Le mouvement des "gilets jaunes" a été créé par le pouvoir pour détourner l'attention vis-à-vis du Pacte de Marrakech (Pacte mondial sur les migrations) consistant à organiser les migrations de masse. Un projet cher à George Soros et ceux qu'il représente. Il ne devait durer que deux ou trois semaines. Et avait même été "prophétisé" par The Economist.
mardi 1 avril 2025
Réponse à "Je souhaite de tout cœur que ce mouvement [les gilets jaunes] reprenne".
vendredi 28 mars 2025
Serons-nous tous Vivants en 2027 ? | Thierry Casasnovas
Par ce que nous n'arrivions plus à y croire.. Une lueur d'espoir rejaillit à travers une démarche inattendue sur les pas de précurseurs qui ont disparu mystérieusement mais qui ont participé activement à l'insurrection des consciences.
Par ce que 2027 c'est demain.
Par ce que la mascarade a trop duré.
Par ce que le vivant est en danger !
Thierry Casasnovas, acteur incontournable du changement, nous fait l'honneur de présenter son plan d'action. Une candidature improbable. Un pari osé face à un jeu totalement truqué qu'il est désormais temps de renverser.
jeudi 27 mars 2025
Discussion à partir d'un constat vu sur Facebook : "Quand le calcul est fait 65% de nos revenus sont donnés à l’Etat !!! Enorme !!!
191 – AJ Holbecq: L’arnaque de la dette
Article paru sur le site de « Debout La République » le mardi 10 mai 2011
La réactualisation des données de la dette publique à fin 2010 est sur le site « dette et monnaie »
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Jusqu’en 1973, lorsque l’État avait besoin de trésorerie, il demandait à la Banque de France de le financer, de la même manière que procède toute entreprise ou ménage envers sa banque commerciale : en lui signant une « reconnaissance de dette ».
L’exception européenne
C’est à Valéry Giscard d’Estaing, alors ministre des finances, que nous devons la loi du 3 janvier 1973 dont l’article 25 précisait « Le trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France », interdisant donc le financement direct de l’État par la Banque de France. Cette loi a été confirmée par l’article 104 du Traité de Maastricht – devenu 123 du Traité de Lisbonne. Cette interdiction, n’est, dans aucune autre zone monétaire, gravée ainsi dans le marbre d’un Traité !
En clair la France (de même que les pays
de la zone euro) est obligée d’emprunter sur les marchés financiers, en
payant des intérêts, les besoins monétaires qu’elle ne peut couvrir par
des recettes budgétaires. Pourtant, des pays tels les USA, la Grande
Bretagne ou le Japon, n’hésitent pas à se servir de la possibilité de
monétisation directe par leur Banque Centrale lorsque les besoins de
leur économie le nécessitent [ A-J Holbecq: erreur de ma part dénoncée et argumentée par Chris06 dans les commentaire à partir de celui-ci le 1 er août : il n’y a pas de monétisation directe mais toujours monétisation indirecte: J’ai fait mon « mea culpa » dans l’article « 198- perseverare diabolicum« ]
. Chez nous, les banques peuvent emprunter à 1% à la BCE et prêter aux États à 3, 5 ou 7% et parfois plus.
L’augmentation annuelle de cette dette publique de 1980 à fin 2009 correspond, bon an mal an, aux intérêts de la dette, dans un effet boule de neige. En euros constants la dette est passée de 239 milliards d’euros (21% du PIB) fin 1979 à 1489 milliards d’euros (78% du PIB) fin 2009, soit une augmentation de 1250 milliards d’euros. Sur la même période, nous avons payé environ 1340 milliards d’euros d’intérêts aux différents prêteurs privés (banques et établissements de crédits, fonds de pension, assurances-vie…).
Mais direz vous, nous sommes bien obligés de payer des intérêts à nos prêteurs !
Oui, et justement puisque nous devons, dans le système actuel, emprunter chaque année sensiblement l’équivalent de ces intérêts qu’il faut payer, non seulement nous ne pourrons jamais rembourser, mais en plus la dette continuera à croitre alors que nous avons une obligation d’honnêteté envers les épargnants qui ont fait confiance à la signature de la France.
