dimanche 14 décembre 2025

La Chine, puissance économique mondiale.

 

 
Dans de nombreux pays, acheter une maison relève du parcours du combattant. En Chine, la situation est radicalement différente : posséder son logement est largement perçu comme une étape incontournable de la vie adulte. La propriété y est profondément ancrée dans la culture, au point d’être associée à la stabilité, à la réussite et même à la crédibilité sociale.
 
En Chine, être propriétaire n’est pas un luxe, mais une norme sociale.
 
Cette réalité s’explique par plusieurs facteurs combinés. L’accès à la propriété a longtemps été encouragé comme un pilier de sécurité familiale, dans un pays où la protection sociale est plus limitée qu’ailleurs. Pour beaucoup, acheter un logement représente une forme d’assurance pour l’avenir, mais aussi un symbole de sérieux, notamment dans la construction d’une vie de couple.
 
Résultat : une immense majorité de citoyens vit dans un logement dont elle est propriétaire, un chiffre qui surprend à l’échelle mondiale. Cette particularité façonne profondément le rapport à l’immobilier, à l’épargne et aux choix de vie, tout en révélant un contraste saisissant avec les difficultés rencontrées par les jeunes générations dans d’autres régions du monde.

Faut-il reprendre la déclaration des droits de l'homme au niveau municipal ?

 

 

Source : https://www.youtube.com/shorts/MK1m276De9U

"La DDH est un texte déclaratif. Ce n'est pas du droit. [...] Pour qu'il y ait du droit, il faut : une règle, une sanction et un organe pour appliquer la sanction." Léo 

Jusqu'où va t-on descendre ? #1 - Alain Soral et Pierre Jovanovic

Pour le premier épisode de cette nouvelle émission, Jusqu'où va-t-on descendre ?, Paul Verbeke reçoit Alain Soral et Pierre Jovanovic.  

00:00 – Présentation 
00:55 – Bardella Président ? 
04:57 – Macron ou la politique d'humiliation des Français  
11:38 – De De Gaulle à Macron, en passant par Mitterrand et Shoah 
23:25 – La mainmise du lobby pro-israélien sur les médias occidentaux  
33:52 – Terrorisme médiatique : vos enfants devront mourir à la guerre ! 
43:03 – Kontre Kulture présente : les Contes de Tolstoï  
46:34 – L'importance du livre et de la lecture 
01:01:25 – Liste d'humiliations économiques récentes  
01:03:54 – Macron, liquidateur de la France  
01:08:10 – Suprémacisme israélien : jusqu'à quand ?  
01:14:56 – L'espoir outre-Atlantique : le tournant Charlie Kirk et Nick Fuentes 

 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=NnwqKxqvLN0

Passerelle spirituelle : bouddhisme, ch’an, zen et anarchisme (Horst Stowasser)

Toujours dans ce souci de lancer des passerelles trans-culturelles et se focaliser sur ce qui nous rassemble et non pas sur ce qui nous sépare, le plus souvent artificiellement. L’essentiel de ce que nous percevons comme nous « séparant » n’est que construction, ingénierie sociale.
La spiritualité humaine est une ; elle est ancrée dans notre nature profonde universelle. Il est plus que grand temps de nous en apercevoir et d’agir en conséquence pour le bien commun de tous.
~ Résistance 71 ~

Bouddhisme et anarchie

Extrait de l’essai “Les premières formes d’anarchie” de Horst Stowasser

2007

Traduit de l’anglais par Résistance 71

Décembre 2025

Moins évident est l’esprit libertaire que les experts identifient dans le bouddhisme, ce qui n’est pas surprenant considérant que contrairement au taoïsme, le bouddhisme lui, a donné naissance à une “église” et à un clergé soutenant l’état.

Le bouddhisme est une religion en provenance originellement d’Inde, fondé au VIème siècle AEC par Siddharta Gautama, qui se nomma lui-même Bouddha, c’est à dire “L’éveillé”. Son enseignement assez complexe de la perfection humaine tourne autour de la contradiction entre la possession, vue comme un lien négatif et la découverte de soi, qui culmine dans le plus haut degré de l’éveil appelé le Nirvana. Le Nirvana est le “rien”, “le vide” ou la “libération complète”.

Initialement, le bouddhisme était purement un mouvement éthique et méditatif, qui fut rapidement supprimé en Inde mais qui réussit à s’établir de manière durable au Sri Lanka, en Thaïlande et au Tibet. Dès le départ, il se divise en une branche intéressée par le pouvoir politique, un bouddhisme institutionnalisé appelé Theravada et une autre direction Mahayana, qui continua sur le chemin de l’auto-libération de l’individu au moyen de la quête de la perfection.

