne fera certainement pas une visite "de propagande".
Volodymyr Zelensky, bousculé, essaie de se défendre. Il prédit que les Etats-Unis, bien que séparés de l'Europe par un océan, finiront bien par "sentir" les effets de la guerre.
Et c'est là que Donald Trump s'emporte.
"Ne nous dites pas ce que nous allons sentir", lance-t-il.
Le chef d'Etat de la première puissance mondiale gesticule, sa voix ne cesse de gonfler. Volodymyr Zelensky se tient raide dans son fauteuil, pieds plantés dans le sol, les bras croisés. A un moment il se détourne brièvement, l'air incrédule, comme s'il cherchait à se contenir.
- "Un grand moment de télévision" -
Sur le visage de l'ambassadrice ukrainienne aux Etats-Unis, la consternation gagne. On la voit baisser la tête et porter la main à ses yeux.
"Vous vous êtes mis dans une très mauvaise position. Vous n'avez pas les cartes en main (...). Vous jouez avec la troisième guerre mondiale et ce que vous faites est très irrespectueux envers notre pays", assène le président américain.
L'échange se poursuit, pendant une poignée de minutes, devant des journalistes médusés.
Donald Trump, de plus en plus énervé, qui va jusqu'à poser la main sur l'épaule de Volodymyr Zelensky pour le pousser, et JD Vance, absolument calme, rivalisent d'attaques.
"Avez-vous seulement dit merci?", intervient le vice-président.
Le président ukrainien peine à se faire entendre.
Quand Donald Trump assure que sans aide militaire américaine la guerre serait finie "en deux semaines", le chef d'Etat ukrainien, que l'on sent excédé, lance cette pique: "En trois jours. C'est ce que j'ai entendu de Poutine."
Le président américain porte le coup final en menaçant son invité: "Concluez un accord ou nous vous laissons tomber".
Il met fin à la réunion, au moins dans sa partie publique, en renvoyant la presse du Bureau ovale.
De cet échange, dont il est immédiatement évident qu'il marquera l'histoire des relations internationales, Donald Trump dit alors: "Je pense que nous en avons vu assez. Cela va faire un grand moment de télévision."
Peu après, Volodymyr Zelensky repart, prématurément, mais les proches de Donald Trump poursuivent la charge, en particulier sur le réseau social X.
Un conseiller du président américain y publie le menu du déjeuner de travail prévu avec la délégation ukrainienne, en précisant que le poulet rôti et la crème brûlée ont finalement été dégustés par des officiels américains. "Des places se sont libérées", ironise-t-il.
aue/ph