Pourtant, nous pourrions imposer à la Banque de France de monétiser chaque année une somme raisonnable pour alléger le poids de cette dette dont le paiement des intérêts pèse aujourd’hui sur les services publics essentiels de notre nation (éducation nationale, sécurité sociale, sécurité…) .
Ah, je vous entends « mais c’est la planche à billet, c’est l’inflation assurée… »
Tout d’abord, il faut noter
qu’aujourd’hui, ce sont les banques privées qui ont la responsabilité de
la création de la monnaie et qui ont provoqué une immense inflation du
prix des actifs pendant les années 2000, qui a mené à la pire crise
économique depuis 80 ans. En effet, la masse monétaire a progressé de
près de 10% par an dans la zone euro jusqu’à la crise.
Aujourd’hui, la quantité de monnaie en circulation en France est
d’environ 1900 milliards d’euros (agrégat M3). La BCE considère qu’une
augmentation annuelle de plus ou moins 5% n’est pas inflationniste.
C’est donc une centaine de milliards de monnaie nouvelle qui peuvent
être émis chaque année sans effet inflationniste.
Comment pourrons-nous rembourser ces épargnants qui détiennent cette «
dette de la France » sans les léser, qu’ils soient français ou étranger,
qu’ils aient placés leur épargne au sein de fonds de pensions ou
d’obligations détenues par des assurances vies ?
Bien que la vente par les administrations publiques des actifs monétaires qu’elles détiennent permettrait instantanément la réduction de plus de 700 milliards d’euros de la dette, restons dans l’hypothèse d’une nécessité de remboursement de la dette brute « au sens de Maastricht » estimée au début de cette année 2011 à 1600 milliards d’euros.
En fait la solution est simple et ne nécessite que la volonté politique.
Prenons les hypothèses d’un budget global
dont le solde primaire est équilibré (recettes – dépenses hors charges
d’intérêts) et d’un taux d’intérêt moyen sur les obligations d’État de
3%.
Si nous décidions de monétiser chaque année 100 milliards d’euros, la
première année, 48 milliards d’euros serviront au paiement des intérêts
et il resterait 52 milliards en remboursement du capital de la dette. Le
solde résiduel deviendrait donc 1548 milliards d’euros. L’année
suivante, c’est 46 milliards d’euros d’intérêts, 54 milliards de
remboursement du capital et une dette ramenée à 1494 milliards d’euros.
Et ainsi de suite.
En 22 ans la dette serait totalement remboursée aux actuels détenteurs,
sans en léser aucun ni sur le capital investi, ni sur les intérêts
attendus chaque année. La dette et les intérêts payés pendant cette
période de remboursement seront simplement transférés sous forme de
nouvelles obligations à l’actif du bilan de la Banque de France. Il est à
noter qu’il faudrait 39 ans avec une monétisation annuelle de 70
milliards d’euros.
D’ailleurs, Maurice Allais, notre seul prix Nobel d’économie affirmait que : « La création monétaire doit relever de l’État et de l’État seul. Toute création monétaire autre que la monnaie de base par la Banque centrale doit être rendue impossible, de manière que disparaissent les « faux droits » résultant actuellement de la création de monnaie bancaire ». Cette création monétaire, bien public, actuellement confiée à des banques privées auxquelles il est pourtant difficile de faire confiance doit revenir dans le giron de la collectivité. C’est aussi ce qui permettra d’honorer la dette sans asphyxier notre économie.
André-Jacques Holbecq
Économiste et auteur de :
Argent, dettes et banques, éditions Yves Michel, 2010
La dette publique, une affaire rentable, en collaboration avec
Philippe Derudder (préface d’Étienne Chouard) – éditions Yves Michel
2008 – 2° édition réactualisée mars 2011
198 – perseverare diabolicum
A-J Holbecq fait son mea culpa…
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Dans l’article 191 , j’ai écrit
En clair la France (de même que les pays de la zone euro) est obligée d’emprunter sur les marchés financiers, en payant des intérêts, les besoins monétaires qu’elle ne peut couvrir par des recettes budgétaires. Pourtant, des pays tels les USA, la Grande Bretagne ou le Japon, n’hésitent pas à se servir de la possibilité de monétisation directe par leur Banque Centrale lorsque les besoins de leur économie le nécessitent
je me dois de remercier « Chris06 » des précisions qu’il a pu apporter et qui font donc l’objet de ce présent billet.