A partir du VIème siècle, un développement commença en Chine appelé Ch’an, qui interprète le Bouddha de manière différente, comme étant le premier rebelle, “le briseur de chaînes” qui attachent l’humain dans l’ignorance et la servitude. Ceci représente une véritable hérésie, similaire à celle que nous connaissons dans l’histoire de l’église chrétienne dans l’Europe médiévale. Le Ch’an atteignit le Japon au XIIème siècle et s’y développa en une tradition indépendante : le bouddhisme Zen.

Le Zen n’est ni une église ni une religion soutenant l’État. A la différence des grands monastères de l’Europe médiévale, un monastère Zen n’est pas un centre de pouvoir, de richesse et de connaissance, mais un endroit d’égalité et de pauvreté. Un moine Zen ne se voit en aucun cas comme un médiateur entre un “dieu” et les humains, mais comme une sorte d’enseignant, un rôle-modèle pouvant aider sur le chemin de la connaissance de soi. Le Zen ne reconnait aucune autorité supérieure de vérité que l’intuition de l’individu, au dessus de laquelle pas même Bouddha ne se tient. Plus qu’une secte, c’est un réseau d’expérience tout à fait égalitaire : Le Zen n’a pas d’élite, se moque des figures d’autorité et fait la promotion d’une vie autonome et auto-déterminée. Son but est la libération de l’individu d’une morale, d’une légalité et d’une autorité imposées, le tout en harmonie avec l’environnement. Dans l’ordre naturel des chose, le Zen ne trouve absolument aucune justification pour quelque règle ou autorité que ce soient.

NdT : le concept de “lâcher-prise” que nous employons et illustrons souvent à Résistance 71 est un concept Zen, que nous avons adapté à notre analyse et imagerie politiques…

C’est pour cette raison que le bouddhisme Zen peut recevoir le crédit d’un certain esprit libertaire, à l’instar du taoïsme. Tous deux rejettent la hiérarchie et la domination, tous deux recherchent la libération individuelle par l’auto-connaissance et harmonie totale avec soi-même. Mais, tous deux demeurent silencieux sur la question de savoir si de telles choses sont possibles dans les sociétés modernes en dehors de notre esprit. Comment une société façonnée par de tels idéaux puisse apparaître et perdurer n’est pas leur problème. Là réside une différence fondamentale avec l’anarchisme classique pour qui la liberté n’est pas seulement une affaire individuelle, mais aussi un phénomène social.

Il ne fait pas de doute que l’éthique Zen ou taoïste fournirait un terrain plus fertile pour une société anarchiste que disons, le catholicisme ou l’islam. Cependant, tout aussi certainement, les concepts religieux comme ceux du bouddhisme basés sur une croyance en la réincarnation et dans laquelle le poids du karma pèse comme une montagne du passé sur le présent, introduisent de nouvelles chaînes. La liberté sociale et spirituelle y trouve aussi ses limites. Soit le monde et aussi les humains sont déterminés, et une véritable liberté n’existe pas, ou ils ne le sont pas, auquel cas le karma n’existe pas.

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Lectures complémentaires :

Christianisme et anarchisme

Islam et anarchisme

Taoïsme et anarchisme

Stoïcisme et anarchie

Textes et analyses vers une société des sociétés spirituelles (Résistance 71)

Horizon dictature en occident décadent : la police de la pensée conduit au cimetière (Théophraste R.)

 

Article 33. – La résistance à l’oppression est la conséquence des autres Droits de l’homme.

Article 34. – Il y a oppression contre le corps social lorsqu’un seul de ses membres est opprimé.Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.

Article 35. – Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

~ Constitution française du 24 juin 1793 ~

La police de la pensée conduit au cimetière

Théophraste R. 

29 novembre 2025

Url de l’article original :

https://www.legrandsoir.info/+la-police-de-la-pensee-conduit-au-cimetiere+.html

« Le Capital a horreur de l’absence de profit. Quand il flaire un bénéfice raisonnable, le Capital devient hardi. A 20%, il devient enthousiaste. A 50%, il est téméraire ; à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines et à 300%, il ne recule devant aucun crime »  (Karl Marx).

J’ajoute : « A 500% il achète les médias pour faire apparaître ceux qui dénoncent ses crimes comme des islamo-gauchistes antisémites ». Dans nos médias appartenant à neuf milliardaires, quiconque présente le moindre danger pour le pouvoir du Capital va apprendre qu’une invitation à débattre est en vérité une convocation à une garde à vue.

Quant à ceux qui contestent l’existence d’un « génocide ouïghour », le qualificatif de « négationniste » est accolé à leur nom. Il ne sera pas dit dans l’Hexagone qu’ils font le même constat que le « Haut commissariat aux droits de l’homme » de l’ONU après enquête au Xinjiang, que le cabinet d’avocats de la Maison Blanche, que de prestigieux intellectuels étasuniens qui conseillent le parti Démocrate.

S’agissant de l’Ukraine, notre classe politico-médiatique se désole du poutinisme de Trump. Le général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées a prévenu les maires de France : ils devront « accepter de perdre des enfants » contre la Russie.

 

Que dire à notre belle jeunesse ? Ah oui, faites des gosses, voyons.

Théophraste R. Pacifiste anticapitaliste, diffuseur du slogan : « S’il faut verser le sang, allez verser le vôtre… » https://www.youtube.com/watch?v=Ljzfi-9uPH0

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Je n’obéirai pas…
Quand la tyrannie devient la loi
La résistance devient un devoir…
~ Résistance 71 ~

Sourcehttps://resistance71.wordpress.com/2025/12/11/horizon-dictature-en-occident-decadent-la-police-de-la-pensee-conduit-au-cimetiere-theophraste-r/

samedi 13 décembre 2025

LA CHUTE DU COUPLE MACRON EST PLUS PROCHE QU’ON NE L’IMAGINE ! | CHRISTIAN COMBAZ | GPTV

La France observe la fin d’un cycle : celui d’un pouvoir fragilisé, coupé du réel, qui s’effondre sous son propre poids. Le macronisme entre dans sa phase terminale, révélant une gouvernance épuisée, fondée sur la peur et non sur l’adhésion. L’usure du système n’est plus seulement politique : elle est existentielle, et le pays entier en ressent le tremblement.

À l’intérieur, les structures craquent. Un État exsangue, des services publics au bord de la rupture, une jeunesse désenchantée, une autorité qui se rigidifie à mesure qu’elle perd sa légitimité. Le fossé entre le pouvoir technocratique et la nation devient un gouffre. La défiance se mue en colère froide face à une élite perçue comme servile envers Bruxelles et les marchés, incapable de défendre la souveraineté réelle du pays.

À l’extérieur, l’isolement est total. La diplomatie française, réduite à n’être qu’un relais du bloc atlantiste, n’exerce plus aucune influence décisive. Les erreurs stratégiques sur l’Ukraine, l’effacement face aux BRICS et l’effondrement de l’axe franco-allemand révèlent la perte de rang d’un pays autrefois capable de peser dans le multipolarisme naissant.

Reste le symbole final : la décomposition du couple présidentiel lui-même, devenu miroir d’un pouvoir fatigué. L'accumulation des affaires et la rupture avec le pays réel participent à la fin d’un roman politique construit sur l’illusion du modernisme. Lorsque les peuples se détournent, l’histoire accélère. Et le système, miné par ses propres contradictions, s’approche du point de rupture.

Ce moment de bascule exige lucidité, vigilance souveraine et compréhension des mécanismes profonds : ingénierie sociale, gouvernance cachée, effondrement occidental, mondialisme déclinant. Une lecture stratégique indispensable pour anticiper ce qui vient.

Christian Combaz, Lara Stam et Nicolas Stoquer explorent les fissures d’un pouvoir au bord du gouffre, en direct sur Géopolitique Profonde.



Source : https://www.youtube.com/watch?v=P_aalfCFJA8

mardi 9 décembre 2025

RIEN NE DOIT SURVIVRE

 

Par Patrick Ledrappier


L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

2512

Le 9 décembre 2025

   L’HÉCATOMBE PROGRAMMÉE DU CHEPTEL FRANÇAIS


   À l’aube, ce ne sont pas des vétérinaires en civil que les éleveurs voient descendre des véhicules, mais une colonne d’hommes et de femmes en combinaison, escortée par des CRS ou des gendarmes mobiles.


   Ils ne discutent pas : ils avancent. Rubans de sécurité, sacs étanches, seringues, armes d’abattage. La procédure est rodée. On isole les habitants, on boucle la ferme, on neutralise le troupeau, on évacue les carcasses – en principe. Rien ne doit survivre : ni les bêtes, ni les années de travail, ni l’espoir.

   Les éleveurs ne protestent même plus : ils constatent. On leur explique, d’un ton sec, que « la situation l’exige ». Une vache présentant des nodules suffit à condamner tout le cheptel.

   Il ne s’agit pas de soigner, mais d’effacer. Et chaque fois, un troupeau entier passe à la trappe, les bêtes abattues une à une, au nom d’un protocole dont personne, sur le terrain, ne semble comprendre la logique réelle.


   La réalité raconte une autre histoire


   Plus tard, devant les caméras, on montrera des images soigneusement sélectionnées : peau boursouflée, zoom sur les lésions, musique anxiogène. Comme lors de la fausse pandémie de C-19, les experts de plateau parleront de « risque majeur », et les injectés volontaires – électeurs de Macron, de LFI, du PS, du RN, etc. – croiront à une nouvelle peste, rebaptisée pour l’occasion : « dermatose nodulaire ».


   Mais la réalité raconte autre chose : faible taux de morbidité, mortalité quasi nulle, aucun danger pour l’homme, viande comestible. Autrement dit : rien qui justifie la mise à mort totale des élevages.