Le « litige » concernait le terme « monétisation directe ». Il faut dire que des économistes de la « recherche économique » de Natixis écrivent eux-mêmes
La crise financière, mutant en crise des dettes souveraines a chamboulé les schémas de pensée, et les banques centrales ont toutes octroyé un crédit aux Etats (900 Mds USD de la Fed, 198 Mds GBP de la BOE, 74 Mds EUR de la BCE).
… alors je pense que j’ai quelques excuses mais il serait diabolique de persévérer dans cette erreur.
En effet, comme » Chris06″ le démontre:
1 – la FED ne dispose pas du droit de monétisation directe:
Pour la FED : voir cette Note en fin de l’article publié par une de ses branches
http://research.stlouisfed.org/publications/es/10/ES1014.pdfThe Fed is forbidden by law to purchase government securities directly from the government. The government first sells securities to the private sector and the Fed then purchases securities from the private sector, specifically, government securities dealers.
D’ailleurs il n’y a aucun « mystère » sur la manière dont la FED conduit ses OMO (Open Market Operations), c’est à dire l’achat et la vente d’obligations du trésor et d’autres titres des agences fédérales ou des GSE toutes sont effectuées via le marché secondaire auprès des primary dealers (les 18 banques qui sont autorisées à le faire par décret).
Absolument aucun titre émis par le gouvernement des Etats Unis ou toute autre institution publique américaine n’est acheté par la FED directement à l’émetteur ou autrement que par des OMO, c’est à dire via les primary dealers
http://www.newyorkfed.org/aboutthefed/fedpoint/fed32.html« The Federal Reserve conducts open market operations with primary dealers—government securities dealers who have an established trading relationship with the Federal Reserve. »
http://www.newyorkfed.org/markets/pridealers_current.html
« Primary dealers serve as trading counterparties of the New York Fed in its implementation of monetary policy. This role includes the obligations to: (i) participate consistently in open market operations to carry out U.S. monetary policy pursuant to the direction of the Federal Open Market Committee (FOMC); and (ii) provide the New York Fed’s trading desk with market information and analysis helpful in the formulation and implementation of monetary policy. Primary dealers are also required to participate in all auctions of U.S. government debt and to make reasonable markets for the New York Fed when it transacts on behalf of its foreign official account-holders. »
Quand au texte de loi qui oblige la FED a conduire tous ces achats de dette publique des Etats Unis via le second marché, et non directement auprès du trésor, c’est tout simplement le Federal Reserve Act – section 14b
http://www.federalreserve.gov/aboutthefed/section14.htm
Purchase and Sale of Obligations of United States, States, Counties, etc., and of Foreign Governments
(b)
To buy and sell, at home or abroad, bonds and notes of the United States, bonds issued under the provisions of subsection (c) of section 4 of the Home Owners’ Loan Act of 1933, as amended, and having maturities from date of purchase of not exceeding six months, and bills, notes, revenue bonds, and warrants with a maturity from date of purchase of not exceeding six months, issued in anticipation of the collection of taxes or in anticipation of the receipt of assured revenues by any State, county, district, political subdivision, or municipality in the continental United States, including irrigation, drainage and reclamation districts, and obligations of, or fully guaranteed as to principal and interest by, a foreign government or agency thereof, such purchases to be made in accordance with rules and regulations prescribed by the Board of Governors of the Federal Reserve System. Notwithstanding any other provision of this chapter, any bonds, notes, or other obligations which are direct obligations of the United States or which are fully guaranteed by the United States as to the principal and interest may be bought and sold without regard to maturities but only in the open market.
To buy and sell in the open market, under the direction and regulations of the Federal Open Market Committee, any obligation which is a direct obligation of, or fully guaranteed as to principal and interest by, any agency of the United States.