   Ce nouveau choléra, cette nouvelle peste, ce nouveau C19 : la « dermatose nodulaire »


   Mais au-delà du spectacle, une question demeure – simple, précise, presque gênante : qu’est-ce que cette fameuse « dermatose nodulaire contagieuse » dont on justifie l’hécatombe ?

   Depuis quand existe-t-elle ? Est-elle uniquement présente en France ? Si non, comment est-elle traitée dans les autres pays ? Quel est son comportement réel, et surtout – quel danger représente-t-elle pour l’homme ?

   Peut-on tomber malade en consommant la viande d’un bovin infecté, ou ces abattages relèvent-ils davantage d’une logique politicienne que d’une nécessité sanitaire ?

   Neutralise-t-on une menace réelle, ou applique-t-on uniquement en France un protocole – que personne n’a le droit de questionner – conçu pour tout autre chose ?


    Transmission réelle – rôle des mouches


   Si l’on quitte un instant le monde mensonger des politiciens et des experts subventionnés, la réalité scientifique est limpide :

   – la dermatose nodulaire ne se transmet pas à l’homme – ni par l’air, ni par contact humain-animal, ni par consommation de viande.


   Chez les bovins, elle se propage principalement par les insectes piqueurs : mouches, taons, moustiques – ces voyageurs infatigables que personne ne contrôle et que personne ne contrôlera jamais.

   La maladie dépend des mouches et autres insectes. Pas des arrêtés préfectoraux et encore moins des abattages de troupeaux.


   Les frontières administratives, les injonctions ministérielles et les abattages de troupeaux n’ont aucun effet sur elle. Elle obéit seulement aux saisons, aux pâtures, aux marécages – et certainement pas aux protocoles vétérinaires élaborés dans un sombre cabinet de McKinsey au service de la macronie pourrissante.


   Et ce simple fait suffit à poser une question explosive : comment prétendre « éradiquer » une maladie transmise par des insectes volants, sinon en éradiquant les insectes eux-mêmes ?


   C’est impossible.

   Tout le monde le sait – comme tout le monde peut se rendre compte qu’en France, en 2025, dans chaque domaine où les politiciens décident, l’absurdité aux conséquences monstrueuses n’est pas une erreur : c’est une méthode au service de l’Agenda 2030 et des milliardaires promoteurs de la dépopulation.


   Une maladie ancienne


   La dermatose nodulaire n’est ni nouvelle, ni mystérieuse, ni inconnue.

   Apparue pour la première fois en Zambie en 1929, elle circule depuis en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie centrale, puis en Europe de l’Est. Partout où elle est apparue, les troupeaux n’ont jamais été éradiqués – on a traité, surveillé, vacciné (pour rien), et les troupeaux ont continué à paître.


   Même dans les pays les plus pauvres, même lorsque les infrastructures vétérinaires étaient rudimentaires, personne n’a jamais imaginé « solutionner » le problème en abattant systématiquement des troupeaux entiers. Aucune nation n’a jugé nécessaire de raser des exploitations. Aucune administration n’a invoqué une urgence sanitaire totale.


   Partout ailleurs, la maladie a été gérée – en France seulement, on prétend « l’éteindre » en détruisant l’animal.


   « L’épidémiologie obéit au climat, pas au politiciens »


   La géographie raconte l’essentiel : là où les insectes abondent, la maladie apparaît ; là où ils disparaissent avec les saisons, la maladie reflue.

   Dans les publications scientifiques – toutes – la dermatose nodulaire est décrite comme une maladie vectorielle.

   Cela signifie une seule chose : elle ne disparaît pas par l’abattage des animaux, mais par le cycle naturel des insectes.


   On peut abattre des bovins – on ne peut pas abattre des mouches et des moustiques.

   On répète qu’un abattage massif « stoppera » une maladie transportée par des organismes volants.

  C’est scientifiquement faux, politiquement et économiquement grotesque et humainement criminel pour les éleveurs et leurs animaux


   L’épidémiologie obéit au climat, pas aux politiciens.

   Cette évidence – connue, documentée, répétée dans toutes les publications vétérinaires devrait s’imposer – mais en France, en 2025, le gouvernement a décidé d’inventer une nouvelle biologie, afin qu’elle soit conforme à sa mission : tout détruire.


   Pour comprendre l’absurdité française, il suffit de regarder ce qui se passe ailleurs


   Pendant qu’en France on a droit à une « boucherie politico-administrative », partout ailleurs, le pragmatisme l’emporte : l’inutile vaccination en Italie, la simple surveillance en Espagne, le contrôle des déplacements des troupeaux en Bulgarie, le traitement au cas par cas jusqu’au retour à la normale en Grèce.


   Rien d’extraordinaire : la maladie est gérée ainsi depuis près d’un siècle – des vaccins existent depuis les années 1950, et malgré cela, la maladie circule toujours.

Pourquoi les autorités françaises imposent-elles les massacres de troupeaux contre toute vraisemblance scientifique ?


   Pourquoi les autorités françaises imposent-elles les massacres de troupeaux contre toute vraisemblance scientifique ?

   Pas pour des raisons sanitaires – les données officielles le prouvent, la viande est parfaitement consommable.

   Pas pour des raisons économiques – cette maladie n’a jamais menacé le fonctionnement des élevages.


   Alors quoi ?


   Pourquoi les autorités politiques françaises ont-elles décidé de détruire ce que les autres pays protègent ?


   Poser la question, c’est déjà comprendre la réponse : dans tous les secteurs économiques, les politiciens se foutent du tiers comme du quart des faits, de la réalité et de la science. Ils suivent un agenda. Et ils sont payés pour cela, n’en doutez pas.


   Vaccination : la contradiction qui condamne la version officielle


   Les autorités françaises affirment d’une main que la maladie est terrifiante – et de l’autre, elles assurent que le vaccin fonctionne. 

   Elles ordonnent la mise à mort de troupeaux vaccinés, comme si les injections ne changeaient rien.

   Elles assurent que la vaccination protège de la maladie – mais elles tuent les animaux avant même d’attendre son effet. Quelle logique sanitaire peut justifier cela ?

   Aucune.


   « Pourquoi financer deux stratégies opposées, sinon pour masquer une troisième ? »


   C’est une contradiction si gigantesque qu’elle suffit, à elle seule, à démonter tout le récit officiel. Si la vaccination fonctionne – pourquoi abattre les troupeaux ? Si elle ne fonctionne pas – pourquoi vacciner ?


   Pourquoi financer deux stratégies opposées, sinon pour masquer une troisième ? La réponse s’impose d’elle-même : le but n’est pas de soigner.

   Le but est de réduire le cheptel national.


   Mercosur, Agenda 2030, agro-ingénierie et effondrement programmé du cheptel


   C’est ici que tout converge. Depuis des années, les accords de libre-échange poussent à l’importation massive de viande sud-américaine – bradée, dopée, produite dans des conditions que l’Europe n’accepterait jamais.


   Un cheptel français fort est un obstacle – Un cheptel français affaibli devient une opportunité


   L’Agenda 2030, dans ses versions explicites et implicites, prévoit une réduction drastique de la consommation de viande au profit de protéines industrielles – insectes, « steaks végétaux », produits de laboratoire, lait de cafard à avaler.

   Un élevage français encore vivant rend cet agenda inapplicable.

   Un élevage français détruit le rend inévitable.


   Et dans l’ombre, les milliardaires de l’ingénierie alimentaire – investisseurs dans les fermes verticales, les viandes synthétiques, les brevets sur les substituts – observent la scène avec intérêt.

   L’effondrement du cheptel français n’est pas une catastrophe pour eux – c’est un marché.

   Que valent les paysans face à BlackRock, Nestlé, Vanguard, ou les grands fonds américains qui rêvent de breveter l’alimentation mondiale ?


   Et que vaut une vache normande face à un dossier McKinsey ?


   Rien ne doit survivre


   Au fond, tout converge : le Mercosur, qui inonde déjà l’Europe de viande sud-américaine bradée qui serait interdite à la vente si elle était élevée en France ; l’Agenda 2030, qui exige une réduction drastique de la consommation de viande au profit des protéines industrielles de synthèse et qui veut nous faire avaler de la farine d’insecte et du lait de cafard ; les accords commerciaux signés avec l’Ukraine de Zelensky, transformée en ferme-usine sous perfusion occidentale.


   Dans cette architecture géopolitique, un cheptel français autonome, enraciné, capable de nourrir sa population, est un obstacle – donc une cible. Pour que ces agendas puissent s’imposer, il faut éliminer la concurrence intérieure. Et la concurrence intérieure, c’est l’éleveur français.


    Ce qui se joue ici n’est pas une « gestion sanitaire », c’est un basculement.

   Ils ne massacrent pas des bovins pour stopper une maladie.

   Ils massacrent des bovins pour transformer un pays. Pour briser un modèle agricole. Pour imposer une dépendance alimentaire totale. Pour que plus rien – ni ferme, ni éleveur, ni autonomie – ne survive et menace leurs projets.


   Pour que leurs agendas avancent, il ne faut plus que nous mangions ce que nos éleveurs et cultivateurs produisent, mais ce qu’ils nous prescrivent depuis les bureaux de Bill et de George – et de leurs valets qui trônent à Berlin, à Bruxelles et à l’Élysée.


   En France, en 2025, l’hécatombe du cheptel n’est pas une conséquence.

   C’est un objectif.