2 -Il en est de même de la Banque d’Angleterre
« 1. Overdraft facilities or any other type of credit facility with the European Central Bank or with the central banks of the Member States (hereinafter referred to as ‘national central banks’) in favour of Union institutions, bodies, offices or agencies, central governments, regional, local or other public authorities, other bodies governed by public law, or public undertakings of Member States shall be prohibited, as shall the purchase directly from them by the European Central Bank or national central banks of debt instruments. »
Et sur le site de la BoE:
http://www.bankofengland.co.uk/monetarypolicy/qe/askqa.htm voyez la réponse à la question 6
« The key point is that the Bank is not being forced to create money in order to cover the gap between the government’s tax income and its spending commitments. If it were carried out to finance the budget deficit, it would be a violation of Article 123 of the Treaty on the Functioning of the European Union. Rather, the Bank is undertaking quantitative easing in order to meet the inflation target and will sell the government debt back to the private sector once the economy recovers, thus unwinding the original increase in the money supply.
Central banks routinely buy and sell government debt in the secondary market as part of their normal operations in the money markets and such operations are not deemed to amount to monetary financing under the Treaty on the Functioning of the European Union. The only thing that distinguishes quantitative easing from normal operations is their scale and the length of time for which the assets are likely to be held. »
J’ai ensuite argumenté que le Royaume Uni « disposait depuis Maastricht d’un « opt out » ce qui permet justement à la Bank of England de financer directement. » . Comme l’a bien montré « Chris06 » cette dérogation est très limitée dans son montant
10. Par dérogation à l’article 123 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne et à l’article 21.1 des statuts, le gouvernement du Royaume-Uni peut conserver la ligne de crédit « Ways and Means » dont il dispose auprès de la Banque d’Angleterre si et aussi longtemps que le Royaume-Uni n’adopte pas l’euro.
La ligne de crédit « ways and means », c’est une ligne de crédit dont le montant est fixé à un grand total de £370 millions. Sur une dette publique de près de £1000 milliards, ça fait 0,037% de la dette qui n’est pas concernée par l’article 123!
vous la trouverez au bilan de la Bank of England :
http://www.bankofengland.co.uk/statistics/bankstats/2011/jul/tabb1.1.1.xls
voir le tab « consolidated assets amount out » colonne B72A
Et la conclusion de « Chris06 » est sans appel, je ne puis qu’y souscrire : « Ce que je veux dire c’est qu’on ne peut pas simplement relâcher l’interdiction faites aux banques centrales de financer directement leurs gouvernements respectifs : il faut aussi complètement abandonner ce système des changes flottants. L’un ne va pas sans l’autre.
La loi Pompidou-Giscard de 73 est la conséquence de l’adoption
d’un système de changes flottants, c’est à dire où les taux de changes
ne sont pas déterminés par les gouvernements mais par les marchés
interbancaires privés : pour qu’un tel marché puisse fonctionner il faut
bien que les états empruntent sur ces mêmes marchés.
Ce fut une erreur monumentale d’adopter ce système de changes
flottants depuis 1971, il est grand temps d’en changer, avant que tout
n’explose! »
mercredi 26 mars 2025
Relation du couple Israël - Etats-Unis
Dans cette vidéo, cet entrepreneur américain décrit Israël comme un "petit roquet" qui se cache derrière son "gros copain". Il provoque et dès qu'une personne réagit à ses provocations, il envoie le "gros copains" pour aller casser la figure à l'autre. C'est ainsi que les États-Unis sont utilisés par Israël.
mardi 25 mars 2025
Executive Order 11110
John F. Kennedy
Executive Order 11110—Amendment of Executive Order No. 10289 as Amended, Relating to the Performance of Certain Functions Affecting the Department of the Treasury
By virtue of the authority vested in me by section 301 of title 3 of the United States Code, it is ordered as follows:
SECTION 1. Executive Order No. 10289 of September 19, 1951, as amended, is hereby further amended --
(a) By adding at the end of paragraph 1 thereof the following subparagraph (j):
"(j) The authority vested in the President by paragraph (b) of section 43 of the Act of May 12, 1933, as amended (31 U.S.C. 821 (b)), to issue silver certificates against any silver bullion, silver, or standard silver dollars in the Treasury not then held for redemption of any outstanding silver certificates, to prescribe the denominations of such silver certificates, and to coin standard silver dollars and subsidiary silver currency for their redemption," and
(b) By revoking subparagraphs (b) and (c) of paragraph 2 thereof.