   Rien ne doit survivre.


dimanche 7 décembre 2025

Non Trump ne joue pas une partie d’échecs en 5D avec l’état profond sioniste… L’administration Trump est l’administration Netanyahou (Robert Inlakesh)

Pour tous ceux qui croient encore que le guignol, laquais Trump joue une “partie d’échecs en 5D” avec l’état profond et le marécage qu’il n’a jamais drainé… Trump est une pourriture de plus, passé du business à la politique, création intégrale du système étatico-marchand, mis aux manettes pour  mettre en place la dictature technotronique mondiale… Si nous les laissons faire. Nous avons en permanence le pouvoir de dire NON ! Soyons B.R.A.V.E sur le chemin de notre émancipation finale.
~ Résistance 71 ~

L’administration Trump est l’administration Netanyahou

Robert Inlakesh

2 décembre 2025

Url de l’article original :

https://english.almayadeen.net/articles/opinion/the-trump-administration-is-the-netanyahu-administration

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Il y a toujours eu un long débat quant à savoir si les Etats-Unis contrôlent Israël ou plutôt si c’est l’inverse. Sous l’administration actuelle de Trump, il ne peut plus y avoir de doute que ce sont les Israéliens qui dictent la politique des Etats-Unis en Asie Occidentale (NdT : ex-Moyen-Orient) et en bien des occasions, commande même les affaires domestiques.

Sous les gouvernements américains précédents, il y a eu une claire tendance à donner la priorité aux intérêts israéliens, ceci est indiscutable. Pourtant, il pourrait être démontré que quelques légères déviations ont existé entre les positions israéliennes et américaines sur certaines affaires. Il est bien clair que les Etat-Unis possèdent un bien plus grand pouvoir et plus grande influence que l’entité sioniste, mais la question qui se présente maintenant est de savoir si ce n’est pas plutôt la queue qui a remué le chien.

Depuis la présidence de Lyndon B. Johnson (NdT : après l’assassinat de Kennedy en 1963), Washington a soutenu ses Israéliens jusqu’à la garde, leur donnant plus d’aide étrangère qu’à tout autre allié, les suivant plus tard dans des conflits variés dans la région. Avec le temps, on peut justement dire que le pouvoir du lobby israélien a grandi et ceci a mené à des prises de positions sionistes de plus en plus dures de la part des administrations successives occupant la Maison Blanche.

Mais malgré le biais évident et la protection des intérêts d’Israël, il y a eu des divergences entre une série de leaders américains et leur contrepartie de Tel Aviv. Par exemple, l’administration Obama, qui avait promis à l’époque la plus grosse contribution en aide au régime sioniste de son histoire ; lorsqu’il advint les négociations sur le programme nucléaire iranien débouchant sur le Joint Comprehensive Plan of Action (JCPOA), elle fut capable de défier l’AIPAC et les demandes du premier ministre Netanyahou (NdT : déjà lui à l’époque…)

Sous l’administration Biden, bien qu’ouvertement sioniste de sa propre admission, elle continua de s’attacher à une politique qui recherchait la mise en place de cette “solution à deux états”, déclenchant la colère de bien des Israéliens et bien sûr de l’administration Netanyahou.

Est-ce que Tel Aviv contrôle la Maison Blanche ?

L’argument que les Israéliens exercent une influence sur la politique étrangère des Etats-Unis est distinct de l’affirmation qu’”Israël” est complètement en charge. La première affirmation ne peut être niée de manière crédible, il est plus que clair que les lobbyistes israéliens, les think-tanks et les Neo-conservateurs sionistes ont poussé le gouvernement des Etats-Unis dans de multiples guerre d’agression.

Ce pouvoir utilisé par ces éléments, comme démontré par John Mearsheimer et Stephen Walt dans leur livre “Le lobby d’Israël et la politique étrangère des Etats-Unis”, est arrivé à son sommet durant l’administration du président Bush Jr. Mais on peut argumenter de manière plausible que la politique étrangère agressive des Etats-Unis mise en place a servi l’agenda du pouvoir des Etats-Unis, mais ne fut pas totalement dictée par eux.

Même la notion d’une “solution à deux états” fut une claire tentative de sauver le projet sioniste et d’assurer son existence de long terme, opposé aux ambitions au sein de leadership israélien visant à poursuivre le projet de ce qu’ils appellent “Le Grand Israël”.

Des deux côtés de la pièce se trouvent de fait deux solutions israéliennes à la question régionale en regard du régime sioniste ; l’un est plus pragmatique qui recherche à assurer l’existence d’une entité coloniale d’occupation des sols, l’autre est une solution agressive qui pourrait facilement mener à la désintégration du projet

Le dernier discours de politique étrangère sérieux fait par un ex-ministre des AE américain, Anthony Blinken, alors qu’il était en fonction, dans une conférence d’un think-tank de l’Atlantic Council, profile parfaitement l’idéologie américaine du “deux états”. Bien qu’il passa l’essentiel du discours à suivre les points de propagande d’Israël, il termina sur une note plus sobre et sérieuse.

Baiken argumenta que les Israéliens avaient réagi à l’attaque “Déluge d’Al Aqsa” du 7 octobre 2023 d’une façon qui démontrait la puissance. Ceci évidemment, s’alignait avec ce que les USA avaient cherché à aider le régime à faire preuve. Pourtant, il clarifie ensuite que si Tel Aviv ne bouge pas vers une solution à “deux états”, cela sèmera inévitablement le chaos et menacera le futur du Projet Sioniste, menant même potentiellement à un effondrement des relations avec l’Egypte et la Jordanie.

Cet argument est bien entendu très pro-israélien et se fait effectivement l’avocat d’intégrer le régime colonial d’occupation dans la région en adoptant une approche plus pragmatique. Les mêmes sentiments furent exprimés dans la déclaration de New York franco-saoudienne et qui fut unanimement votée à l’AG de l’ONU en septembre dernier.


La fine équipe Trump : nouveaux cons et
sionistes chrétiens, tous sous contrôle Epstein / Mossad

Mais depuis que Trump est à la Maison Blanche il n’a pas tenté de poursuivre un agenda politique stratégique ; au lieu de cela, il a suivi ses maîtres israéliens comme un caniche, se couchant devant chacun de leurs désirs.

L’administration de Trump a travaillé avec les Israéliens pour superviser un siège de trois mois de Gaza, où aucune aide n’est entrée sur le territoire déclenchant une famine. Il a ensuite utilisé l’argent des contribuables américains pour financer un plan privé qui a fonctionné comme un piège mortel et qui a pris la vie de plus de 2600 civils palestiniens.

Il lança une honteuse et humiliante campagne militaire qui a échoué contre le Yémen, frappé directement l’Iran après avoir utilisé la diplomatie pour lui faire baisser la garde face à une attaque israélienne. L’administration Trump a stationné plus de troupes en Syrie, y saisissant deux bases aériennes, tout en poussant pour une “normalisation” des relation entre Israël et la Syrie via un “arrangement sécuritaire” et a utilisé le pouvoir américain pour tenter de désarmer le Hezbollah au Liban et les Hasch al-Shaabi en Irak.

Le régime Trump a récemment forcé le CS de l’ONU a accepter rapidement la plus disgracieuse résolution sur la Palestine, autorisant une opération de changement de régime. Il y a stationné des troupes, supervise quotidiennement les crimes de guerre d’israël qui viole constamment le cessez-le-feu de Gaza et tente de poursuivre sa promesse de février dernier de “posséder Gaza”.

Intra Muros, depuis le premier jour, il a poursuivi la mise en place du “Projet Esther”, document publié par le think-tank de l’Heritage Foundation, qui cherche à démanteler la liberté d’expression au sujet des crimes d’Israël aux Etats-Unis. (NdT  liberté d’expression garantie par le 1er amendement de la Constitution…) Il a aussi accéléré le plus gros coup de force contre la liberté académique de l’histoire des Etats-Unis.

Maintenant il pivote pour faire désigner la “Confrérie des Frères Musulmans” comme une “organisation terroriste” pour satisfaire les efforts du lobby israélien, permettant plus de pouvoir répressif avec cette désignation sur les groupes pro-palestiniens en affirmant qu’ils sont affiliés avec “une organisation terroriste”.

NdR71 : inversion accusatoire classique, alors que les Etats-Unis sont, avec “Israël”, le plus grand terroriste sur cette planète et le plus grand soutien à tous les groupes terroristes satisfaisant leur agenda du chaos généralisé… De manière plus générale, l’État est l’essence même du terrorisme, maître incontesté de la terreur, de l’oppression et de l’injustice institutionnalisées. L’empire anglo-americano-sioniste en est juste le dernier avatar mortifère.

Malgré les scandales, comme l’ambassadeur de Trump en “Israël”, réunion de Mike Huckabee avec le tristement célèbre espion israélien Jonathan Pollard, Washington n’a absolument rien fait. Il apparait aussi que la campagne électorale de Trump a été financée par le who’s who des milliardaires sionistes, la plus grande contribution venant de la plus riche des milliardaires “d’Israël”, Myriam Adelson (NdT : veuve du magnat des hotels et casinos de Las Vegas, Sheldon Adelson, qui avait déjà contribué de plus de 50 millions de $$$ à la première campagne de Trump, là Myriam Adelson a donné près de 200 millions de $$$ à la campagne de Trump, qui maintenant doit renvoyer les ascenseurs…)

Quand Trump a parlé devant la Knesset israélienne, il a même admis que ses donateurs principaux “adorent Israël”, plus que les Etats-Unis et il a même demandé au président israélien Isaac Herzog de pardonner Netanyahou de façon à ce qu’il puisse en finir de ce procès sans fin pour corruption.