SEC. 2. The amendment made by this Order shall not affect any act done, or any right accruing or accrued or any suit or proceeding had or commenced in any civil or criminal cause prior to the date of this Order but all such liabilities shall continue and may be enforced as if said amendments had not been made.
JOHN F. KENNEDY
THE WHITE HOUSE,
June 4, 1963
Traduction
4 juin 1963
En vertu des pouvoirs qui me sont conférés par l'article 301 du titre 3 du Code des États-Unis, il est ordonné ce qui suit :
ARTICLE 1. Le décret exécutif n° 10289 du 19 septembre 1951, tel que modifié, est par les présentes modifié :
(a) Par l'ajout, à la fin du paragraphe 1, de l'alinéa (j) suivant :
« (j) Le pouvoir conféré au Président par le paragraphe (b) de l'article 43 de la loi du 12 mai 1933, telle que modifiée (31 U.S.C. 821 (b)), d'émettre des certificats d'argent contre tout lingot d'argent, argent ou dollars d'argent standard du Trésor non détenus à ce moment-là pour le remboursement de certificats d'argent en circulation, de prescrire les valeurs nominales de ces certificats d'argent et de frapper des dollars d'argent standard et des monnaies d'argent subsidiaires pour leur remboursement ; » et
(b) Par la révocation des alinéas (b) et (c) du paragraphe 2.
ARTICLE 2. La modification apportée par le présent décret n'affecte aucun acte accompli, aucun droit né ou acquis, ni aucune action ou procédure engagée ou intentée dans une affaire civile ou pénale avant la date du présent décret. Cependant, toutes ces responsabilités demeurent et peuvent être exécutées comme si lesdites modifications n'avaient pas été apportées.
JOHN F. KENNEDY
LA MAISON BLANCHE,
4 juin 1963
L’EUROPE EST VULNÉRABLE : VOICI COMMENT FAIRE TOMBER LES ÉLITES ! | FRANÇOIS ASSELINEAU | GPTV
L’Union européenne se drape dans le mythe de la paix, mais derrière cette façade, elle s’est révélée être un instrument docile de l’impérialisme américain. De la Yougoslavie à l’Ukraine, Bruxelles a toujours suivi les directives de Washington, sacrifiant les intérêts des peuples européens sur l’autel des stratégies atlantistes. La réalité est implacable : loin d’empêcher les conflits, l’UE a contribué à les attiser, entraînant le continent dans une spirale dangereuse.
François Asselineau l’a toujours dénoncé : cette construction artificielle a affaibli les nations, les rendant vulnérables aux ingérences étrangères. Ursula von der Leyen, incarnation de cette soumission absolue, entraîne l’Europe dans une escalade suicidaire au service des néoconservateurs américains. Quant à Emmanuel Macron, il joue le rôle d’agent zélé d’un coup d’État euro-fasciste, exploitant les crises pour imposer une gouvernance autoritaire et mener la France vers un affrontement destructeur. Son alignement total sur l’OTAN et son mépris des souverainetés nationales font de lui un danger majeur.
Depuis 18 ans, l’UPR défend une position claire : seule la souveraineté permet de garantir la paix et la démocratie. Quitter l’UE et l’OTAN est une nécessité vitale pour reprendre en main notre destin. Mais l’oligarchie ne reculera devant rien pour maintenir son emprise… jusqu’où ira cette fuite en avant ?
François Asselineau, Laurent Artur du Plessis et Nicolas Stoquer vous attendent nombreux en direct sur Géopolitique Profonde.
lundi 24 mars 2025
Différence entre "moi instinctif" (cerveau reptilien) et "Je conscient" (néo-cortex)
Source : https://www.youtube.com/watch?v=VuD9Nq0LLso
Moses est un penseur créatif et innovant, spécialisé dans l'accompagnement des individus et des groupes vers l'état de Présence. Animé par une passion profonde pour la reconnaissance et l'honoration de l’unicité de chacun, tout en célébrant notre unité collective, il inspire à travers sa vision et ses enseignements. Son site http://www.MeetMoses.com