Il est très difficile d’imaginer quelque chose de semblable se produisant avec un autre gouvernement étranger. Imaginez un instant que le plus riche des milliardaires russes ait financé la campagne électorale de Trump, que son ambassadeur à Moscou ait rencontré un espion américano-russe notoire pour le pardonner. Juste ça déclencherait une couverture médiatique 24/24 sur un président traître à son pays…

L’administration Trump se sert des services ICE (immigration) comme d’une arme pour attaquer des visiteurs ayant des visas valides et même des résidents permanents aux Etats-Unis comme Mahmoud Khalil, parce qu’ils utilisent leur droit à la libre expression. Des pages de réseaux sociaux appartenant à l’administration Trump ont même émis des menaces envers des gens qu’elle accuse, sans aucune preuve, de soutenir le Hamas.

Rien de ce que cette administration fait n’est indépendant du régime Netanyahou de Tel Aviv, elle n’est qu’une administration du Likud israélien dirigeant les Etats-Unis… Les voix les plus extrêmes prévalent toujours, comme les influenceurs sionistes comme Laura Loomer qui ont accès direct à la Maison Blanche. Lorsque des élus républicains qui ont soutenu Trump de longue date oser parler contre les Israéliens, ils se retrouvent sous un feu médiatique nourri.

Alors que dans le passé ont pouvait dire que les Israéliens avaient une influence sur la politique moyen-orientale des Etats-Uns, on en est arrivé au point où il y a de sérieuses questions à se poser quant à l’administration Trump et si elle a toujours une quelconque autonomie sur quelque question liée à “Israël”.

Certains contreraient cet argument en affirmant que beaucoup de sionistes qui sont responsables d’une telle attitude sont de fait des citoyens américains, ce qui est vrai et tous n’ont pas la double nationalité. Mais dans le monde réel, même les forcenés du sionisme chrétien dans son administration ne peuvent pas être distingués de leurs contre-parties israéliennes. Huckabee est un très bon exemple de cela, un homme qui a depuis longtemps parlé en faveur de Jonathan Pollard, coupable d’espionnage pour Israël, pour qu’il soit libéré.


Trump et son sponsor sioniste : Sheldon Adelson

Des officiels travaillant pour l’administration Trump ont été virés pour toute légère déviation des positions ultra pro-Israël du régime au pouvoir, incluant le fait de simplement mentionner des abus des droits de l’Homme  en Cisjordanie, que Washington maintenant nomme “Judée et Samarie”.

Jared Kushner (NdT : beau-fils de Trump…) qui aide l’envoyé spécial américain Steve Witkoff à diriger les soi-disants projets de “cessez-le-feu”, a des liens directs avec la colonie illégale israélienne de Beit El. Pour ces gens, leur passeport américain ne veut pas dire grand-chose quand ils sont impliqués dans des crimes de guerre ou qu’ils sont prêts à argumenter en faveur de la libération d’un condamné israélien pour espionnage.

Il ne devrait en rien être controversif de dire que l’administration Trump est la plus faible de l’histoire des Etats-Unis sur sa politique moyen-orientale et qu’elle rampe littéralement et se fourvoie en génuflexions devant un gouvernement étranger.

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Source https://resistance71.wordpress.com/2025/12/06/non-trump-ne-joue-pas-une-partie-dechecs-en-5d-avec-letat-profond-sioniste-ladministration-trump-est-ladministration-netanyahou-robert-inlakesh/

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D’où vient Donald J. « Donnie mains d’enfant » Trump ? (VT, traduction R71, 2017)

Notre dossier « Trump Donnie mains d’enfant »

« Trump 2.0 ou la ;pourriture sioniste au sommet du monde » (Résistance 71)

« Soyons B.R.A.V.E en occident décadent au XXIème siècle » (Résistance 71 )

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

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Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer


« Vous êtes loyale à Israël et je suis votre propriété
et c’est OK ! »


La routine quotidienne du bureau ovale…

2 Réponses to “Non Trump ne joue pas une partie d’échecs en 5D avec l’état profond sioniste… L’administration Trump est l’administration Netanyahou (Robert Inlakesh)”
  1. « La cybersécurité du gouvernement américain supervisée par d’anciens espions israéliens »
    https://reseauinternational.net/la-cybersecurite-du-gouvernement-americain-supervisee-par-danciens-espions-israeliens/

    Donc toutes les lois big brother aux USA pour surveiller les américains, toutes les données big brother collectés sur les américains sont collectés par d’anciens espions israéliens.

    • Quasiment toute la « sécurité » à Yankland est contrôlée par l’entité sioniste. La sécurité des aéroports, également en Europe est contrôlée par l’entité sioniste. C’est une occupation de facto de tout l’appareil d’état occidental. Pour ce faire, des trahisons internes ont eu lieu depuis des décennies. Un sacré paquet de politicards et de hauts-fonctionnaires occidentaux sont coupables de HAUTE TRAHISON, dans un système qui ne fait que l’encourager… donc RAS, circulez y a rien à voir…